Pepper: Le robot trop chou futur sommelier chez Carrefour?

ECONOMIE Le robot, qui sort pour la première fois du Japon, a été également programmé pour suggérer des recettes de cuisine ou évaluer la satisfaction des consommateurs...

20 Minutes avec agences
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Le robot humanoïde Pepper, le 20 octobre 2015 à Laguna Beach, en Californie
Le robot humanoïde Pepper, le 20 octobre 2015 à Laguna Beach, en Californie — Frederic J. Brown AFP

Pepper fait ses débuts en Europe. Après avoir envahi le marché japonais, le robot humanoïde, chouchou des Tokyoïtes, a débarqué ce mardi dans un supermarché français.

Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…


Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…


Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…

ils réagissent en voyant un robot dans un magasin

Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…


Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…

@CarrefourFrance

Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…

#PepperChezCarrefour

Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…

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Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

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Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…

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Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…

October 20, 2015

Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…

à développer leurs propres applications pour un usage commercial

Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…


Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…


Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…


Quatre Pepper ont, en effet, été installés dans différents rayons d’un magasin Carrefour de Claye-Souilly (Seine-et-Marne), et programmés pour des animations ludiques, « tels que des jeux pour enfants, des danses ou la possibilité de faire des photos avec Pepper et de les imprimer ». A terme, le robot pourrait aider les clients à choisir leurs bouteilles de vin.

Une « nouvelle espèce » de robot qui reconnaît la joie et la tristesse

« C’est la première fois que nous faisons sortir Pepper du Japon. Le principal objectif est de divertir les gens et de tester comment ils réagissent en voyant un robot dans un magasin », explique Magali Cubier, directrice marketing du fabricant Aldebaran [société française contrôlée à 96 % par le groupe japonais SoftBank].

Pour rappel, Pepper est présenté, depuis son lancement au Japon en juin dernier, comme une « nouvelle espèce » de robot, capable de reconnaître des émotions basiques comme la joie et la tristesse en regardant le visage de ses interlocuteurs humains. Et d’après les données de recherche accumulées par Aldebaran, les acheteurs de Pepper ont tendance soit à l’utiliser comme un compagnon à domicile, soit à avoir une approche créative et à développer leurs propres applications pour un usage commercial.

La barrière de la langue

Aldebarana a vendu 4.000 exemplaires de Pepper depuis le mois de juin. L’entreprise dit écouler un millier de robots par mois, pour un prix de base de 1.500 euros auquel s’ajoute un abonnement d’environ 200 euros par an, pendant trois ans.

L’expansion internationale de ces robots s’accompagne toutefois de la difficulté de les adapter aux différentes manières d’exprimer ses émotions dans les différentes cultures et régions du monde. Pour l’instant par exemple, Pepper pourra serrer la main des acheteurs français, mais pas encore leur faire une bise sur la joue. Magali Cubier a toutefois promis de s’intéresser à la question…