Facebook et Instagram : Les recherches Google pour supprimer son compte ont littéralement explosé

PAS CONTENTS On ignore combien d’internautes ont réellement désactivé ou supprimé leur compte après l’annonce

20 Minutes avec agence
This photo illustration taken in Melbourne on February 24, 2023 shows a message on Facebook introducing the Meta Verified service. - Facebook and Instagram began a week-long rollout of their first paid verification service on February 24, testing users' willingness to pay for social media features that until now have been free. (Photo by William WEST / AFP)
This photo illustration taken in Melbourne on February 24, 2023 shows a message on Facebook introducing the Meta Verified service. - Facebook and Instagram began a week-long rollout of their first paid verification service on February 24, testing users' willingness to pay for social media features that until now have been free. (Photo by William WEST / AFP) — AFP

Décidément, payer ses réseaux sociaux n’est pas une idée à la mode. Depuis l’annonce le 19 février dernier de l’arrivée d’un abonnement payant sur Facebook et Instagram, les internautes font connaître leur mécontentement.

Sur Google Trends, les recherches pour savoir comment supprimer son compte Facebook ou Instagram ont littéralement explosé dès le jour de l’annonce. C’est le site VPNOverview qui a relayé les impressionnantes statistiques : en une journée, la recherche « désactiver » Instagram a bondi de 2.400 % sur Google Trends, rapporte Phonandroid.



Une formule à 16 euros

Facebook a enregistré un score presque aussi fort : les recherches pour désactiver ou supprimer son compte sur le plus gros réseau social ont augmenté de 1.566 %. Une manière sans équivoque pour les internautes de faire savoir à Mark Zuckerberg et aux décideurs de Meta ce qu’ils pensent de la formule payante à venir.

Sur les traces de Twitter, le groupe américain compte en effet lancer un abonnement à 16 euros environ, qui permettra d’obtenir le fameux badge de certification. La nouvelle formule est actuellement testée en Australie et en Nouvelle-Zélande, pour un déploiement mondial à une date encore inconnue.