Lucibel, ou une connexion au haut débit grâce à la lumière
INTERNET Selon le concepteur, cette nouvelle technologie transmet des ondes lumineuses qui sont inoffensives pour le corps humain...
L’entreprise spécialisée dans l’éclairage pour les entreprises led Lucibel* vient de présenter sa nouvelle technologie de connexion sans fil haut débit, baptisée « lifi » (« light fidelity »). De quoi s’agit-il ? Concrètement, il s’agit d’utiliser les fréquences créées par le scintillement des leds pour transmettre de l’information vers un récepteur, qui en retour remonte l’information vers la lampe grâce à de l’infrarouge. L’ampoule est de son côté connectée à Internet via un câble ethernet.
Plus simplement, allumer la lumière pour se connecter à Internet pourrait devenir le nouveau geste naturel dans les prochaines années. Car branché à l’ordinateur, le récepteur, pour l’heure de la taille d’un gros livre, permet de se connecter au Web. Il suffit de cacher l’antenne avec la main pour que la connexion cesse.
Une capacité de débit de 10 mégabits par seconde
« Nous sommes pour l’instant à une capacité de débit de 10 mégabits par seconde (Mb/sec) en réception et 5 à 10 Mb/sec en envoi, nous souhaitons à présent optimiser ces performances durant la phase d’industrialisation. A terme, nous avons une limite de capacité théorique de 1 gigabit/sec, dix fois ce qu’offre le wifi actuellement », a détaillé Edouard Lebrun, directeur du programme « lifi » chez Lucibel, lors d’une conférence de presse.
L’entreprise spécialisée dans l’éclairage pour les entreprises led Lucibel* vient de présenter sa nouvelle technologie de connexion sans fil haut débit, baptisée « lifi » (« light fidelity »). De quoi s’agit-il ? Concrètement, il s’agit d’utiliser les fréquences créées par le scintillement des leds pour transmettre de l’information vers un récepteur, qui en retour remonte l’information vers la lampe grâce à de l’infrarouge. L’ampoule est de son côté connectée à Internet via un câble ethernet.
Plus simplement, allumer la lumière pour se connecter à Internet pourrait devenir le nouveau geste naturel dans les prochaines années. Car branché à l’ordinateur, le récepteur, pour l’heure de la taille d’un gros livre, permet de se connecter au Web. Il suffit de cacher l’antenne avec la main pour que la connexion cesse.
Une capacité de débit de 10 mégabits par seconde
« Nous sommes pour l’instant à une capacité de débit de 10 mégabits par seconde (Mb/sec) en réception et 5 à 10 Mb/sec en envoi, nous souhaitons à présent optimiser ces performances durant la phase d’industrialisation. A terme, nous avons une limite de capacité théorique de 1 gigabit/sec, dix fois ce qu’offre le wifi actuellement », a détaillé Edouard Lebrun, directeur du programme « lifi » chez Lucibel, lors d’une conférence de presse.
L’entreprise spécialisée dans l’éclairage pour les entreprises led Lucibel* vient de présenter sa nouvelle technologie de connexion sans fil haut débit, baptisée « lifi » (« light fidelity »). De quoi s’agit-il ? Concrètement, il s’agit d’utiliser les fréquences créées par le scintillement des leds pour transmettre de l’information vers un récepteur, qui en retour remonte l’information vers la lampe grâce à de l’infrarouge. L’ampoule est de son côté connectée à Internet via un câble ethernet.
Plus simplement, allumer la lumière pour se connecter à Internet pourrait devenir le nouveau geste naturel dans les prochaines années. Car branché à l’ordinateur, le récepteur, pour l’heure de la taille d’un gros livre, permet de se connecter au Web. Il suffit de cacher l’antenne avec la main pour que la connexion cesse.
Une capacité de débit de 10 mégabits par seconde
« Nous sommes pour l’instant à une capacité de débit de 10 mégabits par seconde (Mb/sec) en réception et 5 à 10 Mb/sec en envoi, nous souhaitons à présent optimiser ces performances durant la phase d’industrialisation. A terme, nous avons une limite de capacité théorique de 1 gigabit/sec, dix fois ce qu’offre le wifi actuellement », a détaillé Edouard Lebrun, directeur du programme « lifi » chez Lucibel, lors d’une conférence de presse.
L’entreprise spécialisée dans l’éclairage pour les entreprises led Lucibel* vient de présenter sa nouvelle technologie de connexion sans fil haut débit, baptisée « lifi » (« light fidelity »). De quoi s’agit-il ? Concrètement, il s’agit d’utiliser les fréquences créées par le scintillement des leds pour transmettre de l’information vers un récepteur, qui en retour remonte l’information vers la lampe grâce à de l’infrarouge. L’ampoule est de son côté connectée à Internet via un câble ethernet.
Plus simplement, allumer la lumière pour se connecter à Internet pourrait devenir le nouveau geste naturel dans les prochaines années. Car branché à l’ordinateur, le récepteur, pour l’heure de la taille d’un gros livre, permet de se connecter au Web. Il suffit de cacher l’antenne avec la main pour que la connexion cesse.
Une capacité de débit de 10 mégabits par seconde
« Nous sommes pour l’instant à une capacité de débit de 10 mégabits par seconde (Mb/sec) en réception et 5 à 10 Mb/sec en envoi, nous souhaitons à présent optimiser ces performances durant la phase d’industrialisation. A terme, nous avons une limite de capacité théorique de 1 gigabit/sec, dix fois ce qu’offre le wifi actuellement », a détaillé Edouard Lebrun, directeur du programme « lifi » chez Lucibel, lors d’une conférence de presse.
Une innovation qui représente une première « au moins au niveau européen. Il n’y a pas, à notre connaissance de produit équivalent sur le marché », s’est réjoui Frédéric Granotier, PDG de la société.
Installé d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics ?
L’utilisation du « lifi » dans un salon n’est pas encore pour tout de suite : Frédéric Granotier ne vise pas « pour l’heure le marché des particuliers. Ce sera sans doute dans trois à cinq ans ». En revanche, il pourrait devenir réalité d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics.
« Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences. On peut donc imaginer installer "lifi" dans des bâtiments comme les hôpitaux par exemple, ou dans ceux où s’appliquent un principe de précaution concernant les ondes radio, tels que les écoles ou les crèches », a détaillé Edouard Lebrun.
« On ne peut donc pas venir hacker votre connexion »
Autre argument avancé, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le wifi traverse murs et plafonds, la lumière ne traverse pas les murs : on ne peut donc pas venir hacker votre connexion. Elle reste confinée à l’espace désiré et sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité, a ajouté Edouard Lebrun.
Si un récepteur, « qui devrait être de la taille d’une clef USB assez rapidement », sera dans un premier temps indispensable, l’entreprise espère que rapidement « les constructeurs d’ordinateurs et tablettes s’empareront de la technologie pour l’intégrer dans leurs produits ». En attendant, selon ZDNet, Sgeprom, promoteur immobilier et filiale de Société Générale, teste déjà la technologie dans ses locaux parisiens, notamment dans ses salles de réunion.
*Lucibel, qui est coté en Bourse sur Alternext depuis plus d’un an, emploie 200 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 24,6 millions d’euros.
Une innovation qui représente une première « au moins au niveau européen. Il n’y a pas, à notre connaissance de produit équivalent sur le marché », s’est réjoui Frédéric Granotier, PDG de la société.
Installé d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics ?
L’utilisation du « lifi » dans un salon n’est pas encore pour tout de suite : Frédéric Granotier ne vise pas « pour l’heure le marché des particuliers. Ce sera sans doute dans trois à cinq ans ». En revanche, il pourrait devenir réalité d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics.
« Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences. On peut donc imaginer installer "lifi" dans des bâtiments comme les hôpitaux par exemple, ou dans ceux où s’appliquent un principe de précaution concernant les ondes radio, tels que les écoles ou les crèches », a détaillé Edouard Lebrun.
« On ne peut donc pas venir hacker votre connexion »
Autre argument avancé, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le wifi traverse murs et plafonds, la lumière ne traverse pas les murs : on ne peut donc pas venir hacker votre connexion. Elle reste confinée à l’espace désiré et sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité, a ajouté Edouard Lebrun.
Si un récepteur, « qui devrait être de la taille d’une clef USB assez rapidement », sera dans un premier temps indispensable, l’entreprise espère que rapidement « les constructeurs d’ordinateurs et tablettes s’empareront de la technologie pour l’intégrer dans leurs produits ». En attendant, selon ZDNet, Sgeprom, promoteur immobilier et filiale de Société Générale, teste déjà la technologie dans ses locaux parisiens, notamment dans ses salles de réunion.
*Lucibel, qui est coté en Bourse sur Alternext depuis plus d’un an, emploie 200 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 24,6 millions d’euros.
Une innovation qui représente une première « au moins au niveau européen. Il n’y a pas, à notre connaissance de produit équivalent sur le marché », s’est réjoui Frédéric Granotier, PDG de la société.
Installé d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics ?
L’utilisation du « lifi » dans un salon n’est pas encore pour tout de suite : Frédéric Granotier ne vise pas « pour l’heure le marché des particuliers. Ce sera sans doute dans trois à cinq ans ». En revanche, il pourrait devenir réalité d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics.
« Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences. On peut donc imaginer installer "lifi" dans des bâtiments comme les hôpitaux par exemple, ou dans ceux où s’appliquent un principe de précaution concernant les ondes radio, tels que les écoles ou les crèches », a détaillé Edouard Lebrun.
« On ne peut donc pas venir hacker votre connexion »
Autre argument avancé, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le wifi traverse murs et plafonds, la lumière ne traverse pas les murs : on ne peut donc pas venir hacker votre connexion. Elle reste confinée à l’espace désiré et sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité, a ajouté Edouard Lebrun.
Si un récepteur, « qui devrait être de la taille d’une clef USB assez rapidement », sera dans un premier temps indispensable, l’entreprise espère que rapidement « les constructeurs d’ordinateurs et tablettes s’empareront de la technologie pour l’intégrer dans leurs produits ». En attendant, selon ZDNet, Sgeprom, promoteur immobilier et filiale de Société Générale, teste déjà la technologie dans ses locaux parisiens, notamment dans ses salles de réunion.
*Lucibel, qui est coté en Bourse sur Alternext depuis plus d’un an, emploie 200 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 24,6 millions d’euros.
Une innovation qui représente une première « au moins au niveau européen. Il n’y a pas, à notre connaissance de produit équivalent sur le marché », s’est réjoui Frédéric Granotier, PDG de la société.
Installé d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics ?
L’utilisation du « lifi » dans un salon n’est pas encore pour tout de suite : Frédéric Granotier ne vise pas « pour l’heure le marché des particuliers. Ce sera sans doute dans trois à cinq ans ». En revanche, il pourrait devenir réalité d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics.
« Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences. On peut donc imaginer installer "lifi" dans des bâtiments comme les hôpitaux par exemple, ou dans ceux où s’appliquent un principe de précaution concernant les ondes radio, tels que les écoles ou les crèches », a détaillé Edouard Lebrun.
« On ne peut donc pas venir hacker votre connexion »
Autre argument avancé, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le wifi traverse murs et plafonds, la lumière ne traverse pas les murs : on ne peut donc pas venir hacker votre connexion. Elle reste confinée à l’espace désiré et sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité, a ajouté Edouard Lebrun.
Si un récepteur, « qui devrait être de la taille d’une clef USB assez rapidement », sera dans un premier temps indispensable, l’entreprise espère que rapidement « les constructeurs d’ordinateurs et tablettes s’empareront de la technologie pour l’intégrer dans leurs produits ». En attendant, selon ZDNet, Sgeprom, promoteur immobilier et filiale de Société Générale, teste déjà la technologie dans ses locaux parisiens, notamment dans ses salles de réunion.
*Lucibel, qui est coté en Bourse sur Alternext depuis plus d’un an, emploie 200 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 24,6 millions d’euros.
Une innovation qui représente une première « au moins au niveau européen. Il n’y a pas, à notre connaissance de produit équivalent sur le marché », s’est réjoui Frédéric Granotier, PDG de la société.
Installé d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics ?
L’utilisation du « lifi » dans un salon n’est pas encore pour tout de suite : Frédéric Granotier ne vise pas « pour l’heure le marché des particuliers. Ce sera sans doute dans trois à cinq ans ». En revanche, il pourrait devenir réalité d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics.
« Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences. On peut donc imaginer installer "lifi" dans des bâtiments comme les hôpitaux par exemple, ou dans ceux où s’appliquent un principe de précaution concernant les ondes radio, tels que les écoles ou les crèches », a détaillé Edouard Lebrun.
« On ne peut donc pas venir hacker votre connexion »
Autre argument avancé, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le wifi traverse murs et plafonds, la lumière ne traverse pas les murs : on ne peut donc pas venir hacker votre connexion. Elle reste confinée à l’espace désiré et sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité, a ajouté Edouard Lebrun.
Si un récepteur, « qui devrait être de la taille d’une clef USB assez rapidement », sera dans un premier temps indispensable, l’entreprise espère que rapidement « les constructeurs d’ordinateurs et tablettes s’empareront de la technologie pour l’intégrer dans leurs produits ». En attendant, selon ZDNet, Sgeprom, promoteur immobilier et filiale de Société Générale, teste déjà la technologie dans ses locaux parisiens, notamment dans ses salles de réunion.
*Lucibel, qui est coté en Bourse sur Alternext depuis plus d’un an, emploie 200 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 24,6 millions d’euros.
Une innovation qui représente une première « au moins au niveau européen. Il n’y a pas, à notre connaissance de produit équivalent sur le marché », s’est réjoui Frédéric Granotier, PDG de la société.
Installé d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics ?
L’utilisation du « lifi » dans un salon n’est pas encore pour tout de suite : Frédéric Granotier ne vise pas « pour l’heure le marché des particuliers. Ce sera sans doute dans trois à cinq ans ». En revanche, il pourrait devenir réalité d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics.
« Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences. On peut donc imaginer installer "lifi" dans des bâtiments comme les hôpitaux par exemple, ou dans ceux où s’appliquent un principe de précaution concernant les ondes radio, tels que les écoles ou les crèches », a détaillé Edouard Lebrun.
« On ne peut donc pas venir hacker votre connexion »
Autre argument avancé, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le wifi traverse murs et plafonds, la lumière ne traverse pas les murs : on ne peut donc pas venir hacker votre connexion. Elle reste confinée à l’espace désiré et sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité, a ajouté Edouard Lebrun.
Si un récepteur, « qui devrait être de la taille d’une clef USB assez rapidement », sera dans un premier temps indispensable, l’entreprise espère que rapidement « les constructeurs d’ordinateurs et tablettes s’empareront de la technologie pour l’intégrer dans leurs produits ». En attendant, selon ZDNet, Sgeprom, promoteur immobilier et filiale de Société Générale, teste déjà la technologie dans ses locaux parisiens, notamment dans ses salles de réunion.
*Lucibel, qui est coté en Bourse sur Alternext depuis plus d’un an, emploie 200 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 24,6 millions d’euros.
Une innovation qui représente une première « au moins au niveau européen. Il n’y a pas, à notre connaissance de produit équivalent sur le marché », s’est réjoui Frédéric Granotier, PDG de la société.
Installé d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics ?
L’utilisation du « lifi » dans un salon n’est pas encore pour tout de suite : Frédéric Granotier ne vise pas « pour l’heure le marché des particuliers. Ce sera sans doute dans trois à cinq ans ». En revanche, il pourrait devenir réalité d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics.
« Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences. On peut donc imaginer installer "lifi" dans des bâtiments comme les hôpitaux par exemple, ou dans ceux où s’appliquent un principe de précaution concernant les ondes radio, tels que les écoles ou les crèches », a détaillé Edouard Lebrun.
« On ne peut donc pas venir hacker votre connexion »
Autre argument avancé, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le wifi traverse murs et plafonds, la lumière ne traverse pas les murs : on ne peut donc pas venir hacker votre connexion. Elle reste confinée à l’espace désiré et sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité, a ajouté Edouard Lebrun.
Si un récepteur, « qui devrait être de la taille d’une clef USB assez rapidement », sera dans un premier temps indispensable, l’entreprise espère que rapidement « les constructeurs d’ordinateurs et tablettes s’empareront de la technologie pour l’intégrer dans leurs produits ». En attendant, selon ZDNet, Sgeprom, promoteur immobilier et filiale de Société Générale, teste déjà la technologie dans ses locaux parisiens, notamment dans ses salles de réunion.
*Lucibel, qui est coté en Bourse sur Alternext depuis plus d’un an, emploie 200 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 24,6 millions d’euros.
Une innovation qui représente une première « au moins au niveau européen. Il n’y a pas, à notre connaissance de produit équivalent sur le marché », s’est réjoui Frédéric Granotier, PDG de la société.
Installé d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics ?
L’utilisation du « lifi » dans un salon n’est pas encore pour tout de suite : Frédéric Granotier ne vise pas « pour l’heure le marché des particuliers. Ce sera sans doute dans trois à cinq ans ». En revanche, il pourrait devenir réalité d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics.
« Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences. On peut donc imaginer installer "lifi" dans des bâtiments comme les hôpitaux par exemple, ou dans ceux où s’appliquent un principe de précaution concernant les ondes radio, tels que les écoles ou les crèches », a détaillé Edouard Lebrun.
« On ne peut donc pas venir hacker votre connexion »
Autre argument avancé, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le wifi traverse murs et plafonds, la lumière ne traverse pas les murs : on ne peut donc pas venir hacker votre connexion. Elle reste confinée à l’espace désiré et sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité, a ajouté Edouard Lebrun.
Si un récepteur, « qui devrait être de la taille d’une clef USB assez rapidement », sera dans un premier temps indispensable, l’entreprise espère que rapidement « les constructeurs d’ordinateurs et tablettes s’empareront de la technologie pour l’intégrer dans leurs produits ». En attendant, selon ZDNet, Sgeprom, promoteur immobilier et filiale de Société Générale, teste déjà la technologie dans ses locaux parisiens, notamment dans ses salles de réunion.
*Lucibel, qui est coté en Bourse sur Alternext depuis plus d’un an, emploie 200 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 24,6 millions d’euros.
Une innovation qui représente une première « au moins au niveau européen. Il n’y a pas, à notre connaissance de produit équivalent sur le marché », s’est réjoui Frédéric Granotier, PDG de la société.
Installé d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics ?
L’utilisation du « lifi » dans un salon n’est pas encore pour tout de suite : Frédéric Granotier ne vise pas « pour l’heure le marché des particuliers. Ce sera sans doute dans trois à cinq ans ». En revanche, il pourrait devenir réalité d’ici la mi-2016 dans les entreprises et bâtiments publics.
« Les ondes lumineuses sont inoffensives pour le corps humain, voire bénéfiques à certaines fréquences. On peut donc imaginer installer "lifi" dans des bâtiments comme les hôpitaux par exemple, ou dans ceux où s’appliquent un principe de précaution concernant les ondes radio, tels que les écoles ou les crèches », a détaillé Edouard Lebrun.
« On ne peut donc pas venir hacker votre connexion »
Autre argument avancé, la sécurité, point sensible dans les entreprises. « Alors que le wifi traverse murs et plafonds, la lumière ne traverse pas les murs : on ne peut donc pas venir hacker votre connexion. Elle reste confinée à l’espace désiré et sécurisée. Le système est donc particulièrement intéressant pour les secteurs dont les données sont très confidentielles : recherche et développement, défense, banques, sécurité, a ajouté Edouard Lebrun.
Si un récepteur, « qui devrait être de la taille d’une clef USB assez rapidement », sera dans un premier temps indispensable, l’entreprise espère que rapidement « les constructeurs d’ordinateurs et tablettes s’empareront de la technologie pour l’intégrer dans leurs produits ». En attendant, selon ZDNet, Sgeprom, promoteur immobilier et filiale de Société Générale, teste déjà la technologie dans ses locaux parisiens, notamment dans ses salles de réunion.
*Lucibel, qui est coté en Bourse sur Alternext depuis plus d’un an, emploie 200 personnes et a réalisé en 2014 un chiffre d’affaires de 24,6 millions d’euros.