"Des noeuds d'acier" de Sandrine Collette chez Denoël (Paris, France)

"Des noeuds d'acier" de Sandrine Collette chez Denoël (Paris, France)

Des noeuds d'acier
Des noeuds d'acier - Le choix des libraires
en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Sandrine Collette
  • Genre : Policiers
  • Editeur : Denoël, Paris, France
  • Prix : 17.00 €
  • Date de sortie : 17/01/2013
  • GENCOD : 9782207113905

Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.


Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.


Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.


Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.


Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.


Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.


Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.


Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.


Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.

Nanterre

Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.


Résumé

La prison n'avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieillards retirés du monde vont-ils y parvenir ?

Avril 2001. Dans la cave d'une ferme miteuse, au creux d'une vallée isolée couverte d'une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s'appelle Théo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n'a pourtant rien d'une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l'ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d'autres. Alors, allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d'eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d'échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d'où toute humanité a disparu ?

Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l'université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d'acier est son premier roman.

Le choix des libraires : choisi le 13/04/2013 par Jennifer Oden de la librairie DEVELAY à VILLEFRANCHE-SUR-SAÔNE, France

Tout juste sorti de prison, Théo part s'isoler dans une vallée perdue au milieu d'une forêt de sapins. Au détour d'une promenade il tombe sur une vieille maison. Il ignore alors que c'est le début d'un long cauchemar...
Il se réveille le lendemain, attaché dans la cave de la maison, piégé par deux vieux frères complètement fous. Privé de toute dignité, ramené au rôle du chien, il va sombrer dans une lente descente aux enfers.
Comment survivre et garder l'espoir quand toute humanité a disparu ? Un huis clos angoissant doublé d'une tension insoutenable !

DEVELAY

Le choix des libraires : choisi le 13/04/2013 par Jennifer Oden de la librairie DEVELAY à VILLEFRANCHE-SUR-SAÔNE, France

Tout juste sorti de prison, Théo part s'isoler dans une vallée perdue au milieu d'une forêt de sapins. Au détour d'une promenade il tombe sur une vieille maison. Il ignore alors que c'est le début d'un long cauchemar...
Il se réveille le lendemain, attaché dans la cave de la maison, piégé par deux vieux frères complètement fous. Privé de toute dignité, ramené au rôle du chien, il va sombrer dans une lente descente aux enfers.
Comment survivre et garder l'espoir quand toute humanité a disparu ? Un huis clos angoissant doublé d'une tension insoutenable !


Le choix des libraires : choisi le 13/04/2013 par Jennifer Oden de la librairie DEVELAY à VILLEFRANCHE-SUR-SAÔNE, France

Tout juste sorti de prison, Théo part s'isoler dans une vallée perdue au milieu d'une forêt de sapins. Au détour d'une promenade il tombe sur une vieille maison. Il ignore alors que c'est le début d'un long cauchemar...
Il se réveille le lendemain, attaché dans la cave de la maison, piégé par deux vieux frères complètement fous. Privé de toute dignité, ramené au rôle du chien, il va sombrer dans une lente descente aux enfers.
Comment survivre et garder l'espoir quand toute humanité a disparu ? Un huis clos angoissant doublé d'une tension insoutenable !


Le choix des libraires : choisi le 13/04/2013 par Jennifer Oden de la librairie DEVELAY à VILLEFRANCHE-SUR-SAÔNE, France

Tout juste sorti de prison, Théo part s'isoler dans une vallée perdue au milieu d'une forêt de sapins. Au détour d'une promenade il tombe sur une vieille maison. Il ignore alors que c'est le début d'un long cauchemar...
Il se réveille le lendemain, attaché dans la cave de la maison, piégé par deux vieux frères complètement fous. Privé de toute dignité, ramené au rôle du chien, il va sombrer dans une lente descente aux enfers.
Comment survivre et garder l'espoir quand toute humanité a disparu ? Un huis clos angoissant doublé d'une tension insoutenable !


Le choix des libraires : choisi le 13/04/2013 par Jennifer Oden de la librairie DEVELAY à VILLEFRANCHE-SUR-SAÔNE, France

Tout juste sorti de prison, Théo part s'isoler dans une vallée perdue au milieu d'une forêt de sapins. Au détour d'une promenade il tombe sur une vieille maison. Il ignore alors que c'est le début d'un long cauchemar...
Il se réveille le lendemain, attaché dans la cave de la maison, piégé par deux vieux frères complètement fous. Privé de toute dignité, ramené au rôle du chien, il va sombrer dans une lente descente aux enfers.
Comment survivre et garder l'espoir quand toute humanité a disparu ? Un huis clos angoissant doublé d'une tension insoutenable !


Le choix des libraires : choisi le 13/04/2013 par Jennifer Oden de la librairie DEVELAY à VILLEFRANCHE-SUR-SAÔNE, France

Tout juste sorti de prison, Théo part s'isoler dans une vallée perdue au milieu d'une forêt de sapins. Au détour d'une promenade il tombe sur une vieille maison. Il ignore alors que c'est le début d'un long cauchemar...
Il se réveille le lendemain, attaché dans la cave de la maison, piégé par deux vieux frères complètement fous. Privé de toute dignité, ramené au rôle du chien, il va sombrer dans une lente descente aux enfers.
Comment survivre et garder l'espoir quand toute humanité a disparu ? Un huis clos angoissant doublé d'une tension insoutenable !

Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


<div>

Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


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Courrie

r des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


<div>

Courrier des auteurs le 13/04/2013

1

) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


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Courrier des auteur

s le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


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Courrier des auteurs le 13/04

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1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
La Symphonie du Nouveau monde, de Dvorák. L'allegro final.

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La certitude que la vie vaut d'être vécue, quelles qu'en soient les modalités et même si c'est parfois difficile à croire.


Courrier des auteurs le 13/04/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une hyperactive angoissée qui s'arrange avec l'âge, universitaire par raison, passionnée de nature et de calme, qui en est, si mes comptes sont bons, à sa quatrième vie. Une proximité avec le chat, donc, et aussi avec les chevaux, sans explication.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ils sont plusieurs, intriqués et inséparables : la séquestration, la déshumanisation, la solitude. Au milieu de quoi des bribes de poésie persistent. Avec un message sous-jacent : quand on est tout-puissant, il ne faut jamais oublier qu'il suffit d'un faux pas pour que tout bascule.

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Choix cornélien. Mais si c'est le jeu, celle-ci par exemple :
"Par imitation ou par contagion, nous nous taisons nous aussi progressivement. Nous retournons à un étrange état animal. Pour me dire ce que j'ai à faire, Basile me montre un outil du doigt dans un grognement. Je m'exécute sans un mot. Toute parole est illusoire et dangereuse ; nous ne voulons pas rouvrir le dialogue. Nous nous haïssons à voix basse, les yeux fermés sur notre misère ou notre fatigue. Nous nous défions les uns des autres en nous reniflant comme si nous pouvions deviner de quoi sera fait demain, nous mangeons en protégeant nos gamelles d'une main, plongeant de l'autre à même les plats pour attraper une pomme de terre ou un bout de jambon. Nous oublions le langage. Le temps s'étire, curieusement long. Dehors le soleil brille avec constance et les hortensias sont en fleur. Des fleurs bleues, immenses."

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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La revue de presse : Roger Martin - L'Humanité du 14 juin 2013

Un homme violent, massacreur de son propre frère, est réduit en esclavage par deux frères dans une maison isolée. Sandrine Collette fait une irruption remarquée dans le monde du roman policier français...
Le roman noir est en général urbain, et rares sont les auteurs qui nous plongent au coeur d'une nature sauvage, comme oubliée de tous et de la civilisation. Sandrine Collette a su, avec une sensibilité rare, par touches, brosser l'escalade de la terreur, l'imagination sans cesse renouvelée des humiliations, la haine, l'envie, accumulées depuis des décennies au coeur des tourmenteurs et la lente descente aux enfers d'un personnage qui, ne croyant plus à rien au début de l'histoire, finira par ressembler à celui qui le hante, le frère haï et infirme.


La revue de presse : Roger Martin - L'Humanité du 14 juin 2013

Un homme violent, massacreur de son propre frère, est réduit en esclavage par deux frères dans une maison isolée. Sandrine Collette fait une irruption remarquée dans le monde du roman policier français...
Le roman noir est en général urbain, et rares sont les auteurs qui nous plongent au coeur d'une nature sauvage, comme oubliée de tous et de la civilisation. Sandrine Collette a su, avec une sensibilité rare, par touches, brosser l'escalade de la terreur, l'imagination sans cesse renouvelée des humiliations, la haine, l'envie, accumulées depuis des décennies au coeur des tourmenteurs et la lente descente aux enfers d'un personnage qui, ne croyant plus à rien au début de l'histoire, finira par ressembler à celui qui le hante, le frère haï et infirme.


La revue de presse : Roger Martin - L'Humanité du 14 juin 2013

Un homme violent, massacreur de son propre frère, est réduit en esclavage par deux frères dans une maison isolée. Sandrine Collette fait une irruption remarquée dans le monde du roman policier français...
Le roman noir est en général urbain, et rares sont les auteurs qui nous plongent au coeur d'une nature sauvage, comme oubliée de tous et de la civilisation. Sandrine Collette a su, avec une sensibilité rare, par touches, brosser l'escalade de la terreur, l'imagination sans cesse renouvelée des humiliations, la haine, l'envie, accumulées depuis des décennies au coeur des tourmenteurs et la lente descente aux enfers d'un personnage qui, ne croyant plus à rien au début de l'histoire, finira par ressembler à celui qui le hante, le frère haï et infirme.


La revue de presse : Roger Martin - L'Humanité du 14 juin 2013

Un homme violent, massacreur de son propre frère, est réduit en esclavage par deux frères dans une maison isolée. Sandrine Collette fait une irruption remarquée dans le monde du roman policier français...
Le roman noir est en général urbain, et rares sont les auteurs qui nous plongent au coeur d'une nature sauvage, comme oubliée de tous et de la civilisation. Sandrine Collette a su, avec une sensibilité rare, par touches, brosser l'escalade de la terreur, l'imagination sans cesse renouvelée des humiliations, la haine, l'envie, accumulées depuis des décennies au coeur des tourmenteurs et la lente descente aux enfers d'un personnage qui, ne croyant plus à rien au début de l'histoire, finira par ressembler à celui qui le hante, le frère haï et infirme.

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