Brickfilms : les Lego jouent la comédie

JEUX VIDÉO es Lego ne servent pas qu'à occuper le petit frère. Ils stimulent la créativité des réalisateurs...

Laurent Bainier
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Un personnage Lego de 2,5 m de haut est apparu sur la plage de Zandvoort pendant la nuit. Personne ne sait qui l'a installé là. Pays-Bas, le 7 août 2007.
Un personnage Lego de 2,5 m de haut est apparu sur la plage de Zandvoort pendant la nuit. Personne ne sait qui l'a installé là. Pays-Bas, le 7 août 2007. — AFP

Le comédien le plus filmé du Net est jaune et a des pinces à la place des mains. Les Lego, stars des chambres d’enfants et, depuis quelques années, des jeux vidéos sont aussi les acteurs fétiches d’une communauté de réalisateurs qui comptent plusieurs centaines de membres dans le monde entier : les brickfilmers.


>>> Retrouvez notre dossier Lego


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L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…




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L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…




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L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…

brickfilms.com

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Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…

LegoPirate

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Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…







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Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…




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L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…

LegoPirate

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Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…



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Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…

MonkeyJam

>>> Retrouvez notre dossier Lego

L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…









a

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L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…




>>> Retrouvez notre dossier Lego

L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…

Spite Your Face

>>> Retrouvez notre dossier Lego

L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…

« Monty Python »

>>> Retrouvez notre dossier Lego

L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…








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>>> Retrouvez notre dossier Lego

L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…

«Le nouveau voisin»

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L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…

Seagate

>>> Retrouvez notre dossier Lego

L’aventure de ce cinéma en kit débute en 1985 lorsque Lindsay Fleay réalise «The Magic Portal», un film d’animation tourné en 16 mm à bord d’un vaisseau spatial en Lego.


Mais c’est l’essor du Net qui offre au genre les conditions de son développement. Regroupés autour de portails dédiés, comme l’énorme brickfilms.com ou son pendant français, LegoPirate, les brickfilmers plongent dans leurs barils de jouets pour produire des centaines de vidéo qui font les beaux jours de YouTube et de Dailymotion. Avec certains clips flirtant avec les 10 millions de vues, le phénomène fait des émules. Et s’il se développe surtout dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, il touche très rapidement la France.



Laurent, alias Zwan001, modérateur du forum LegoPirate, est un de ceux qui se lancent dans la foulée des pionniers. «Je voulais faire un peu d’animation. Un soir, sur M6, je suis tombé sur un clip en Lego. J’ai fait quelques recherches sur le Net et, très vite, j’ai trouvé tous les tutoriaux pour me lancer. J’ai racheté quelques Lego et j’ai tourné mes premiers films.»

Le principe est simple : construire un décor en briques, éclairer, cadrer, puis prendre sa première photo. Modifier légèrement la scène et prendre une deuxième image. Ainsi de suite jusqu’à obtenir une séquence complète. «Pour avoir un ensemble fluide, il faut environ 12 à 15 images par seconde, explique Zwan001. On utilise ensuite des logiciels spéciaux comme MonkeyJam (gratuit) pour créer l’animation, puis les softs classiques comme Premiere pour monter le film et faire des effets spéciaux.»




«Les Lego, c’est la solution de facilité quand on veut faire de l’animation et qu’on n’est pas spécialiste de la pâte à modeler, commente Maxime Marion, brickfilmer de 24 ans. On contrôle tout, du décor à la prise de vue avec peu de moyens. Bien sûr, les personnages sont un peu figés, mais quand on maîtrise leur expression corporelle, on peut leur faire dire beaucoup de choses.»

A ce petit jeu, certains se débrouillent mieux que d’autres. Spite Your Face, groupe de brickfilmers britanniques vit à présent de son art. Leur « Monty Python » a été u plus d'un million de fois sur les plateformes vidéo. Remarqués par la marque danoise, ils ont réalisé pour elle et pour Sony plusieurs clips et ont pu monter leur studio d’animation.




Maxime Marion aimerait bien leur emboîter le pas. Son premier essai, «Le nouveau voisin» a tapé dans l’œil de Seagate qui lui a offert une bourse. «Le plus beau des rêves serait de pouvoir trouver les financements pour en faire d’autres, lance-t-il. Le premier m’a pris quatre mois de travail à raison de trois heures par jour. Pour en faire un autre, il me faut des moyens!» Avis aux producteurs qui auraient quelques briques à investir…