VIDEO. Agression sexuelle dans «TPMP»: Jean-Michel Maire confirme avoir été convoqué par la police

ENQUETE Jean-Michel Maire avait embrassé la poitrine de Soraya Riffy sans son consentement en pleine émission…

L.Be.
En octobre 2016, l'un des chroniqueurs de TPMP donne un baiser sur la poitrine d'une jeune femme sans son consentement.
En octobre 2016, l'un des chroniqueurs de TPMP donne un baiser sur la poitrine d'une jeune femme sans son consentement. — Capture d'écran C8

Gros retournement de situation. Jean-Michel Maire a réagi à la récente plainte déposée par Saraya Riffy contre le chroniqueur de Touche pas à mon poste. En octobre 2016, pendant les «35 Heures de Baba», ce dernier avait embrassé la poitrine de la jeune femme sans son consentement en pleine émission. Elle a confirmé à TV Mag mercredi être allée au commissariat en janvier dernier, expliquant qu’« au début, (elle a) réagi de manière empathique envers Jean-Michel Maire » qui l’avait contactée pour lui dire que sa fille était harcelée à l’école.

« Je pensais que l’affaire était un peu finie »

Le chroniqueur a confirmé dans l’émission de Cyril Hanouna sur C8 avoir été convoqué par la police en début de semaine. « Je pensais que l’affaire était un peu finie parce que j’avais présenté mes excuses. Je pourrais le refaire bien sûr. En fin de semaine dernière, le commissariat de Boulogne-Billancourt m’a appelé pour me dire que Soraya Riffy avait déposé plainte pour agression sexuelle. Du coup, j’ai été convoqué par la police, entendu, vu par un psychiatre, etc., a-t-il raconté. Ça va peut-être aller au tribunal je ne sais pas encore. Ça dépend si la plainte est recevable et après il y aura une instruction. Pour l’instant, on est dans les auditions. » Il s’affirme surpris par cette plainte, s’étant excusé et expliqué avec la jeune femme au moment des faits.

De son côté, Soraya Riffy a expliqué à TV Mag qu’elle avait fini par se rendre compte que ce comportement était inacceptable. « Je me suis fait agresser et insulter dans la rue. Ça devenait difficile, je n’osais même plus sortir. Ma vie s’est dégradée, je me suis renfermée sur moi-même, j’ai échoué dans mes études… ».