Zlatan Ibrahimovic, «un spécialiste en situation de monopole»
INTERVIEW Le salaire du nouvel attaquant du PSG est devenue une véritable affaire d'état. Boris Helleu, spécialiste de marketing et d'économie du sport, nous explique les raisons d'une telle rémunération...
Depuis l’arrivée de la «superstar» Zlatan Ibrahimovic au Paris-Saint-Germain, tout le pays s’insurge et ne parle que d’une chose: le salaire astronomique touché par l’attaquant suédois (14 millions d’euros annuels). Boris Helleu (à suivre sur Twitter ici), spécialiste de marketing et d’économie du sport à l’Université de Caen, livre, pour 20 Minutes, ses analyses sur le pourquoi d’une telle rémunération.
Les premières réactions tombent sous le coup de l’émotion. Bien sûr, on peut comprendre que cela choque de gagner autant d’argent. Mais il faut aller au-delà, et se pencher sur une réflexion économique globale. Comprendre qu’un club de football est une entreprise qui évolue dans un environnement incertain et qu’il faut réduire les risques de pertes en faisant appel à des spécialistes.
De quelle incertitude parlez-vous?
Les premières réactions tombent sous le coup de l’émotion. Bien sûr, on peut comprendre que cela choque de gagner autant d’argent. Mais il faut aller au-delà, et se pencher sur une réflexion économique globale. Comprendre qu’un club de football est une entreprise qui évolue dans un environnement incertain et qu’il faut réduire les risques de pertes en faisant appel à des spécialistes.
De quelle incertitude parlez-vous?
Les premières réactions tombent sous le coup de l’émotion. Bien sûr, on peut comprendre que cela choque de gagner autant d’argent. Mais il faut aller au-delà, et se pencher sur une réflexion économique globale. Comprendre qu’un club de football est une entreprise qui évolue dans un environnement incertain et qu’il faut réduire les risques de pertes en faisant appel à des spécialistes.
De quelle incertitude parlez-vous?
Les premières réactions tombent sous le coup de l’émotion. Bien sûr, on peut comprendre que cela choque de gagner autant d’argent. Mais il faut aller au-delà, et se pencher sur une réflexion économique globale. Comprendre qu’un club de football est une entreprise qui évolue dans un environnement incertain et qu’il faut réduire les risques de pertes en faisant appel à des spécialistes.
De quelle incertitude parlez-vous?
Les premières réactions tombent sous le coup de l’émotion. Bien sûr, on peut comprendre que cela choque de gagner autant d’argent. Mais il faut aller au-delà, et se pencher sur une réflexion économique globale. Comprendre qu’un club de football est une entreprise qui évolue dans un environnement incertain et qu’il faut réduire les risques de pertes en faisant appel à des spécialistes.
De quelle incertitude parlez-vous?
Quatorze millions d’euros annuels, n’est-ce pas trop?
Le football est un sport, un jeu. On ne le considère pas vraiment comme un métier à part entière. On peut se poser la question du mérite. D’un côté, ce joueur peut permettre au club et à la ville de grandir, en apportant du bonheur sur le terrain. De l’autre, nous retrouvons des médecins ou des RMIstes avec une utilité sociale bien supérieure. Mais Zlatan n’est ni payé avec de l’argent public, ni payé à l’aide de crédit demandé par le PSG. Il est normal de s’interroger, pas forcément d’être choqué.
Le football est un sport, un jeu. On ne le considère pas vraiment comme un métier à part entière. On peut se poser la question du mérite. D’un côté, ce joueur peut permettre au club et à la ville de grandir, en apportant du bonheur sur le terrain. De l’autre, nous retrouvons des médecins ou des RMIstes avec une utilité sociale bien supérieure. Mais Zlatan n’est ni payé avec de l’argent public, ni payé à l’aide de crédit demandé par le PSG. Il est normal de s’interroger, pas forcément d’être choqué.
Le football est un sport, un jeu. On ne le considère pas vraiment comme un métier à part entière. On peut se poser la question du mérite. D’un côté, ce joueur peut permettre au club et à la ville de grandir, en apportant du bonheur sur le terrain. De l’autre, nous retrouvons des médecins ou des RMIstes avec une utilité sociale bien supérieure. Mais Zlatan n’est ni payé avec de l’argent public, ni payé à l’aide de crédit demandé par le PSG. Il est normal de s’interroger, pas forcément d’être choqué.
Dans quel but le Qatar a-t-il décidé de faire venir Zlatan Ibrahimovic au PSG?
La réflexion du club se positionne autour de la renommée continentale et mondiale. Les dirigeants qataris veulent construire une marque. A court terme, il faut être champion de France. A moyen terme, gagner la Ligue des Champions et devenir un grand club. Pour entrer dans ce cercle-là, il faut à la fois compter sur un palmarès, une histoire, des résultats, des joueurs, un stade et des supporters dans le monde entier. En prenant Ibrahimovic, le club progresse dans sa quête de notoriété continentale.
Dans quel but le Qatar a-t-il décidé de faire venir Zlatan Ibrahimovic au PSG?
La réflexion du club se positionne autour de la renommée continentale et mondiale. Les dirigeants qataris veulent construire une marque. A court terme, il faut être champion de France. A moyen terme, gagner la Ligue des Champions et devenir un grand club. Pour entrer dans ce cercle-là, il faut à la fois compter sur un palmarès, une histoire, des résultats, des joueurs, un stade et des supporters dans le monde entier. En prenant Ibrahimovic, le club progresse dans sa quête de notoriété continentale.
Dans quel but le Qatar a-t-il décidé de faire venir Zlatan Ibrahimovic au PSG?
La réflexion du club se positionne autour de la renommée continentale et mondiale. Les dirigeants qataris veulent construire une marque. A court terme, il faut être champion de France. A moyen terme, gagner la Ligue des Champions et devenir un grand club. Pour entrer dans ce cercle-là, il faut à la fois compter sur un palmarès, une histoire, des résultats, des joueurs, un stade et des supporters dans le monde entier. En prenant Ibrahimovic, le club progresse dans sa quête de notoriété continentale.
Qatar sport investments ne gagnera pas d’argent au PSG. Ce n’est qu’une question de réputation, comme ce fut le cas pour Roman Abrahamovich à Chelsea par exemple. Ils veulent maximiser la réussite sportive en investissant à fonds perdus mais de manière réfléchie, contrairement à ce que l’on a connu chez les Blues. Le Qatar utilise le levier du sport pour gagner en notoriété. «Qatar fondation» est le sponsor du FC Barcelone, le PSG devient une marque…Ce n’est pas un hasard si Pep Guardiola et Zinédine Zidane ont soutenu la candidature pour la Coupe du Monde 2022.
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