C’est l’heure du BIM : Jean Castex dans le Lot-et-Garonne, nouveau délit de séparatisme et Donald Trump refuse de témoigner

ACTUALITES « 20 Minutes » compile pour vous les infos qu’il ne faut pas manquer ce matin dans votre Bulletin d’information matinal (BIM)

Philippe Berry
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Jean Castex est attendu dans le Sud-Ouest ce vendredi 5 février 2021, inondé à la suite du passage de la tempête Justine.
Jean Castex est attendu dans le Sud-Ouest ce vendredi 5 février 2021, inondé à la suite du passage de la tempête Justine. — MEHDI FEDOUACH / AFP

Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap pour vous aider à y voir plus clair.

Tempête Justine : Jean Castex dans le Lot-et-Garonne ce vendredi

Jeudi matin, 45 routes départementales étaient encore coupées dans le Lot-et-Garonne, 12 submergées et six écoles étaient toujours fermées, à la suite du passage de la tempête Justine. Un peu plus de vingt-quatre heures après les inondations, Jean Castex se rendra sur place. Le Premier ministre doit en effet se déplacer vendredi après-midi à Marmande, où le niveau de la Garonne reste « très élevé », même si la vigilance rouge a été rétrogradée en orange jeudi. Le chef du gouvernement doit suivre les opérations de secours et échanger avec les élus et acteurs locaux.

L’Assemblée nationale unanime vote le nouveau délit de « séparatisme »

L’Assemblée nationale a donné jeudi soir à l’unanimité son feu vert au nouveau délit de « séparatisme », une des mesures phares du projet de loi « confortant le respect des principes de la République », voulu par Emmanuel Macron. Ce texte qui vise l’islamisme radical prévoit de punir de cinq ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende toute personne menaçant, violentant ou intimidant un élu ou un agent du service public dans le but de se soustraire totalement ou partiellement aux règles des services publics. Si l’infraction est commise par un étranger, une interdiction du territoire français pourra être prononcée. Pour plus de détails, c’est par ici.​

Donald Trump refuse de témoigner de son plein gré à son procès en destitution

Les démocrates mettent un coup de pression sur Donald Trump. L’élu Jamie Raskin, procureur en chef de la Chambre au procès de l’ex-président américain qui doit s’ouvrir au Sénat mardi, a demandé jeudi à l’ancien locataire de la Maison Blanche de « témoigner sous serment ». Une invitation aussitôt refusée par l’équipe de Donald Trump. L’ancien « président ne témoignera pas dans une procédure contraire à la Constitution », a assuré le proche conseiller de l’ex-président des Etats-Unis, Jason Miller. Techniquement, les élus peuvent voter pour assigner Donald Trump à comparaître, mais ils n’ont pas indiqué, pour l’instant, s’ils comptaient le faire.