Attaques de chevaux : Le ministre de l'Agriculture promet la mobilisation «pour que justice passe»

ÉQUIDÉS Selon le ministre, plus d’une trentaine d’attaques d’équidés, dans plus d’une dizaine de départements, ont été recensées

20 Minutes avec AFP
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Un cheval (illustration).
Un cheval (illustration). — BLOCH RAPHAEL/SIPA

Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.

Julien Denormandie

Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.

chevaux

Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.

une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée

Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.


Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a promis « la mobilisation de tous les services pour que justice passe », lors d’un déplacement ce vendredi dans un centre équestre de Saône-et-Loire touché par l’une des attaques de chevaux qui se multiplient en France.

« On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe », a déclaré le ministre, en visite à l’Ecurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire), où l’oreille d’un cheval a été coupée. Selon le ministre, « plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements » ont été recensés.

« Des barbares, des personnes indignes ? »

« Ce sont des actes inqualifiables », a ajouté Julien Denormandie en rencontrant le propriétaire des Écuries, Thomas Desgres, qui a découvert dans la nuit de mardi à mercredi, dans son box, une jument mutilée d’une entaille profonde à l’oreille.

« Maintenant, je dors ici. Je fais des rondes toutes les demi-heures. Ça fatigue », a déclaré Thomas Desgres au ministre, se félicitant du « soutien et de la mobilisation » de l’État et de la filière. « Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ? », s’est interrogé Julien Denormandie, évoquant « énormément d’enquêtes dans les départements » de France.

Une ponette mutilée et tuée

« Je donne mon engagement à tout faire », a-t-il insisté en rencontrant les gendarmeries et polices concernées par les trois cas en Saône-et-Loire. Non loin de Saint-Eusèbe, dans le village de Saint-Vallier, une ponette a ainsi été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau a été tranchée. L’autopsie a également révélé que le diaphragme de l’animal a été enfoncé.

Dans le département voisin de l’Yonne, deux agresseurs ont été surpris dans la nuit du 24 au 25 août, tandis qu’ils lacéraient des chevaux, par le président du refuge. Ce dernier a pu donner de l’un d’eux un portrait-robot précis qui a été diffusé par la gendarmerie avec un appel à témoins.

Une « sauvagerie cruelle »

Ailleurs en France, un nouveau cas a été signalé vendredi dans le Vaucluse : une jument a été retrouvée éventrée dans la nuit du 22 au 23 août et un poney a eu l’oreille lacérée.

« C’est une sauvagerie cruelle qu’on a rarement observée », a déclaré à l’AFP le président de la Fédération française d’équitation, Serge Lecomte, présent lors de la visite du ministre. « Est-ce une secte ? La sauvagerie envers les animaux est le préambule de la sauvagerie envers l’humanité », a-t-il estimé.