VIDEO. Louis Sarkozy à «Paris Match»: «J’ai toujours eu une passion pour les armes»
CONFESSION Pour sa première interview officielle à « Paris Match », Louis Sarkozy ne cache pas sa passion pour les armes à feu…
Sur son profil Twitter, il se décrit comme un « Absolute Gun Lover ». Pour sa première interview officielle accordée à Paris-Match, Louis Sarkozy, fils de, n’a pas caché sa passion pour les armes à feu parlant de bien d’autres sujets par ailleurs. « J’ai toujours développé une passion pour les armes que j’ai pu alimenter à l’armée [il a fait une école militaire aux Etats-Unis], lâche-t-il. Et vraiment, j’adore, j’adore les armes. »
Les propos sur les armes interviennent à la 5e minute
150 à 300 cartouches par semaine
Agé aujourd’hui de 18 ans, celui qui ambitionne -pourquoi pas- de devenir un jour un « US Marine » explique cette passion par les rapports qu’il a entretenus, très tôt, avec les agents chargés de sa sécurité lorsque son père était ministre du Budget, puis de l’Intérieur avant de devenir président de la République.
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« J’ai été élevé par des officiers de sécurité. A l’âge de 7/8 ans, ils m’emmenaient tirer et j’ai toujours développé une passion pour les armes. » Une passion qu’il a bien sûr entretenue à l’école militaire durant quatre ans. Interrogé à ce propos, il laisse même échapper un petit lapsus après avoir longuement parlé de jeux vidéo. « La dernière année, à l’école, je tuais, euh tirais 150 à 300 cartouches par semaine. »
La fusillade dans l’Oregon, c’est inacceptable
Louant le patriotisme américain, celui qui vit désormais à New-York avec sa mère, Cécilia Attias ne pouvait pas manquer de réagir à la récente fusillade dans l’Oregon. « Tout d’abord, c’est absolument inacceptable. Que ce soit un terroriste américain, un terroriste irlandais ou un terroriste musulman (sic) », attaque-t-il.
Fusillade dans l’Oregon : Obama dénonce la « routine » des tueries
Mais vantant la liberté de posséder des armes facilement aux Etats-Unis, il assure qu’un éventuel changement de la législation, comme le souhaite Barack Obama, ne résoudra pas le problème. « Un criminel ne respecte pas la loi. S’ils veulent faire du mal, ils feront du mal ! »