Sous pression, le Portugal s'attend à la convocation d'élections anticipées

© 2011 AFP
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Le  président portugais Anibal Cavaco Silva tient jeudi les dernières  consultations préalables à la convocation d'élections législatives  anticipées, issue la plus attendue à la crise politique dans un contexte  de crise financière de plus en plus tendu.

Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.

la dissolution du Parlement

Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.

la démission du Premier ministre José Socrates

Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.

cette semaine

Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Pour  tenter de surmonter les échéances à venir

Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.


Après avoir entendu la semaine dernière les partis politiques représentés au parlement, le chef de l'Etat conservateur réunit à partir 14H00 GMT le conseil d'Etat, un organe consultatif composé des plus hautes personnalités de l'Etat qui doit se prononcer sur la dissolution du Parlement.

A l'issue de cette réunion, décrite par la presse comme une «dernière formalité» ouvrant la voie à la convocation d'élections anticipées, le président pourrait annoncer dans la foulée la date du scrutin qui, selon les différents partis, pourrait avoir lieu le 29 mai ou le 5 juin.

Attente de la confirmation de dissolution du gouvernement

Pour l'instant, le chef d'Etat conservateur n'a pas encore officiellement accepté la démission du Premier ministre José Socrates, présentée mercredi dernier après le rejet au Parlement d'un nouveau programme d'austérité, le quatrième en un an.

Si le chef de l'Etat confirme la dissolution du Parlement dès jeudi, le gouvernement démissionnaire se trouvera limité à la gestion des affaires courantes alors que la pression des marchés financiers s'accroît de jour en jour et semble pousser le pays vers une aide extérieure.

Ce jeudi, le ministre des Finances Fernando Teixeira dos Santos a pourtant estimé que le gouvernement démissionnaire n'avait pas la «légitimité» pour négocier un tel plan de sauvetage.

Un déficit public à 8,6% du PIB

Le Portugal a enchaîné cette semaine les mauvaises nouvelles sur le front économique et financier: dégradations successives des agences de notation, contraction de l'économie cette année plus forte que prévue d'après les dernières prévisions de la Banque du Portugal (-1,4% du PIB).

Nouveau coup dur ce jeudi: l'Institut national des statistiques a annoncé que le déficit public pour 2010 s'est établi à 8,6% du PIB, soit nettement au-dessus de l'objectif de 7,3%, en raison de la comptabilisation de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.

Dans ce contexte, les taux d'intérêt des emprunts portugais à 10 ans ont battu un nouveau record mercredi, dépassant le seuil des 8% pour la première fois depuis l'entrée du pays dans la zone euro.

Même pression que sur l'Irlande et la Crèce

Face à la hausse des coûts de financement imposés au Portugal, analystes et agences de notation s'inquiètent de la solvabilité du pays, qui doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin.

Le quotidien de référence Publico soulignait ce jeudi que la pression des marchés et des agences de notation sur le Portugal «est similaire à celle exercée sur la Grèce et l'Irlande» au moment où ces pays ont été contraints de demander une aide.

Pas de sauvetage extérieur pour l'instant

Malgré l'impasse politique et l'urgence financière, José Socrates avait répété mardi qu'il était «très déterminé» à ne pas faire appel à un sauvetage extérieur, tout en reconnaissant que la situation s'était «aggravée».

Pour tenter de surmonter les échéances à venir, le pays pourrait recourir à «des placements privés de dette, à des emprunts directs auprès de banques ou faire appel à des investissements d'autres pays» tels que la Chine ou le Brésil, avançait la presse ce jeudi.

Dans l'immédiat, l'agence de la dette portugaise a annoncé son intention de lever au cours du deuxième trimestre jusqu'à 7 milliards d'euros en emprunts à court terme.