Jean Sarkozy renonce l'Epad: «une grande victoire» pour certains, il fait face à «l'ignominie» pour d'autres
REACTIONS Le fils du président vient d'annoncer qu'il renonçait à la présidence de l'Epad...
Les réactions sont nombreuses au sein de la classe politique après l'annonce faite par Jean Sarkozy de renoncer à la présidence de l' Epad.
A droite: «Il assume courageusement sa démarche»
Pour Thierry Solère, maire-adjoint de Boulogne Billancourt, il s'agit «d'un choix de raison». «Il y a eu une formidable manipulation dans laquelle on a nié le suffrage universel», a-t-il déclaré à 20minutes.fr, ajoutant que «Jean sarkozy a écouté l'opinion publique».
Pour Yves Jégo, député de Seine et marne, qui réagit sur Facebook: «L'avenir donnera raison à Jean Sarkozy. Il a su opposer la dignité à l'ignominie de ceux n'ayant rien a proposer ne cherchent qu'a détruire.»
Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, invité dans l'émission «A vous de juger», a salué le courage de Jean Sarkozy en déclarant «il assume courageusement sa démarche». Une position également partagée par le porte-parole adjoint de l'UMP Dominique Paillé qui a salué «le courage et l'abnégation de Jean Sarkozy». «Je suis convaincu que les Français qui doutaient de sa valeur personnelle ont pu vérifier ce soir à travers ses propos son sens de l'intérêt général, sa stature et son talent», a ajouté le porte-parole adjoint.
Gilles Carrez, rapporteur général UMP du Budget, a, de son côté déclaré: «Au regard de toutes ses qualités, c'est une décision tout à fait sage»
A gauche: «Il est temps de tourner la page et de confier l'Epad à la personne la mieux qualifiée»
Pour le porte-parole du PS Benoît Hamon «le président de la République a reculé sous la pression de l'indignation populaire et d'une immense majorité des Français». «Le président de la République a demandé à son fils de renoncer à une fonction pour laquelle, manifestement, il n'était pas prêt» et relevait «du favoritisme évident», a ajouté le porte-parole. «C'est bien qu'il soit revenu sur terre» et «ait reculé sur une décision qui était inacceptable et incompréhensible», a insisté Benoit Hamon.
Pour Henri Emmanuelli (PS), «Il a un accès de lucidité. Médicalement parlant, c'est rassurant. C'est une grave erreur qu'ils étaient en train de commettre.» Un poitn de vue partagé par Claude Bartolone, député PS, président PS du Conseil général de Seine-Saint-Denis, qui a dit:«C'est vraiment que la pression de l'opinion publique a dû être plus forte que ce que je ressentais. Dans la population, on sentait que cette caricature était devenue une caricature du système de Sarkozy père. C'est plutôt un recul stratégique. Il va falloir démontrer que c'est une simple posture et que c'est la politique cachée par tout ce système qu'il va falloir continuer à combattre.»
Arnaud Montebourg, secrétaire national PS à la rénovation, a déclaré «c'est un pouvoir, acculé, fragile qui renonce à commettre un acte abusif. C'est la preuve que les combats que nous menons dans tous les domaines peuvent conduire un gouvernement abusif à reculer»
Gilles Carrez, rapporteur général UMP du Budget, a, de son côté déclaré: «Au regard de toutes ses qualités, c'est une décision tout à fait sage»
A gauche: «Il est temps de tourner la page et de confier l'Epad à la personne la mieux qualifiée»
Pour le porte-parole du PS Benoît Hamon «le président de la République a reculé sous la pression de l'indignation populaire et d'une immense majorité des Français». «Le président de la République a demandé à son fils de renoncer à une fonction pour laquelle, manifestement, il n'était pas prêt» et relevait «du favoritisme évident», a ajouté le porte-parole. «C'est bien qu'il soit revenu sur terre» et «ait reculé sur une décision qui était inacceptable et incompréhensible», a insisté Benoit Hamon.
Pour Henri Emmanuelli (PS), «Il a un accès de lucidité. Médicalement parlant, c'est rassurant. C'est une grave erreur qu'ils étaient en train de commettre.» Un poitn de vue partagé par Claude Bartolone, député PS, président PS du Conseil général de Seine-Saint-Denis, qui a dit:«C'est vraiment que la pression de l'opinion publique a dû être plus forte que ce que je ressentais. Dans la population, on sentait que cette caricature était devenue une caricature du système de Sarkozy père. C'est plutôt un recul stratégique. Il va falloir démontrer que c'est une simple posture et que c'est la politique cachée par tout ce système qu'il va falloir continuer à combattre.»
Arnaud Montebourg, secrétaire national PS à la rénovation, a déclaré «c'est un pouvoir, acculé, fragile qui renonce à commettre un acte abusif. C'est la preuve que les combats que nous menons dans tous les domaines peuvent conduire un gouvernement abusif à reculer»
Gilles Carrez, rapporteur général UMP du Budget, a, de son côté déclaré: «Au regard de toutes ses qualités, c'est une décision tout à fait sage»
A gauche: «Il est temps de tourner la page et de confier l'Epad à la personne la mieux qualifiée»
Pour le porte-parole du PS Benoît Hamon «le président de la République a reculé sous la pression de l'indignation populaire et d'une immense majorité des Français». «Le président de la République a demandé à son fils de renoncer à une fonction pour laquelle, manifestement, il n'était pas prêt» et relevait «du favoritisme évident», a ajouté le porte-parole. «C'est bien qu'il soit revenu sur terre» et «ait reculé sur une décision qui était inacceptable et incompréhensible», a insisté Benoit Hamon.
Pour Henri Emmanuelli (PS), «Il a un accès de lucidité. Médicalement parlant, c'est rassurant. C'est une grave erreur qu'ils étaient en train de commettre.» Un poitn de vue partagé par Claude Bartolone, député PS, président PS du Conseil général de Seine-Saint-Denis, qui a dit:«C'est vraiment que la pression de l'opinion publique a dû être plus forte que ce que je ressentais. Dans la population, on sentait que cette caricature était devenue une caricature du système de Sarkozy père. C'est plutôt un recul stratégique. Il va falloir démontrer que c'est une simple posture et que c'est la politique cachée par tout ce système qu'il va falloir continuer à combattre.»
Arnaud Montebourg, secrétaire national PS à la rénovation, a déclaré «c'est un pouvoir, acculé, fragile qui renonce à commettre un acte abusif. C'est la preuve que les combats que nous menons dans tous les domaines peuvent conduire un gouvernement abusif à reculer»
Gilles Carrez, rapporteur général UMP du Budget, a, de son côté déclaré: «Au regard de toutes ses qualités, c'est une décision tout à fait sage»
A gauche: «Il est temps de tourner la page et de confier l'Epad à la personne la mieux qualifiée»
Pour le porte-parole du PS Benoît Hamon «le président de la République a reculé sous la pression de l'indignation populaire et d'une immense majorité des Français». «Le président de la République a demandé à son fils de renoncer à une fonction pour laquelle, manifestement, il n'était pas prêt» et relevait «du favoritisme évident», a ajouté le porte-parole. «C'est bien qu'il soit revenu sur terre» et «ait reculé sur une décision qui était inacceptable et incompréhensible», a insisté Benoit Hamon.
Pour Henri Emmanuelli (PS), «Il a un accès de lucidité. Médicalement parlant, c'est rassurant. C'est une grave erreur qu'ils étaient en train de commettre.» Un poitn de vue partagé par Claude Bartolone, député PS, président PS du Conseil général de Seine-Saint-Denis, qui a dit:«C'est vraiment que la pression de l'opinion publique a dû être plus forte que ce que je ressentais. Dans la population, on sentait que cette caricature était devenue une caricature du système de Sarkozy père. C'est plutôt un recul stratégique. Il va falloir démontrer que c'est une simple posture et que c'est la politique cachée par tout ce système qu'il va falloir continuer à combattre.»
Arnaud Montebourg, secrétaire national PS à la rénovation, a déclaré «c'est un pouvoir, acculé, fragile qui renonce à commettre un acte abusif. C'est la preuve que les combats que nous menons dans tous les domaines peuvent conduire un gouvernement abusif à reculer»
Gilles Carrez, rapporteur général UMP du Budget, a, de son côté déclaré: «Au regard de toutes ses qualités, c'est une décision tout à fait sage»
A gauche: «Il est temps de tourner la page et de confier l'Epad à la personne la mieux qualifiée»
Pour le porte-parole du PS Benoît Hamon «le président de la République a reculé sous la pression de l'indignation populaire et d'une immense majorité des Français». «Le président de la République a demandé à son fils de renoncer à une fonction pour laquelle, manifestement, il n'était pas prêt» et relevait «du favoritisme évident», a ajouté le porte-parole. «C'est bien qu'il soit revenu sur terre» et «ait reculé sur une décision qui était inacceptable et incompréhensible», a insisté Benoit Hamon.
Pour Henri Emmanuelli (PS), «Il a un accès de lucidité. Médicalement parlant, c'est rassurant. C'est une grave erreur qu'ils étaient en train de commettre.» Un poitn de vue partagé par Claude Bartolone, député PS, président PS du Conseil général de Seine-Saint-Denis, qui a dit:«C'est vraiment que la pression de l'opinion publique a dû être plus forte que ce que je ressentais. Dans la population, on sentait que cette caricature était devenue une caricature du système de Sarkozy père. C'est plutôt un recul stratégique. Il va falloir démontrer que c'est une simple posture et que c'est la politique cachée par tout ce système qu'il va falloir continuer à combattre.»
Arnaud Montebourg, secrétaire national PS à la rénovation, a déclaré «c'est un pouvoir, acculé, fragile qui renonce à commettre un acte abusif. C'est la preuve que les combats que nous menons dans tous les domaines peuvent conduire un gouvernement abusif à reculer»
Pour Nadine Garcia, conseillère générale (PCF) des Hauts-de-Seine, cette annonce est «une grande victoire de tous ceux qui se sont mobilisés contre cet acte de népotisme». «Dans notre pays, personne ne peut accepter de tels actes de népotisme. Je suis ravie si la mobilisation peut conduire le président de la République et son fils à changer d'attitude», a-t-elle ajouté.
Jean-Luc Mélenchon, président du Parti de gauche, a quant à lui, déclaré «Nicolas Sarkozy a été trop loin, cette fois-ci il s'est fait prendre». C'est un «recul sur un acte d'autorité personnelle. C'est le système d'égocratie qui a subi sa première défaite». «Il est temps de tourner la page et de confier l'Epad à la personne la mieux qualifiée», c'est-à-dire le maire de Nanterre, Patrick Jarry (PCF).
Pour Nadine Garcia, conseillère générale (PCF) des Hauts-de-Seine, cette annonce est «une grande victoire de tous ceux qui se sont mobilisés contre cet acte de népotisme». «Dans notre pays, personne ne peut accepter de tels actes de népotisme. Je suis ravie si la mobilisation peut conduire le président de la République et son fils à changer d'attitude», a-t-elle ajouté.
Jean-Luc Mélenchon, président du Parti de gauche, a quant à lui, déclaré «Nicolas Sarkozy a été trop loin, cette fois-ci il s'est fait prendre». C'est un «recul sur un acte d'autorité personnelle. C'est le système d'égocratie qui a subi sa première défaite». «Il est temps de tourner la page et de confier l'Epad à la personne la mieux qualifiée», c'est-à-dire le maire de Nanterre, Patrick Jarry (PCF).
Pour Nadine Garcia, conseillère générale (PCF) des Hauts-de-Seine, cette annonce est «une grande victoire de tous ceux qui se sont mobilisés contre cet acte de népotisme». «Dans notre pays, personne ne peut accepter de tels actes de népotisme. Je suis ravie si la mobilisation peut conduire le président de la République et son fils à changer d'attitude», a-t-elle ajouté.
Jean-Luc Mélenchon, président du Parti de gauche, a quant à lui, déclaré «Nicolas Sarkozy a été trop loin, cette fois-ci il s'est fait prendre». C'est un «recul sur un acte d'autorité personnelle. C'est le système d'égocratie qui a subi sa première défaite». «Il est temps de tourner la page et de confier l'Epad à la personne la mieux qualifiée», c'est-à-dire le maire de Nanterre, Patrick Jarry (PCF).