Patrick Devedjian va «aider» Jean Sarkozy
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Pas de rancœur, en tout cas en public. Le président du conseil général des Hauts-de-Seine Patrick Devedjian, atteint par la limite d'âge soutient bien sûr son probable successeur Jean Sarkozy. «Je vais voter vendredi pour le candidat de la majorité présidentielle, désigné par la majorité du conseil général, c'est bien sûr un vote politique, pour Jean Sarkozy naturellement», a déclaré à quelques journalistes Patrick Devedjian, en visite à Toulouse comme ministre chargé de la mise en oeuvre du plan de relance.
>> Suivez l'élection de Jean Sarkozy vendredi en direct sur 20minutes.fr
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Pas de rancœur, en tout cas en public. Le président du conseil général des Hauts-de-Seine Patrick Devedjian, atteint par la limite d'âge soutient bien sûr son probable successeur Jean Sarkozy. «Je vais voter vendredi pour le candidat de la majorité présidentielle, désigné par la majorité du conseil général, c'est bien sûr un vote politique, pour Jean Sarkozy naturellement», a déclaré à quelques journalistes Patrick Devedjian, en visite à Toulouse comme ministre chargé de la mise en oeuvre du plan de relance.
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Pas de rancœur, en tout cas en public. Le président du conseil général des Hauts-de-Seine Patrick Devedjian, atteint par la limite d'âge soutient bien sûr son probable successeur Jean Sarkozy. «Je vais voter vendredi pour le candidat de la majorité présidentielle, désigné par la majorité du conseil général, c'est bien sûr un vote politique, pour Jean Sarkozy naturellement», a déclaré à quelques journalistes Patrick Devedjian, en visite à Toulouse comme ministre chargé de la mise en oeuvre du plan de relance.
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Pas de rancœur, en tout cas en public. Le président du conseil général des Hauts-de-Seine Patrick Devedjian, atteint par la limite d'âge soutient bien sûr son probable successeur Jean Sarkozy. «Je vais voter vendredi pour le candidat de la majorité présidentielle, désigné par la majorité du conseil général, c'est bien sûr un vote politique, pour Jean Sarkozy naturellement», a déclaré à quelques journalistes Patrick Devedjian, en visite à Toulouse comme ministre chargé de la mise en oeuvre du plan de relance.
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Commentant son départ de la présidence de l'Epad, le 4 décembre, Patrick Devedjian, 65 ans, a déclaré: «Je ne me sens pas vieux du tout, mais c'est la loi».
Commentant son départ de la présidence de l'Epad, le 4 décembre, Patrick Devedjian, 65 ans, a déclaré: «Je ne me sens pas vieux du tout, mais c'est la loi».
Commentant son départ de la présidence de l'Epad, le 4 décembre, Patrick Devedjian, 65 ans, a déclaré: «Je ne me sens pas vieux du tout, mais c'est la loi».
«Ce n'est pas parce qu'on a 23 ans qu'on est moins intelligent que les gens plus âgés»
«Je reste administrateur (...), je suis aussi président du conseil général, de l'établissement de gestion de La Défense et ministre, tout cela sans limite d'âge, je ne suis pas tout à fait au chômage», a-t-il ajouté.
«Je reste administrateur (...), je suis aussi président du conseil général, de l'établissement de gestion de La Défense et ministre, tout cela sans limite d'âge, je ne suis pas tout à fait au chômage», a-t-il ajouté.
Evoquant la polémique sur le manque d'expérience de Jean Sarkozy, 23 ans, le ministre a souligné: «Je l'aiderai, il ne faut pas mépriser les gens sur le critère d'âge; ce n'est pas parce qu'on a 23 ans qu'on est moins intelligent que les gens plus âgés, Brassens a déjà expliqué cela depuis longtemps».
Evoquant la polémique sur le manque d'expérience de Jean Sarkozy, 23 ans, le ministre a souligné: «Je l'aiderai, il ne faut pas mépriser les gens sur le critère d'âge; ce n'est pas parce qu'on a 23 ans qu'on est moins intelligent que les gens plus âgés, Brassens a déjà expliqué cela depuis longtemps».
«Il ne faut pas dire que c'est vaincre sans péril.»
«Ce n'est pas parce qu'il est fils du président qu'il est élu, c'est parce qu'il est conseiller général», a ajouté Patrick Devedjian. «Quand on voit la fantastique campagne de presse qui accompagne ce mouvement (à l'Epad) et le procès qui est fait à Jean Sarkozy, il ne faut pas dire que c'est vaincre sans péril.»