Déforestation: Les forêts tropicales ont la gueule de bois

Mickaël Bosredon
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La forêt indonésienne brûlée pour laisser la place aux palmiers à huile.
La forêt indonésienne brûlée pour laisser la place aux palmiers à huile. — ACHMAD IBRAHIM/AP/SIPA

L’année internationale de la forêt? «J’aimerais que ce soit  surtout l’occasion de parler de reforestation» lance Pierre-Michel Forget  spécialiste de la forêt tropicale au Muséum national d’histoire naturelle. Il  est en effet «urgent de replanter» après plusieurs années de «forte pression»  exercée sur la forêt dans différents endroits du globe: Asie, Afrique, Brésil…

La principale menace? «Le développement intensif des cultures». «En Asie du Sud-Est la culture de palmiers à huile représente le problème majeur» assure Pierre-Michel Forget. «En Indonésie, d’immenses massifs sont transformés en palmeraies géantes pour fabriquer de l’huile. La région se déboise complètement» renchérit Serge Bahuchet, ethnologue au Muséum. En Afrique c’est «l’élevage intensif des bovins, comme au Mali et au Nigeria» qui empiète sur les réserves forestières indique Pierre-Michel Forget. Sans parler des exploitations industrielles, comme les mines d’aluminium…

Des saisons sèches de plus en plus chaudes

Le réchauffement climatique attaque aussi sévèrement la biodiversité des forêts. Pierre-Michel Forget assure qu’en 25 ans de carrière il a vu «les saisons sèches devenir de plus en plus chaude, et les épisodes d’inondations de plus en plus récurrents et de plus en plus violents, surtout en Guyane.»

Or la forêt, rappelle Pierre-Michel Forget, est essentielle à la survie de l’homme. «Dans un monde de plus en plus pollué par le CO2, il est bon de rappeler que la forêt stocke le carbone, donc fait baisser l’effet de serre. Et c’est aussi un lieu de vie pour de nombreuses populations à travers le monde.» Serge Bahuchet estime à ce sujet que, quand sont prises des mesures de protection, elles négligent ces populations, «car nous avons une mauvaise image de la dépendance de ces milliers d’hommes à la forêt. Dans nos pays occidentaux, depuis des siècles la forêt n’est plus synonyme de que de système de production…» Des mesures de protection qui sont de toute façon difficilement applicables, souligne Pierre-Michel Forget, «en raison du manque de moyens. Au Brésil 40% du territoire est sous le coup d’un statut de conservation. Comment peut-on protéger des surfaces aussi énormes?»

Aider les populations locales

Pour le scientifique le meilleur moyen d’aider la forêt serait de «donner des ressources aux populations locales, les aider à avoir de meilleures conditions de vie en les rapprochant des villes. Ce qu’a fait le Brésil est un bon exemple, puisque le pays est passé de 60 à 30 millions de pauvres, et le rythme de la déforestation régresse: la forêt a perdu 5.000km2 en 2010, contre 25.000 km2 en 2004…»

Il y a donc encore des raisons d’espérer un retournement de la situation. «Je reste optimiste, assure Pierre-Michel Forget. Au Rwanda la décision a été prise de replanter 30% de la forêt disparue ces dernières années. Mais il faut aussi se poser la question de notre mode de consommation à nous, occidentaux: a-t-on autant besoin d’aluminium, d’or? C’est un luxe qu’on se paye mais qui a un coût pour l’environnement…»


La principale menace? «Le développement intensif des cultures». «En Asie du Sud-Est la culture de palmiers à huile représente le problème majeur» assure Pierre-Michel Forget. «En Indonésie, d’immenses massifs sont transformés en palmeraies géantes pour fabriquer de l’huile. La région se déboise complètement» renchérit Serge Bahuchet, ethnologue au Muséum. En Afrique c’est «l’élevage intensif des bovins, comme au Mali et au Nigeria» qui empiète sur les réserves forestières indique Pierre-Michel Forget. Sans parler des exploitations industrielles, comme les mines d’aluminium…

Des saisons sèches de plus en plus chaudes

Le réchauffement climatique attaque aussi sévèrement la biodiversité des forêts. Pierre-Michel Forget assure qu’en 25 ans de carrière il a vu «les saisons sèches devenir de plus en plus chaude, et les épisodes d’inondations de plus en plus récurrents et de plus en plus violents, surtout en Guyane.»

Or la forêt, rappelle Pierre-Michel Forget, est essentielle à la survie de l’homme. «Dans un monde de plus en plus pollué par le CO2, il est bon de rappeler que la forêt stocke le carbone, donc fait baisser l’effet de serre. Et c’est aussi un lieu de vie pour de nombreuses populations à travers le monde.» Serge Bahuchet estime à ce sujet que, quand sont prises des mesures de protection, elles négligent ces populations, «car nous avons une mauvaise image de la dépendance de ces milliers d’hommes à la forêt. Dans nos pays occidentaux, depuis des siècles la forêt n’est plus synonyme de que de système de production…» Des mesures de protection qui sont de toute façon difficilement applicables, souligne Pierre-Michel Forget, «en raison du manque de moyens. Au Brésil 40% du territoire est sous le coup d’un statut de conservation. Comment peut-on protéger des surfaces aussi énormes?»

Aider les populations locales

Pour le scientifique le meilleur moyen d’aider la forêt serait de «donner des ressources aux populations locales, les aider à avoir de meilleures conditions de vie en les rapprochant des villes. Ce qu’a fait le Brésil est un bon exemple, puisque le pays est passé de 60 à 30 millions de pauvres, et le rythme de la déforestation régresse: la forêt a perdu 5.000km2 en 2010, contre 25.000 km2 en 2004…»

Il y a donc encore des raisons d’espérer un retournement de la situation. «Je reste optimiste, assure Pierre-Michel Forget. Au Rwanda la décision a été prise de replanter 30% de la forêt disparue ces dernières années. Mais il faut aussi se poser la question de notre mode de consommation à nous, occidentaux: a-t-on autant besoin d’aluminium, d’or? C’est un luxe qu’on se paye mais qui a un coût pour l’environnement…»


La principale menace? «Le développement intensif des cultures». «En Asie du Sud-Est la culture de palmiers à huile représente le problème majeur» assure Pierre-Michel Forget. «En Indonésie, d’immenses massifs sont transformés en palmeraies géantes pour fabriquer de l’huile. La région se déboise complètement» renchérit Serge Bahuchet, ethnologue au Muséum. En Afrique c’est «l’élevage intensif des bovins, comme au Mali et au Nigeria» qui empiète sur les réserves forestières indique Pierre-Michel Forget. Sans parler des exploitations industrielles, comme les mines d’aluminium…

Des saisons sèches de plus en plus chaudes

Le réchauffement climatique attaque aussi sévèrement la biodiversité des forêts. Pierre-Michel Forget assure qu’en 25 ans de carrière il a vu «les saisons sèches devenir de plus en plus chaude, et les épisodes d’inondations de plus en plus récurrents et de plus en plus violents, surtout en Guyane.»

Or la forêt, rappelle Pierre-Michel Forget, est essentielle à la survie de l’homme. «Dans un monde de plus en plus pollué par le CO2, il est bon de rappeler que la forêt stocke le carbone, donc fait baisser l’effet de serre. Et c’est aussi un lieu de vie pour de nombreuses populations à travers le monde.» Serge Bahuchet estime à ce sujet que, quand sont prises des mesures de protection, elles négligent ces populations, «car nous avons une mauvaise image de la dépendance de ces milliers d’hommes à la forêt. Dans nos pays occidentaux, depuis des siècles la forêt n’est plus synonyme de que de système de production…» Des mesures de protection qui sont de toute façon difficilement applicables, souligne Pierre-Michel Forget, «en raison du manque de moyens. Au Brésil 40% du territoire est sous le coup d’un statut de conservation. Comment peut-on protéger des surfaces aussi énormes?»

Aider les populations locales

Pour le scientifique le meilleur moyen d’aider la forêt serait de «donner des ressources aux populations locales, les aider à avoir de meilleures conditions de vie en les rapprochant des villes. Ce qu’a fait le Brésil est un bon exemple, puisque le pays est passé de 60 à 30 millions de pauvres, et le rythme de la déforestation régresse: la forêt a perdu 5.000km2 en 2010, contre 25.000 km2 en 2004…»

Il y a donc encore des raisons d’espérer un retournement de la situation. «Je reste optimiste, assure Pierre-Michel Forget. Au Rwanda la décision a été prise de replanter 30% de la forêt disparue ces dernières années. Mais il faut aussi se poser la question de notre mode de consommation à nous, occidentaux: a-t-on autant besoin d’aluminium, d’or? C’est un luxe qu’on se paye mais qui a un coût pour l’environnement…»


La principale menace? «Le développement intensif des cultures». «En Asie du Sud-Est la culture de palmiers à huile représente le problème majeur» assure Pierre-Michel Forget. «En Indonésie, d’immenses massifs sont transformés en palmeraies géantes pour fabriquer de l’huile. La région se déboise complètement» renchérit Serge Bahuchet, ethnologue au Muséum. En Afrique c’est «l’élevage intensif des bovins, comme au Mali et au Nigeria» qui empiète sur les réserves forestières indique Pierre-Michel Forget. Sans parler des exploitations industrielles, comme les mines d’aluminium…

Des saisons sèches de plus en plus chaudes

Le réchauffement climatique attaque aussi sévèrement la biodiversité des forêts. Pierre-Michel Forget assure qu’en 25 ans de carrière il a vu «les saisons sèches devenir de plus en plus chaude, et les épisodes d’inondations de plus en plus récurrents et de plus en plus violents, surtout en Guyane.»

Or la forêt, rappelle Pierre-Michel Forget, est essentielle à la survie de l’homme. «Dans un monde de plus en plus pollué par le CO2, il est bon de rappeler que la forêt stocke le carbone, donc fait baisser l’effet de serre. Et c’est aussi un lieu de vie pour de nombreuses populations à travers le monde.» Serge Bahuchet estime à ce sujet que, quand sont prises des mesures de protection, elles négligent ces populations, «car nous avons une mauvaise image de la dépendance de ces milliers d’hommes à la forêt. Dans nos pays occidentaux, depuis des siècles la forêt n’est plus synonyme de que de système de production…» Des mesures de protection qui sont de toute façon difficilement applicables, souligne Pierre-Michel Forget, «en raison du manque de moyens. Au Brésil 40% du territoire est sous le coup d’un statut de conservation. Comment peut-on protéger des surfaces aussi énormes?»

Aider les populations locales

Pour le scientifique le meilleur moyen d’aider la forêt serait de «donner des ressources aux populations locales, les aider à avoir de meilleures conditions de vie en les rapprochant des villes. Ce qu’a fait le Brésil est un bon exemple, puisque le pays est passé de 60 à 30 millions de pauvres, et le rythme de la déforestation régresse: la forêt a perdu 5.000km2 en 2010, contre 25.000 km2 en 2004…»

Il y a donc encore des raisons d’espérer un retournement de la situation. «Je reste optimiste, assure Pierre-Michel Forget. Au Rwanda la décision a été prise de replanter 30% de la forêt disparue ces dernières années. Mais il faut aussi se poser la question de notre mode de consommation à nous, occidentaux: a-t-on autant besoin d’aluminium, d’or? C’est un luxe qu’on se paye mais qui a un coût pour l’environnement…»


La principale menace? «Le développement intensif des cultures». «En Asie du Sud-Est la culture de palmiers à huile représente le problème majeur» assure Pierre-Michel Forget. «En Indonésie, d’immenses massifs sont transformés en palmeraies géantes pour fabriquer de l’huile. La région se déboise complètement» renchérit Serge Bahuchet, ethnologue au Muséum. En Afrique c’est «l’élevage intensif des bovins, comme au Mali et au Nigeria» qui empiète sur les réserves forestières indique Pierre-Michel Forget. Sans parler des exploitations industrielles, comme les mines d’aluminium…

Des saisons sèches de plus en plus chaudes

Le réchauffement climatique attaque aussi sévèrement la biodiversité des forêts. Pierre-Michel Forget assure qu’en 25 ans de carrière il a vu «les saisons sèches devenir de plus en plus chaude, et les épisodes d’inondations de plus en plus récurrents et de plus en plus violents, surtout en Guyane.»

Or la forêt, rappelle Pierre-Michel Forget, est essentielle à la survie de l’homme. «Dans un monde de plus en plus pollué par le CO2, il est bon de rappeler que la forêt stocke le carbone, donc fait baisser l’effet de serre. Et c’est aussi un lieu de vie pour de nombreuses populations à travers le monde.» Serge Bahuchet estime à ce sujet que, quand sont prises des mesures de protection, elles négligent ces populations, «car nous avons une mauvaise image de la dépendance de ces milliers d’hommes à la forêt. Dans nos pays occidentaux, depuis des siècles la forêt n’est plus synonyme de que de système de production…» Des mesures de protection qui sont de toute façon difficilement applicables, souligne Pierre-Michel Forget, «en raison du manque de moyens. Au Brésil 40% du territoire est sous le coup d’un statut de conservation. Comment peut-on protéger des surfaces aussi énormes?»

Aider les populations locales

Pour le scientifique le meilleur moyen d’aider la forêt serait de «donner des ressources aux populations locales, les aider à avoir de meilleures conditions de vie en les rapprochant des villes. Ce qu’a fait le Brésil est un bon exemple, puisque le pays est passé de 60 à 30 millions de pauvres, et le rythme de la déforestation régresse: la forêt a perdu 5.000km2 en 2010, contre 25.000 km2 en 2004…»

Il y a donc encore des raisons d’espérer un retournement de la situation. «Je reste optimiste, assure Pierre-Michel Forget. Au Rwanda la décision a été prise de replanter 30% de la forêt disparue ces dernières années. Mais il faut aussi se poser la question de notre mode de consommation à nous, occidentaux: a-t-on autant besoin d’aluminium, d’or? C’est un luxe qu’on se paye mais qui a un coût pour l’environnement…»


La principale menace? «Le développement intensif des cultures». «En Asie du Sud-Est la culture de palmiers à huile représente le problème majeur» assure Pierre-Michel Forget. «En Indonésie, d’immenses massifs sont transformés en palmeraies géantes pour fabriquer de l’huile. La région se déboise complètement» renchérit Serge Bahuchet, ethnologue au Muséum. En Afrique c’est «l’élevage intensif des bovins, comme au Mali et au Nigeria» qui empiète sur les réserves forestières indique Pierre-Michel Forget. Sans parler des exploitations industrielles, comme les mines d’aluminium…

Des saisons sèches de plus en plus chaudes

Le réchauffement climatique attaque aussi sévèrement la biodiversité des forêts. Pierre-Michel Forget assure qu’en 25 ans de carrière il a vu «les saisons sèches devenir de plus en plus chaude, et les épisodes d’inondations de plus en plus récurrents et de plus en plus violents, surtout en Guyane.»

Or la forêt, rappelle Pierre-Michel Forget, est essentielle à la survie de l’homme. «Dans un monde de plus en plus pollué par le CO2, il est bon de rappeler que la forêt stocke le carbone, donc fait baisser l’effet de serre. Et c’est aussi un lieu de vie pour de nombreuses populations à travers le monde.» Serge Bahuchet estime à ce sujet que, quand sont prises des mesures de protection, elles négligent ces populations, «car nous avons une mauvaise image de la dépendance de ces milliers d’hommes à la forêt. Dans nos pays occidentaux, depuis des siècles la forêt n’est plus synonyme de que de système de production…» Des mesures de protection qui sont de toute façon difficilement applicables, souligne Pierre-Michel Forget, «en raison du manque de moyens. Au Brésil 40% du territoire est sous le coup d’un statut de conservation. Comment peut-on protéger des surfaces aussi énormes?»

Aider les populations locales

Pour le scientifique le meilleur moyen d’aider la forêt serait de «donner des ressources aux populations locales, les aider à avoir de meilleures conditions de vie en les rapprochant des villes. Ce qu’a fait le Brésil est un bon exemple, puisque le pays est passé de 60 à 30 millions de pauvres, et le rythme de la déforestation régresse: la forêt a perdu 5.000km2 en 2010, contre 25.000 km2 en 2004…»

Il y a donc encore des raisons d’espérer un retournement de la situation. «Je reste optimiste, assure Pierre-Michel Forget. Au Rwanda la décision a été prise de replanter 30% de la forêt disparue ces dernières années. Mais il faut aussi se poser la question de notre mode de consommation à nous, occidentaux: a-t-on autant besoin d’aluminium, d’or? C’est un luxe qu’on se paye mais qui a un coût pour l’environnement…»


La principale menace? «Le développement intensif des cultures». «En Asie du Sud-Est la culture de palmiers à huile représente le problème majeur» assure Pierre-Michel Forget. «En Indonésie, d’immenses massifs sont transformés en palmeraies géantes pour fabriquer de l’huile. La région se déboise complètement» renchérit Serge Bahuchet, ethnologue au Muséum. En Afrique c’est «l’élevage intensif des bovins, comme au Mali et au Nigeria» qui empiète sur les réserves forestières indique Pierre-Michel Forget. Sans parler des exploitations industrielles, comme les mines d’aluminium…

Des saisons sèches de plus en plus chaudes

Le réchauffement climatique attaque aussi sévèrement la biodiversité des forêts. Pierre-Michel Forget assure qu’en 25 ans de carrière il a vu «les saisons sèches devenir de plus en plus chaude, et les épisodes d’inondations de plus en plus récurrents et de plus en plus violents, surtout en Guyane.»

Or la forêt, rappelle Pierre-Michel Forget, est essentielle à la survie de l’homme. «Dans un monde de plus en plus pollué par le CO2, il est bon de rappeler que la forêt stocke le carbone, donc fait baisser l’effet de serre. Et c’est aussi un lieu de vie pour de nombreuses populations à travers le monde.» Serge Bahuchet estime à ce sujet que, quand sont prises des mesures de protection, elles négligent ces populations, «car nous avons une mauvaise image de la dépendance de ces milliers d’hommes à la forêt. Dans nos pays occidentaux, depuis des siècles la forêt n’est plus synonyme de que de système de production…» Des mesures de protection qui sont de toute façon difficilement applicables, souligne Pierre-Michel Forget, «en raison du manque de moyens. Au Brésil 40% du territoire est sous le coup d’un statut de conservation. Comment peut-on protéger des surfaces aussi énormes?»

Aider les populations locales

Pour le scientifique le meilleur moyen d’aider la forêt serait de «donner des ressources aux populations locales, les aider à avoir de meilleures conditions de vie en les rapprochant des villes. Ce qu’a fait le Brésil est un bon exemple, puisque le pays est passé de 60 à 30 millions de pauvres, et le rythme de la déforestation régresse: la forêt a perdu 5.000km2 en 2010, contre 25.000 km2 en 2004…»

Il y a donc encore des raisons d’espérer un retournement de la situation. «Je reste optimiste, assure Pierre-Michel Forget. Au Rwanda la décision a été prise de replanter 30% de la forêt disparue ces dernières années. Mais il faut aussi se poser la question de notre mode de consommation à nous, occidentaux: a-t-on autant besoin d’aluminium, d’or? C’est un luxe qu’on se paye mais qui a un coût pour l’environnement…»