Pollution: D'ici à 2050, la totalité des oiseaux marins auront avalé du plastique

BIODIVERSITE Dans les océans, en certains endroits, le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2 est atteint...

20 Minutes avec agences
— 
Un albatros vole au-dessus des mers Australes au large de l'archipel des Crozet, le 1er juillet 2007
Un albatros vole au-dessus des mers Australes au large de l'archipel des Crozet, le 1er juillet 2007 — Marcel Mochet AFP

La majorité des oiseaux marins à travers le monde a déjà ingurgité du plastique, mais d’ici à 2050, quelque 99 % des albatros, manchots, mouettes et autres volatiles des mers seront touchés par cette pollution.

La pollution au plastique, qui selon des scientifiques* atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Des oiseaux qui peuvent ainsi développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique.

Une menace « géographiquement étendue »

Dans leur étude publiée ce lundi dans les comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS), les chercheurs notent toutefois qu’une « gestion efficace des déchets peut réduire cette menace ». « Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercussions sur les espèces marines, et les résultats sont frappants », a estimé Chris Wilcox, chercheur à l’Agence nationale australienne pour la science (CSIRO).

Et de poursuivre : « Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90 % des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique. »

Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La menace « est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement » estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent « aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande », en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur.

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les onze ans, rappelle l’étude. « Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué » depuis le début de la production de plastique…

Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

* Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5 % des oiseaux marins étaient concernés.

le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2

La pollution au plastique, qui selon des scientifiques* atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Des oiseaux qui peuvent ainsi développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique.

Une menace « géographiquement étendue »

Dans leur étude publiée ce lundi dans les comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS), les chercheurs notent toutefois qu’une « gestion efficace des déchets peut réduire cette menace ». « Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercussions sur les espèces marines, et les résultats sont frappants », a estimé Chris Wilcox, chercheur à l’Agence nationale australienne pour la science (CSIRO).

Et de poursuivre : « Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90 % des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique. »

Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La menace « est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement » estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent « aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande », en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur.

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les onze ans, rappelle l’étude. « Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué » depuis le début de la production de plastique…

Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

* Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5 % des oiseaux marins étaient concernés.


La pollution au plastique, qui selon des scientifiques* atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Des oiseaux qui peuvent ainsi développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique.

Une menace « géographiquement étendue »

Dans leur étude publiée ce lundi dans les comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS), les chercheurs notent toutefois qu’une « gestion efficace des déchets peut réduire cette menace ». « Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercussions sur les espèces marines, et les résultats sont frappants », a estimé Chris Wilcox, chercheur à l’Agence nationale australienne pour la science (CSIRO).

Et de poursuivre : « Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90 % des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique. »

Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La menace « est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement » estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent « aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande », en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur.

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les onze ans, rappelle l’étude. « Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué » depuis le début de la production de plastique…

Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

* Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5 % des oiseaux marins étaient concernés.


La pollution au plastique, qui selon des scientifiques* atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Des oiseaux qui peuvent ainsi développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique.

Une menace « géographiquement étendue »

Dans leur étude publiée ce lundi dans les comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS), les chercheurs notent toutefois qu’une « gestion efficace des déchets peut réduire cette menace ». « Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercussions sur les espèces marines, et les résultats sont frappants », a estimé Chris Wilcox, chercheur à l’Agence nationale australienne pour la science (CSIRO).

Et de poursuivre : « Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90 % des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique. »

Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La menace « est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement » estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent « aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande », en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur.

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les onze ans, rappelle l’étude. « Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué » depuis le début de la production de plastique…

Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

* Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5 % des oiseaux marins étaient concernés.

comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS)

La pollution au plastique, qui selon des scientifiques* atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Des oiseaux qui peuvent ainsi développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique.

Une menace « géographiquement étendue »

Dans leur étude publiée ce lundi dans les comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS), les chercheurs notent toutefois qu’une « gestion efficace des déchets peut réduire cette menace ». « Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercussions sur les espèces marines, et les résultats sont frappants », a estimé Chris Wilcox, chercheur à l’Agence nationale australienne pour la science (CSIRO).

Et de poursuivre : « Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90 % des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique. »

Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La menace « est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement » estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent « aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande », en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur.

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les onze ans, rappelle l’étude. « Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué » depuis le début de la production de plastique…

Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

* Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5 % des oiseaux marins étaient concernés.


La pollution au plastique, qui selon des scientifiques* atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Des oiseaux qui peuvent ainsi développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique.

Une menace « géographiquement étendue »

Dans leur étude publiée ce lundi dans les comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS), les chercheurs notent toutefois qu’une « gestion efficace des déchets peut réduire cette menace ». « Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercussions sur les espèces marines, et les résultats sont frappants », a estimé Chris Wilcox, chercheur à l’Agence nationale australienne pour la science (CSIRO).

Et de poursuivre : « Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90 % des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique. »

Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La menace « est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement » estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent « aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande », en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur.

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les onze ans, rappelle l’étude. « Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué » depuis le début de la production de plastique…

Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

* Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5 % des oiseaux marins étaient concernés.


Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La pollution au plastique, qui selon des scientifiques* atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Des oiseaux qui peuvent ainsi développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique.

Une menace « géographiquement étendue »

Dans leur étude publiée ce lundi dans les comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS), les chercheurs notent toutefois qu’une « gestion efficace des déchets peut réduire cette menace ». « Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercussions sur les espèces marines, et les résultats sont frappants », a estimé Chris Wilcox, chercheur à l’Agence nationale australienne pour la science (CSIRO).

Et de poursuivre : « Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90 % des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique. »

Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La menace « est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement » estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent « aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande », en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur.

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les onze ans, rappelle l’étude. « Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué » depuis le début de la production de plastique…

Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

* Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5 % des oiseaux marins étaient concernés.


La pollution au plastique, qui selon des scientifiques* atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Des oiseaux qui peuvent ainsi développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique.

Une menace « géographiquement étendue »

Dans leur étude publiée ce lundi dans les comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS), les chercheurs notent toutefois qu’une « gestion efficace des déchets peut réduire cette menace ». « Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercussions sur les espèces marines, et les résultats sont frappants », a estimé Chris Wilcox, chercheur à l’Agence nationale australienne pour la science (CSIRO).

Et de poursuivre : « Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90 % des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique. »

Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La menace « est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement » estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent « aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande », en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur.

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les onze ans, rappelle l’étude. « Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué » depuis le début de la production de plastique…

Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

* Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5 % des oiseaux marins étaient concernés.


Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

La pollution au plastique, qui selon des scientifiques* atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Des oiseaux qui peuvent ainsi développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique.

Une menace « géographiquement étendue »

Dans leur étude publiée ce lundi dans les comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS), les chercheurs notent toutefois qu’une « gestion efficace des déchets peut réduire cette menace ». « Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercussions sur les espèces marines, et les résultats sont frappants », a estimé Chris Wilcox, chercheur à l’Agence nationale australienne pour la science (CSIRO).

Et de poursuivre : « Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90 % des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique. »

Pollution des mers par le plastique : nouvelle expédition dans l’Atlantique nord

La menace « est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement » estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent « aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande », en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur.

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les onze ans, rappelle l’étude. « Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué » depuis le début de la production de plastique…

Il y aura presque dix fois plus de déchets plastiques versés dans les océans en 2025

* Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5 % des oiseaux marins étaient concernés.