Nice: Un potager sème la zizanie sur la future route de l'Allianz riviera
TRAVAUX La justice doit se prononcer sur l’expulsion d’octogénaires niçois...
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».
L’attente continue pour la famille Venturino-Carabalona. Trois octogénaires niçois (un homme, son épouse et sa belle-sœur sous curatelle et tutelle) devraient savoir, le 26 novembre, s’ils pourront rester chez eux. La décision du juge attendue jeudi, sur leur expulsion demandée par la métropole Nice Côte d'Azur, a été décalée.
Depuis quatre ans, cette dernière tente de récupérer la petite villa, avec jardin et potager, située sur l’emprise de la future route menant à l’Allianz Riviera. Alors que les travaux battent leur plein, en vue de l’Euro 2016 de football, Jeanne Venturino-Carabalona a réaffirmé sa volonté de ne pas bouger.
Des offres de relogements
« Je veux mourir ici. J’ai toujours vécu là. Mes parents ont beaucoup transpiré pour faire construire. Une forte somme d’argent ne me fera pas changer d’avis », a-t-elle notamment lancé jeudi. La métropole a formulé plusieurs offres de relogement dont une maison située juste à côté. Elle a aussi provisionné un peu plus de 700.000 €.
Une somme jugée « au minimum sept fois inférieure au marché » par les défenseurs des octogénaires. Selon le mandataire de la famille, Gilles Zamolo, l’échange d’une partie du terrain des Venturino à l’ouest, contre un autre de la métropole, côté est, pourrait tout débloquer. « La route passerait à 5 m de la villa, ça ne les gênerait pas », assure-t-il.
Au total, 52 parcelles devaient être acquises
Au-delà de ce litige, le 303, avenue Sainte-Marguerite est devenu un symbole pour les opposants aux aménagements de la Plaine du Var. A l’image du potager des Venturino. Une association y fait pousser des légumes bios afin de financer les frais de justice.
La nouvelle route doit relier les quartiers Saint-Augustin et Saint-Isidore. Selon la métropole, 52 parcelles devaient être acquises : « treize l’ont été à l’amiable et 39 ont fait l’objet d’une expropriation ».