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Guerre en Ukraine : Au moins huit morts dans les frappes russes
CONFLIT Retrouvez les dernières informations sur le conflit du lundi 17 octobre 2022
L’ESSENTIEL
- Les ministres des Affaires étrangères des 27 pays membres de l’UE vont avaliser ce lundi le lancement d’une mission, immédiatement opérationnelle, pour former sur son territoire 15.000 soldats ukrainiens et l’octroi d’une nouvelle dotation de 500 millions d’euros pour la fourniture d’armes à l’Ukraine.
- Dans ce cadre, la France va former « jusqu’à 2.000 soldats ukrainiens » sur son sol, a annoncé le ministre des Armées Sébastien Lecornu.
- Les Européens continuent de dénoncer la fourniture de drone à la Russie par l’Iran en violation des résolutions des Nations Unies, ce que Téhéran dément. Le chef de diplomatie européenne Josep Borrell a fait part de ces préoccupations au ministre iranien Hossein Amir-Abdollahian lors d’un entretien téléphonique vendredi.
- Trois explosions ont été entendues lundi matin à Kiev, une semaine exactement après des frappes russes sur la capitale ukrainienne.
A VOIR
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Un avion militaire russe s’est écrasé dans un quartier habité de la ville de Ieïesk, sur les rives de la mer d’Azov, proche de l’Ukraine, selon le ministère de la Défense, cité par les agences russes.
« A l’endroit de la chute du Soukhoï 34 dans la cour d’un quartier d’habitation, le carburant de l’avion a pris feu », précise le ministère, alors que des images sur les réseaux sociaux filmées par des témoins montrent un gigantesque incendie dans un immeuble d’habitation.
Cent huit femmes, en grande partie des militaires, ont été libérées de captivité à la faveur d’un nouvel échange de prisonniers avec la Russie, a annoncé lundi un conseiller de la présidence ukrainienne.
« Un nouvel échange à grande échelle de prisonniers de guerre a eu lieu aujourd’hui. Un échange particulièrement émouvant et vraiment spécial : nous avons libéré 108 femmes de captivité », a indiqué Andriï Iermak sur Telegram.
Les députés russes ont appelé lundi à durcir la loi décriée condamnant la « propagande homosexuelle », nouveau signe du durcissement de la ligne conservatrice du Kremlin en pleine offensive en Ukraine et brouille avec les Occidentaux.
Selon les amendements discutés à la chambre basse du Parlement russe, la Douma, la loi de 2013 interdisant la « propagande homosexuelle » auprès des mineurs serait renforcée d’une interdiction du « déni des valeurs familiales » et de la « promotion des orientations sexuelles non-traditionnelles ».
« L’opération spéciale (en Ukraine) prend place non seulement sur le champ de bataille, mais également dans les esprits et les âmes des gens », a déclaré Alexandre Khinstein, à la tête du Comité d’information de la Douma.
Au moins huit personnes ont été tuées dans les multiples frappes russes menées lundi matin sur l’Ukraine, notamment sur la capitale Kiev et la région de Soumy (nord-est), ont annoncé les autorités locales.
« Aujourd’hui, à la suite de l’attaque (russe) contre un immeuble résidentiel à Kiev, quatre personnes sont mortes », a indiqué sur Telegram le président ukrainien Volodymyr Zelensky, accompagnant son message de plusieurs photos du bâtiment touché.
De la fumée était visible, ainsi qu’un énorme tas de débris où les pompiers s’affairaient.
« Parmi (les personnes tuées) se trouve une jeune famille qui attendait un bébé », a déploré le président.
« Yuriy Ignat, porte-parole de l'armée de l'air ukrainienne, déclare que 43 drones kamikazes ont été lancés par la Russie depuis le sud pour attaquer l'Ukraine depuis dimanche soir, les défenses aériennes ayant réussi à abattre 37 d'entre eux », rapporte Christopher Miller, journaliste correspondant du Financial Times.
Il est 08h13 lundi matin dans le centre de la capitale ukrainienne. C’est la seconde frappe dans cette rue du quartier résidentiel Chevchtchenko et au moins la quatrième depuis 06h30 sur la ville, déjà touchée il y a une semaine jour pour jour.
Au milieu d’un carrefour, à 100 mètres de la première explosion, les policiers Oleg et Iaroslav ont garé leur voiture siglée police. Ils empêchent la circulation des véhicules et l’accès aux bâtiments touchés par les drones kamikazes, si bien qu’il n’était possible pour les journalistes de l’AFP de dire ce qu’abritaient les cibles touchées. La mairie a fait état d’un immeuble résidentiel partiellement détruit par l’attaque qui a fait au moins trois morts.
Quelques habitants regardent vers le lieu de la première explosion. De la fumée se dégage encore au loin. Tout à coup, des cris, et un mouvement de panique. Les têtes se lèvent vers le ciel. Des gens courent se mettre à l’abri. D’abord lointain, le bruit d’un drone se fait plus précis quand l’engin passe au-dessus du quartier. Bien visible, même si elle est à plusieurs dizaines de mètres de hauteur, l’aile delta blanche survole des immeubles. Comme d’autres policiers ou militaires présents dans le quartier, Iaroslav saisit sa kalachnikov, pose un genou à terre et se met à tirer vers le ciel en direction du drone.
Des crépitements d’armes à feu retentissent dans le quartier, au coup par coup ou par rafales. Mais rien n’y fait. L’engin poursuit son vol, oblique vers le sol et vient s’écraser 200 mètres plus loin. L’explosion résonne dans les rues. Moins de 10 minutes plus tard, vers 08h20, la scène se répète au même endroit. Troisième frappe d’affilée.
Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne ont adopté lundi des sanctions contre les responsables iraniens, dont des responsables de la police des mœurs, impliqués dans la répression des manifestations déclenchées par la mort de Mahsa Amini. Mais Kiev en réclame davantage après les frappes par drones qui ont touché la capitale et d’autres régions ce lundi. Ces drones utilisés par l’armée russe ont été fournis par Téhéran.
« (Les rapports) sur l'Iran fournissant des drones à la Russie ont des ambitions politiques. Nous n'avons fourni d'armes à aucun camp de la guerre », a toutefois nié Nasser Kanaani, porte-parole des autorités iraniennes, selon l'agence Reuters.
« Cette vidéo publiée par Oleksiy Biloshytskyi, premier chef adjoint de la police de patrouille, montre des policiers abattant un drone kamikaze à l'aide d'armes à feu lors d'une attaque russe dans le centre de Kiev », rapporte The Kyiv Independent.
La police norvégienne a annoncé lundi l’arrestation de quatre Russes suspectés d’avoir violé une interdiction de photographier, après une série d’interpellations similaires dans un climat de nervosité sur les sites stratégiques du pays. La nature exacte de l’objet ou du site auquel les quatre Russes (trois hommes et une femme) s’étaient intéressés n’a pas été divulguée. Cette annonce survient quelques jours après les arrestations dans le pays de deux autres Russes accusés, dans deux incidents séparés, d’avoir illégalement fait voler des drones et pris des photos et/ou vidéos au-dessus du territoire norvégien.
Les quatre Russes ont été arrêtés dans le nord du pays dans une voiture immatriculée en Russie jeudi dernier et placés le lendemain en détention provisoire pour sept jours, a indiqué la police régionale dans un communiqué. Ils avaient été auparavant observés en train de photographier dans une zone soumise à une interdiction de photographier dans cette région du Nordland, mais ne possèdent pas de drone contrairement à d’autres Russes arrêtés ces derniers jours.
La journaliste russe Marina Ovsiannikova, assigné à résidence pour avoir dénoncé l’offensive russe en Ukraine, a fui la Russie avec sa fille, a indiqué lundi son avocat à l’AFP. « Ovsiannikova a quitté la Russie avec sa fille quelques heures après avoir quitté l’appartement où elle était assignée à résidence », a dit Dmitri Zakhvatov, précisant que mère et fille se trouvent en Europe, une annonce qui intervient deux semaines après qu’un avis de recherche à son encontre a été émis par les autorités russes, laissant entendre qu’elle était en fuite.
« Lors des opérations de recherches et de secours (…), les corps de trois civils morts ont été retirés », a indiqué le maire de Kiev Vitali Klitschko. « Parmi eux se trouve un jeune couple, un mari et sa femme qui attendaient un enfant. Elle était enceinte de 6 mois », a-t-il précisé.
Les frappes russes lundi matin sur des « infrastructures énergétiques » de trois régions d’Ukraine, dont la capitale Kiev, mais aussi les régions de Dnipropetrovsk (centre-est) et Soumy (nord-est), ont provoqué de nombreuses coupures de courant, selon le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal.
« Des centaines de localités sont sans électricité », a-t-il indiqué. « Tous les services travaillent actuellement (…) à rétablir l’approvisionnement en électricité », a-t-il assuré, demandant à la population de ces trois régions « d’économiser la consommation d’électricité, surtout aux heures de pointe ».
Découvrez la vidéo explicative des équipes de 20 Minutes sur ce qui pourrait être un tournant dans la guerre en la Russie et l'Ukraine :
Au moins six personnes ont été tuées dans les multiples frappes russes menées lundi matin sur l’Ukraine, notamment sur la capitale Kiev et la région de Soumy (nord-est), ont annoncé les autorités locales.
« À l’heure actuelle, le nombre de personnes tuées à la suite d’une attaque de drone kamikaze contre un immeuble résidentiel (de Kiev) est passé à trois », a affirmé sur Telegram un responsable de la présidence ukrainienne Kyrylo Timochenko.
Le prix du gaz européen reculait lundi à son plus bas depuis juin, alors que l’Union européenne multiplie les efforts pour compenser les livraisons russes, plusieurs pays faisant état de réserves plus abondantes que prévu avant l’hiver.
Le contrat à terme du TTF néerlandais, référence du gaz naturel en Europe, coûtait 137,20 euros le mégawattheure (MWh) vers 12 heures à Paris après avoir reculé jusqu’à 131,10 euros, un niveau plus vu depuis fin juin. « Les réserves de gaz naturel se remplissent plus vite qu’on ne le pensait encore il y a quelques mois », a expliqué à l’AFP Giovanni Staunovo, analyste chez UBS.
L’armée russe a assuré lundi avoir atteint toutes ses cibles en Ukraine, après des frappes meurtrières dans la matinée qui ont visé des infrastructures cruciales dans trois régions du pays et provoqué des coupures d’électricité.
« Les forces armées russes ont continué à mener des frappes aériennes et maritimes à longue portée avec des armes de haute précision contre les installations de commandement militaire et de systèmes énergétiques d’Ukraine. Toutes les installations ciblées ont été touchées », a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram.
Les frappes russes menées lundi matin sur Kiev avec des drones kamikazes ont fait au moins trois morts, selon le dernier bilan communiqué par la présidence ukrainienne.
« À l’heure actuelle, le nombre de personnes tuées à la suite d’une attaque de drone kamikaze contre un immeuble résidentiel est passé à trois », a affirmé un responsable de la présidence ukrainienne, Kyrylo Timochenko.
L’ex-président russe et actuel numéro 2 du Conseil de sécurité, Dmitri Medvedev, a mis en garde Israël contre des livraisons d’armes à l’Ukraine, estimant que cela « détruirait » la relation avec la Russie.
« Israël semble s’apprêter à livrer des armes au régime de Kiev. C’est une mesure très imprudente. Elle détruira toutes les relations inter-étatiques entre nos pays », a-t-il estimé sur son compte Telegram.
Les centres de mobilisation militaires de Moscou, ouverts depuis près d’un mois, vont fermer lundi, a annoncé le maire de la capitale russe, Sergueï Sobianine, estimant que la capitale russe avait mobilisé son quota de réservistes pour combattre en Ukraine.
« Les centres de mobilisation pour les personnes mobilisées ferment le 17 octobre 2022 à 14 heures locales », a indiqué Sergueï Sobianine dans un communiqué, sans donner d’indications sur le nombre de Moscovites mobilisés en près d’un mois.
Plusieurs frappes russes ont visé lundi matin des infrastructures cruciales de trois régions d’Ukraine, dont la capitale Kiev, laissant « des centaines de localités » sans électricité, a annoncé le Premier ministre ukrainien, Denys Chmygal dans la matinée.
« Ce matin, des terroristes russes ont de nouveau attaqué les infrastructures énergétiques de l’Ukraine dans trois régions », a-t-il déploré, citant « cinq frappes de drone » sur la capitale Kiev et « des attaques au missile » sur les régions de Dnipropetrovsk (centre-est) et Soumy (nord-est). « Des centaines de localités sont sans électricité », a-t-il ajouté.
Volker Türk, qui a commencé lundi son mandat de Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, a exhorté à ne pas viser d’objectifs civils au moment où Kiev était bombardée par la Russie avec des drones.
« Nous avons des informations de nos collègues qui se trouvent sur place sur des attaques de drones et il est crucial que les infrastructures civiles - que les civils - ne soient pas visées et c’est très difficile dans des zones densément peuplées », a-t-il déclaré à son arrivée au siège du Haut-Commissariat, où il prend la relève de l’ancienne présidente du Chili, Michelle Bachelet.
« Il est clair que l’escalade dans le conflit est extrêmement troublante à nos yeux et c’est ce qui arrive en Ukraine, et dans bien d’autres pays dans le monde », a souligné Volker Türk, devant quelques journalistes.
Au moins une femme est morte et trois autres personnes ont été blessées dans une frappe russe lundi matin sur un immeuble résidentiel du centre-ville de Kiev, a annoncé le maire de la capitale, Vitali Klitschko.
« Le corps d’une femme sans vie a été retrouvé dans les décombres. (…) Trois blessés sont hospitalisés », a indiqué Vitali Klitschko sur les réseaux sociaux, précisant qu' « une autre personne se trouvait encore sous les décombres ».
L’Ukraine a demandé lundi l’exclusion de la Russie du G20, à un mois d’un sommet prévu en Indonésie, après les frappes de drones kamikazes sur Kiev tôt dans la matinée.
« Ceux qui donnent l’ordre d’attaquer les infrastructures critiques (…) et qui organisent une mobilisation générale pour recouvrir la ligne de front de cadavres, ne peuvent pas s’asseoir à la même table que les dirigeants du G20. La Russie doit être exclue », a exhorté sur Twitter un conseiller de la présidence, Mykhaïlo Podoliak.
Les frappes russes sur Kiev et d’autres villes d’Ukraine lundi matin « n’arriveront pas à briser » les Ukrainiens, a affirmé le président Volodymyr Zelensky à la suite de plusieurs attaques sur la capitale par des drones kamikazes.
« L’ennemi peut attaquer nos villes, mais ils n’arriveront pas à nous briser », a-t-il indiqué sur les réseaux sociaux. Le maire de Kiev, Vitali Klitschko, a de son côté précisé que deux personnes « étaient toujours sous les décombres » de l’immeuble résidentiel touché dans une zone proche du centre-ville de Kiev.
L’administration militaire de Kiev a indiqué que « quatre frappes ont été enregistrées », dans Kiev qui depuis le début de la semaine passée est de nouveau visée par les forces russes, alors que la ville avait été épargnée depuis la fin juin par les bombardements.
Un immeuble résidentiel dans le quartier de Chevtchenko, en centre-ville, a notamment été touché selon la même source. « Dix-huit personnes ont été sauvées (de cet immeuble). Selon de premières informations, deux personnes sont sous les décombres », a indiqué le maire, Vitali Klitschko, sur Telegram.
Kiev a été frappée à quatre reprises, lundi matin, lors d'attaques de drones iraniens qui ont endommagé un immeuble résidentiel et ciblé la gare ferroviaire, ont indiqué des reponsables ukrainiens.
«A 09h00, quatre frappes ont été enregistrées à Kiev. Un immeuble résidentiel dans le quartier de Shevchenko a été touché. Nous sommes en train de clarifier les informations concernant des victimes», ont précisé des responsables militaires de la capitale.
La direction des services nationaux des chemins de fer avaient auparavant confirmé que des attaques avaient eu lieu «à proximité» de la gare centrale.
Les occupants russes ont « mobilisé » de force jusqu’à 3.000 habitants de Melitopol selon le maire. Une ville qui « accueille une importante présence aérienne russe », notait le dernier rapport du ministère de la Défense britannique.
L'Union européenne monte en puissance dans son soutien militaire à l'Ukraine avec le lancement lundi d'une mission pour former sur son territoire 15.000 soldats ukrainiens et l'octroi d'une nouvelle dotation de 500 millions d'euros pour la fourniture d'armes.
«C'est une grande première pour l'UE», a commenté un responsable européen. «Nous n'avons jamais mené une mission à cette échelle», a-t-il souligné. Les ministres des Affaires étrangères des 27 pays membres vont avaliser ces deux décisions lundi lors d'une réunion à Luxembourg et la mission sera immédiatement opérationnelle, a-t-on précisé de source diplomatique.
« Les problèmes logistiques rencontrés par les forces russes dans le sud de l'Ukraine se sont probablement aggravés à la suite des dommages au pont de Kertch le 8 octobre », explique le ministère de la Défense britannique. « Une grande file de camions en attente reste bloquée près du passage à niveau. »
« Les forces russes opérant dans le sud de l'Ukraine augmentent probablement le flux d'approvisionnement logistique via Marioupol pour tenter de compenser la capacité réduite du pont de Kertch. (...) La ligne de communication terrestre à travers l'oblast de Zaporojie devient plus importante pour la durabilité de l'occupation russe. »
Kiev a été ciblée tôt lundi matin par des «attaques de drones kamikazes», a indiqué le chef de cabinet de la présidence ukrainienne, après une série d'explosions qui ont secoué le quartier de Shevchenkiv, au centre de la capitale.
«Les Russes pensent que cela les aidera, mais cela montre leur désespoir», a commenté ce même responsable, Andriï Iermak.
La guerre en Ukraine, et la hausse du coût de la vie qui en découle, ont plongé des millions d'enfants supplémentaires dans la pauvreté en Europe orientale et en Asie centrale ces derniers mois, alerte une étude du Fonds des nations unies pour l'enfance (Unicef) publiée lundi.
Dans ces régions, «la guerre en Ukraine et la hausse de l'inflation ont plongé quatre millions d'enfants supplémentaires dans la pauvreté, soit une augmentation de 19% depuis 2021», affirme cette étude.
Fait notable, la Russie, avec 2,8 millions d'enfants supplémentaires entrés dans la pauvreté, concentre près des trois quarts de l'augmentation totale mesurée par l'Unicef. De son côté, l'Ukraine abrite un demi-million d'enfants supplémentaires vivant dans la pauvreté, ce qui la place deuxième, suivie de la Roumanie avec 110.000 enfants supplémentaires, note l'étude.
Plusieurs explosions ont été entendues ce matin à Kiev, une semaine exactement après des frappes russes sur la capitale ukrainienne. Elles ont été entendues successivement vers 06h35 (5h35 à Paris), 06h45 et 06h58. Les sirènes d’alerte aérienne avaient retenti peu avant la première explosion.
Emmanuel Macron rappelle à l’Allemagne qu’elle est dans l’Europe. Le chef de l’Etat a appelé dimanche Berlin à la « solidarité » européenne face à l’envolée des prix de l’énergie, mettant en garde contre les « distorsions » de concurrence auxquelles le plan allemand massif d’aide aux ménages et particuliers pourrait conduire.
« Nous ne pouvons pas nous en tenir à des politiques nationales ». « Notre Europe, comme lors de la crise Covid, est à un moment de vérité (…) Nous devons agir avec unité et solidarité », a-t-il plaidé dans une interview au quotidien Les Echos à paraître ce lundi.
Les dirigeants de l’Union européenne vont s’efforcer, lors d’un sommet jeudi et vendredi à Bruxelles, de trouver une réponse commune contre la flambée des prix de l’énergie provoquée par la guerre en Ukraine.
Bonjour à toutes et à tous. Comme chaque jour, la rédaction de 20 Minutes est mobilisée pour vous donner les dernières informations sur le conflit. Ce lundi, l’Union européenne va monter en puissance dans son soutien militaire à l’Ukraine avec notamment une nouvelle dotation de 500 millions d’euros pour la fourniture d’armes.