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Guerre en Ukraine : L’Ukraine s’attend à « des semaines extrêmement difficiles »
CONFLIT Retrouvez les dernières informations sur le conflit en Ukraine de ce mercredi 27 avril
L’ESSENTIEL
- La Russie va interrompre ses livraisons de gaz à la Pologne et la Bulgarie au moment où des explosions dans la région séparatiste moldave prorusse de Transnistrie font craindre une extension de la guerre au-delà des frontières de l’Ukraine.
- L’ONU a relancé mardi la carte diplomatique avec la venue au Kremlin de son secrétaire général. A l’issue de la rencontre entre Antonio Guterres et Vladimir Poutine, la partie russe a accepté « en principe » la participation des Nations unies à l’évacuation des civils de la ville de Marioupol.
- Mardi, les Etats-Unis ont organisé une rencontre en Allemagne avec une quarantaine de pays afin d’accélérer les livraisons d’équipements militaires à l’Ukraine. Berlin va notamment autoriser la livraison de chars de type « Guepard ».
- Sur le terrain, particulièrement sur le front du Donbass, la situation est compliquée et « sur le plan du moral, ce n’est pas rose du tout », a déclaré un officier de presse de la 93e brigade ukrainienne.
A VOIR
A LIRE
La ministre britannique des Affaires étrangères Liz Truss a appelé mercredi à un renforcement des livraisons d’armes lourdes et d’avions à l’Ukraine, soulignant que le temps est au « courage » face à la Russie. Dans un discours mercredi soir à la résidence officielle du lord-maire de la Cité de Londres, la cheffe de la diplomatie britannique a également souligné que la Chine doit « jouer selon les règles » et que « les agresseurs regardent ce qui s’est passé en Ukraine ». « Nous devons nous assurer qu’ils reçoivent le bon message », a-t-elle souligné. Qualifiant le président russe Vladimir Poutine « d’opérateur voyou désespéré, qui n’a aucun intérêt pour les moeurs internationales », la cheffe de la diplomatie britannique a appelé à « redoubler notre soutien pour l’Ukraine », en proie à de féroces combats depuis l’invasion russe du 24 février.
« Armes lourdes, chars, avions – creuser dans nos stocks, accélérer la production, nous devons faire tout ça », a-t-elle insisté. Mais selon Downing Street, le Royaume-Uni ne prévoit pas de fournir d’avions à l’Ukraine en raison de « difficultés spécifiques » d’équipement et d’entraînement, mais n’exclut « rien », notamment d’en fournir à d’autres pays qui eux en fourniraient à Kiev.
Des groupes liés à l’Etat russe ont mené plus de 200 attaques informatiques contre l’Ukraine et ses infrastructures depuis les prémices de l’invasion de l’armée russe, selon un rapport de Microsoft publié mercredi. Le géant américain de l’informatique y détaille « les cyberattaques destructrices et incessantes de la Russie dans sa guerre hybride contre l’Ukraine », selon Tom Burt, vice-président de Microsoft en charge de la sécurité client, dans un résumé du rapport.
Ces attaques « n’ont pas seulement détérioré les systèmes des institutions en Ukraine mais ont également visé la perturbation de l’accès par la population à une information fiable et aux services vitaux dont dépendent les civils, et ont tenté d’ébranler la confiance envers les dirigeants du pays », note-t-il. Juste avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie, « nous avons vu au moins six acteurs distincts liés à l’Etat russe lancer plus de 237 opérations contre l’Ukraine, y compris des attaques destructrices qui sont toujours en cours et menacent le bien-être des civils », poursuit ce texte. « Près de 40 » attaques ont été directement « destructrices » pour les institutions publiques ukrainiennes notamment, et se sont accompagnées d’activités d’espionnage.
Les ministres européens en charge de l’énergie se réuniront lundi 2 mai en « session extraordinaire », a annoncé mercredi soir la ministre française en charge de la Transition écologique, Barbara Pompili, alors que la Russie a annoncé la suspension des livraisons de gaz à la Pologne et à la Bulgarie.
« A la suite de l’arrêt des livraisons de gaz russe à la Pologne et à la Bulgarie, les Européens restent unis et solidaires », a déclaré sur son compte Twitter Barbara Pompili mercredi, qui « réunira lundi après-midi (ses) homologues pour une session extraordinaire du Conseil des ministres en charge de l’énergie ».
Le groupe russe Gazprom a annoncé mercredi avoir suspendu toutes ses livraisons de gaz vers la Bulgarie et la Pologne, ces deux pays membres de l’Union européenne n’ayant pas effectué de paiement en roubles alors que le président russe Vladimir Poutine avait déclaré le mois précédent que la Russie n’accepterait le paiement des livraisons de gaz que dans sa monnaie nationale.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz « par leurs voisins de l’UE », après la suspension des livraisons du russe Gazprom, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d’effet possible sur les consommateurs européens », a assuré la cheffe de l’exécutif bruxellois dans une brève allocution à la presse.
La proposition de Bruxelles de suspendre pendant un an tous les droits de douane sur les produits ukrainiens importés dans l’UE « soutiendra l’activité économique au maximum », a déclaré Volodymyr Zelensky. « Cela nous permettra de soutenir l’activité économique au maximum en Ukraine et de préserver notre production nationale », s’est félicité le président ukrainien dans une vidéo postée sur Telegram. Cette proposition doit être encore approuvée par le Parlement européen et les 27 pays membres de l’UE.
« Nous avons des semaines extrêmement difficiles à venir », a prévenu le ministre ukrainien de la Défense Oleksiï Reznikov, dans un communiqué sur Facebook, appelant les Ukrainiens à « la résilience et l’unité » après plus de deux mois de conflit avec la Russie. « Malheureusement, nous allons perdre encore des soldats avant de gagner », a-t-il ajouté, estimant qu'« il y aura plus de destructions et de blessés ». Selon lui, l’armée russe, « déjà consciente de sa défaite stratégique, va tenter d’infliger le plus de souffrances possibles » aux soldats ukrainiens qu’il a exhortés à « tenir le coup ».
La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,48 % mercredi, mettant fin sans enthousiasme à trois séances de baisse consécutives avec des résultats d’entreprises bien accueillis, notamment dans le secteur de la tech.
L’indice vedette CAC 40 a avancé de 30,69 points, à 6.445,26 points. La veille, il avait reculé de 0,54 %. En Europe, la croissance est aussi affectée par la guerre en Ukraine, revenue dans la tête des investisseurs avec la suspension des livraisons de gaz à la Bulgarie et à la Pologne par la Russie.
Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, est arrivé en Ukraine après avoir rencontré le président russe, Vladimir Poutine, et le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, à Moscou mercredi.
« Plus tôt cette guerre se terminera, mieux ce sera – pour le bien de l’Ukraine, de la Russie et du monde », a estimé Guterres, alors que Kiev critique sa décision de visiter Moscou avant de se rendre en Ukraine.
Le Canada veut devenir le premier pays du G7 à liquider des actifs russes pour financer l’aide à l’Ukraine, et a annoncé mercredi de nouvelles sanctions contre 203 personnes « complices » de la guerre.
« Nous cherchons à obtenir la capacité non seulement de saisir, mais aussi d’autoriser la confiscation des biens des personnes et des entités sanctionnées et de nous permettre d’indemniser les victimes [ukrainiennes] par la suite », a déclaré mercredi la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly.
S’adressant à la presse, le Premier ministre Justin Trudeau a pour sa part précisé que le Canada cherchait « des moyens de punir davantage » en saisissant des biens des personnes qui ont été sanctionnées.
Renault est en négociation pour vendre sa participation dans le constructeur automobile russe AvtoVAZ à un institut scientifique russe spécialisé dans l’automobile, a annoncé le ministre russe du Commerce et de l’Industrie, Denis Mantourov.
D’après Denis Mantourov, cité par les agences de presse russes en marge d’un déplacement à Tachkent (Ouzbékistan), la transaction se ferait pour « un rouble symbolique » et concernerait aussi l’usine du groupe français près de Moscou, qui produit des voitures Nissan et Renault.
Renault contrôle 68 % d’AvtoVAZ, le premier constructeur russe qui produit notamment les voitures Lada, la marque leader du marché russe.
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s’est entretenu avec le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken ce mercredi. Ils ont évoqué leur « coordination étroite et confiante sur la guerre en Ukraine » et « discuté des initiatives possibles de nouvelles sanctions visant la Russie ».
Hangars d’armes détruits, ponts et voies ferrées ciblés : face à l’intensification de l’aide militaire occidentale à Kiev, la Russie ajuste sa stratégie en Ukraine en visant des nœuds de ravitaillement stratégiques tout en poursuivant son objectif de contrôle d’une partie de son territoire.
« On entre dans une nouvelle phase : les pays occidentaux ont annoncé un renforcement de leur aide militaire, donc il faut du côté russe frapper ces capacités de renforcement et la capacité des Ukrainiens à s’approvisionner en armes », souligne Jean-Pierre Maulny, le directeur adjoint de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS).
« L’aide occidentale a pour objectif de permettre aux troupes ukrainiennes de durer sous les bombardements russes, donc, pour les Russes, c’est une mauvaise nouvelle et ils tentent d’en réduire la portée », renchérit Pascal Ausseur, le directeur général de la Fondation méditerranéenne d’études stratégiques (FMES).
Les services de renseignement russe (FSB) ont annoncé ce lundi avoir arrêté plusieurs « membres d’un groupe néonazi » ayant pour projet d’assassiner Vladimir Soloviev, célèbre journaliste proche de Vladimir Poutine. Pour prouver ses dires, le FSB a publié des photos de pièces à conviction : objets avec des croix gammées, armes, drogue, faux passeports… et trois exemplaires du jeu vidéo Les Sims 3. On vous en dit plus ici :
Mardi, Berlin a annoncé la livraison à l’Ukraine de chars de type « Guepard ». Ces blindés, spécialisés dans la défense antiaérienne, proviendraient des stocks de l’industrie allemande de défense. Jusqu’ici, Olaf Scholz se refusait à toute livraison d’armes lourdes à Kiev. Notre journaliste Camille Poher s’est penchée sur les raisons de ce volte-face outre-Rhin :
Le président russe Vladimir Poutine a mis en garde mercredi contre toute intervention extérieure dans le conflit en Ukraine, promettant qu’elle rencontrerait une riposte « rapide et foudroyante ».
« Si quelqu’un a l’intention de s’ingérer de l’extérieur dans ce qui se passe [en Ukraine] et de créer des menaces inacceptables pour la Russie, ils doivent savoir que notre riposte (…) sera rapide et foudroyante », a déclaré Vladimir Poutine devant le Parlement russe. Selon lui, la Russie n’hésitera pas à utiliser ses armes les plus modernes.
« Nous avons tous ces outils dont personne d’autre ne peut se vanter actuellement. Nous n’allons pas nous vanter : nous allons les utiliser s’il le faut. Et j’aimerais que tout le monde le sache », a souligné le président russe. « Toutes les décisions là-dessus ont été déjà prises », a-t-il ajouté.
La Commission de recherche et d’information indépendante sur la radioactivité (Criirad) a appelé ce mercredi à une « expertise approfondie » sur le niveau de radioactivité de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, en critiquant les méthodes de l’AIEA.
Lors d’une visite sur le site de la centrale, le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a estimé mardi que le niveau de radioactivité était « dans la normale » en précisant que les niveaux avaient « augmenté à certains moments, quand les Russes amenaient dans la zone de l’équipement lourd et quand ils sont partis » après avoir occupé la centrale entre le 24 février et le 31 mars.
« Avant de se prononcer sur la radioactivité dans la zone de Tchernobyl du fait des agissements de troupes russes, il faut une expertise approfondie sur le site », a déclaré à l’AFP Bruno Chareyron, directeur du laboratoire de la Criirad, une association indépendante créée au lendemain de la pire catastrophe nucléaire civile de l’Histoire. « Ce n’est pas rigoureux de la part de l’AIEA », d’affirmer cela « à peine arrivée sur place », a-t-il dit.
La Russie a été suspendue ce mercredi de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) en raison de son invasion de l’Ukraine, jugée contraire aux « valeurs » de l’organisation, d’après cette agence de l’ONU basée à Madrid.
Cette décision, approuvée par une large majorité des États membres de l’organisation réunis en assemblée générale dans la capitale espagnole, prend effet immédiatement, a indiqué un porte-parole de l’OMT à l’AFP.
Anticipant une possible suspension, la Russie avait elle-même annoncé mercredi matin lors de l’ouverture des débats devant l’assemblée générale vouloir se retirer de l’agence, qui regroupe 159 États membres.
Boeing fait face à de nouveaux déboires, entre la suspension de la production du 777X, dont les premières livraisons ont été repoussées à 2025, les charges liées au conflit en Ukraine et les hausses de coûts sur des programmes de défense.
Après la publication de cette nouvelle liste de déconvenues mercredi, le titre du constructeur chutait de plus de 10 % à Wall Street.
Les premières livraisons de la version passagers du 777X – le plus gros biréacteur au monde lancé en 2013 – étaient initialement prévues en 2020 mais ont déjà été repoussées à plusieurs reprises.
Le président américain Joe Biden va recevoir le Premier ministre italien Mario Draghi le 10 mai à Washington pour discuter de la réponse occidentale à la guerre lancée par la Russie en Ukraine, a annoncé mercredi la Maison-Blanche.
La rencontre interviendra notamment en préparation des sommets du G7 et de l’Otan, prévus en juin en Europe. Les Etats-Unis et leurs alliés poursuivent leur soutien militaire à l’Ukraine, qui fait face à une offensive russe dans le Donbass.
Plus de 70.000 Ukrainiens bénéficient actuellement de l'allocation pour demandeurs d'asile (Ada) en France, deux mois après le début de la guerre en Ukraine, a annoncé mercredi à l'AFP l'Office français de l'immigration et de l'intégration (Ofii).
La Russie a annoncé ce mercredi l’expulsion de huit diplomates japonais en représailles à une décision similaire de Tokyo récemment prise à l’encontre des diplomates russes en raison de l’offensive russe en Ukraine.
Avec le début de cette opération militaire le 24 février, « Tokyo a pris un cap antirusse ouvertement hostile », a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. Il accuse les autorités japonaises d’inciter à « une hystérie antirusse » dans leur pays, dont « l’apothéose a été l’expulsion de huit diplomates russes » début avril.
A Kiev, les autorités locales ont décidé de décapiter une statue représentant l’amitié et la solidarité des peuples russes et ukrainiens. Elle représentait deux ouvriers côte à côte mais l’ouvrier russe a perdu sa tête.
Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences en Russie, a été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne.
La famille de Trevor Reed a indiqué à la chaîne CNN lui avoir parlé au téléphone et qu’il avait dit aller « bien », mais qu’il semblait « un peu dépassé ». « Il avait l’air d’être un peu en état de choc », a expliqué sa mère, Paula Reed.
A Dnipro, au nord de Zaporijia, 217 jouets ont été installés sur une place en hommage aux 217 enfants qui ont perdu la vie depuis le début de la guerre en Ukraine.
On vous partage les cris de joie de cette petite fille qui retrouve son père soldat.
Dans la capitale allemande, faire des longueurs va devenir encore plus rafraîchissant. Les piscines extérieures de Berlin seront plus froides de deux degrés cet été, par rapport aux années précédentes. « Nous avons pris cette décision parce que nous voulions contribuer à la réduction des importations de gaz », a déclaré un porte-parole de Berliner Bäder-Betriebe, le plus grand opérateur de piscines communales d’Europe.
L’armée ukrainienne a affirmé avoir bombardé les positions russes sur l’île aux Serpents, en mer Noire, devenue symbole de la résistance ukrainienne depuis le début de l’invasion des forces russes le 24 février.
« Nos forces ont effectué des frappes sur les positions de l’ennemi sur l’île aux Serpents », a indiqué mardi soir le commandement Sud de l’armée ukrainienne sur Facebook, affirmant avoir touché un « poste de contrôle » et détruit un système antiaérien. « Les pertes des Russes sont en train d’être clarifiées », a-t-il ajouté.
Cette petite île en mer Noire est devenue un symbole en Ukraine depuis un échange radio, devenu viral sur les réseaux sociaux, dans lequel, au premier jour du conflit, les gardes-frontières ukrainiens avaient lancé « Va te faire foutre, navire militaire russe ! » au croiseur russe, le Moskva, qui leur intimait de se rendre.
Après avoir annoncé que les pays européens voisins de la Bulgarie et de la Pologne leur enverront du gaz, la présidente de la Commission européenne a estimé que Vladimir Poutine « a échoué dans sa tentative de diviser les Européens ». « L’ère des combustibles fossiles russes en Europe va toucher à sa fin. Nous sommes déterminés à faire en sorte que cela se produise dès que possible », a prévenu Ursula von der Leyen.
La Biélorussie a décidé de rendre les « tentatives d’actes de terrorisme » passibles de la peine de mort, après que des militants ont tenté de saboter des parties du réseau ferroviaire pour empêcher la Russie de déployer des forces en Ukraine pour son invasion.
La chambre basse du parlement biélorusse a approuvé la modification du Code pénal en deux lectures, a rapporté l’agence de presse Belta. Le changement doit maintenant être soutenu par la chambre haute et le dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko avant d’entrer en vigueur.
Les Etats-Unis ne s’attendent à aucune amélioration dans les relations avec la Russie et continueront de soutenir l’Ukraine malgré l’échange de prisonniers entre Washington et Moscou annoncé mercredi, a affirmé un responsable américain.
« Cela ne représente aucun changement – aucun – dans notre façon de considérer l’effroyable violence en Ukraine », a dit à des journalistes ce responsable. Les « discussions avec les Russes qui ont conduit à cet échange étaient strictement limitées à ces sujets », il ne s’agissait « pas [d']une conversation plus large ou même [du] début d’une conversation », a-t-il déclaré sous couvert de l’anonymat.
Les troupes russes ont utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser des manifestants ukrainiens dans la ville de Kherson occupée. Trois personnes ont été blessées avec des brûlures et une a subi une jambe cassée, rapporte un hôpital local.
Les troupes russes ont utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser des manifestants ukrainiens dans la ville de Kherson occupée. Trois personnes ont été blessées avec des brûlures et une a subi une jambe cassée, rapporte un hôpital local.
Les troupes russes ont utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser des manifestants ukrainiens dans la ville de Kherson occupée. Trois personnes ont été blessées avec des brûlures et une a subi une jambe cassée, rapporte un hôpital local.
Les troupes russes ont utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser des manifestants ukrainiens dans la ville de Kherson occupée. Trois personnes ont été blessées avec des brûlures et une a subi une jambe cassée, rapporte un hôpital local.
Les troupes russes ont utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser des manifestants ukrainiens dans la ville de Kherson occupée. Trois personnes ont été blessées avec des brûlures et une a subi une jambe cassée, rapporte un hôpital local.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz « par leurs voisins de l’Union européenne », après la suspension par Gazprom des livraisons russes, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d’effet possible sur les consommateurs européens », a assuré la cheffe de l’exécutif européen dans une brève allocution à la presse à Bruxelles. « La mesure prise par la Russie affecte la Russie elle-même. Le Kremlin fait mal à l’économie russe car ils se privent eux-mêmes de revenus importants », a-t-elle estimé.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz « par leurs voisins de l’Union européenne », après la suspension par Gazprom des livraisons russes, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d’effet possible sur les consommateurs européens », a assuré la cheffe de l’exécutif européen dans une brève allocution à la presse à Bruxelles. « La mesure prise par la Russie affecte la Russie elle-même. Le Kremlin fait mal à l’économie russe car ils se privent eux-mêmes de revenus importants », a-t-elle estimé.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz « par leurs voisins de l’Union européenne », après la suspension par Gazprom des livraisons russes, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d’effet possible sur les consommateurs européens », a assuré la cheffe de l’exécutif européen dans une brève allocution à la presse à Bruxelles. « La mesure prise par la Russie affecte la Russie elle-même. Le Kremlin fait mal à l’économie russe car ils se privent eux-mêmes de revenus importants », a-t-elle estimé.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz « par leurs voisins de l’Union européenne », après la suspension par Gazprom des livraisons russes, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d’effet possible sur les consommateurs européens », a assuré la cheffe de l’exécutif européen dans une brève allocution à la presse à Bruxelles. « La mesure prise par la Russie affecte la Russie elle-même. Le Kremlin fait mal à l’économie russe car ils se privent eux-mêmes de revenus importants », a-t-elle estimé.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz « par leurs voisins de l’Union européenne », après la suspension par Gazprom des livraisons russes, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d’effet possible sur les consommateurs européens », a assuré la cheffe de l’exécutif européen dans une brève allocution à la presse à Bruxelles. « La mesure prise par la Russie affecte la Russie elle-même. Le Kremlin fait mal à l’économie russe car ils se privent eux-mêmes de revenus importants », a-t-elle estimé.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz « par leurs voisins de l’Union européenne », après la suspension par Gazprom des livraisons russes, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d’effet possible sur les consommateurs européens », a assuré la cheffe de l’exécutif européen dans une brève allocution à la presse à Bruxelles. « La mesure prise par la Russie affecte la Russie elle-même. Le Kremlin fait mal à l’économie russe car ils se privent eux-mêmes de revenus importants », a-t-elle estimé.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz « par leurs voisins de l’Union européenne », après la suspension par Gazprom des livraisons russes, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d’effet possible sur les consommateurs européens », a assuré la cheffe de l’exécutif européen dans une brève allocution à la presse à Bruxelles. « La mesure prise par la Russie affecte la Russie elle-même. Le Kremlin fait mal à l’économie russe car ils se privent eux-mêmes de revenus importants », a-t-elle estimé.
La Bulgarie et la Pologne sont désormais approvisionnées en gaz « par leurs voisins de l’Union européenne », après la suspension par Gazprom des livraisons russes, a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d’effet possible sur les consommateurs européens », a assuré la cheffe de l’exécutif européen dans une brève allocution à la presse à Bruxelles. « La mesure prise par la Russie affecte la Russie elle-même. Le Kremlin fait mal à l’économie russe car ils se privent eux-mêmes de revenus importants », a-t-elle estimé.
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Joe Biden a dit mercredi avoir dû prendre des « décisions difficiles » pour obtenir la libération de l’ex-Marine américain Trevor Reed, échangé contre un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis. « Trevor, un ancien Marine américain, a été libéré de prison en Russie », a dit le président américain dans un communiqué. « Les négociations qui nous ont permis de ramener Trevor à la maison ont nécessité des décisions difficiles que je ne prends pas à la légère », a-t-il ajouté.
« Son retour sain et sauf témoigne de la priorité que mon administration accorde au rapatriement des Américains retenus en otage et injustement détenus à l’étranger », a-t-il affirmé.
La diplomatie russe avait annoncé juste auparavant que Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour des violences, avait été échangé contre Konstantin Iarochenko, un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis pour trafic de cocaïne, évoquant « un long processus de négociation ».
Les entreprises européennes acceptant de payer le gaz russe en roubles, comme l’exige Moscou, violent les sanctions de l’UE et s’exposent à un risque juridique « élevé », a averti mercredi la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.
« Environ 97 % des contrats (entre des groupes de l’UE et les fournisseurs de gaz russe) prévoient des paiements en euros ou dollars (…) Les entreprises avec de tels contrats ne doivent pas céder à l’exigence de la Russie, ce serait contrevenir aux sanctions » imposées par les Vingt-Sept, a-t-elle ajouté.
Les entreprises européennes acceptant de payer le gaz russe en roubles, comme l’exige Moscou, violent les sanctions de l’UE et s’exposent à un risque juridique « élevé », a averti mercredi la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.
« Environ 97 % des contrats (entre des groupes de l’UE et les fournisseurs de gaz russe) prévoient des paiements en euros ou dollars (…) Les entreprises avec de tels contrats ne doivent pas céder à l’exigence de la Russie, ce serait contrevenir aux sanctions » imposées par les Vingt-Sept, a-t-elle ajouté.
Les entreprises européennes acceptant de payer le gaz russe en roubles, comme l’exige Moscou, violent les sanctions de l’UE et s’exposent à un risque juridique « élevé », a averti mercredi la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.
« Environ 97 % des contrats (entre des groupes de l’UE et les fournisseurs de gaz russe) prévoient des paiements en euros ou dollars (…) Les entreprises avec de tels contrats ne doivent pas céder à l’exigence de la Russie, ce serait contrevenir aux sanctions » imposées par les Vingt-Sept, a-t-elle ajouté.
Les entreprises européennes acceptant de payer le gaz russe en roubles, comme l’exige Moscou, violent les sanctions de l’UE et s’exposent à un risque juridique « élevé », a averti mercredi la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.
« Environ 97 % des contrats (entre des groupes de l’UE et les fournisseurs de gaz russe) prévoient des paiements en euros ou dollars (…) Les entreprises avec de tels contrats ne doivent pas céder à l’exigence de la Russie, ce serait contrevenir aux sanctions » imposées par les Vingt-Sept, a-t-elle ajouté.
Les entreprises européennes acceptant de payer le gaz russe en roubles, comme l’exige Moscou, violent les sanctions de l’UE et s’exposent à un risque juridique « élevé », a averti mercredi la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.
« Environ 97 % des contrats (entre des groupes de l’UE et les fournisseurs de gaz russe) prévoient des paiements en euros ou dollars (…) Les entreprises avec de tels contrats ne doivent pas céder à l’exigence de la Russie, ce serait contrevenir aux sanctions » imposées par les Vingt-Sept, a-t-elle ajouté.
Les entreprises européennes acceptant de payer le gaz russe en roubles, comme l’exige Moscou, violent les sanctions de l’UE et s’exposent à un risque juridique « élevé », a averti mercredi la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.
« Environ 97 % des contrats (entre des groupes de l’UE et les fournisseurs de gaz russe) prévoient des paiements en euros ou dollars (…) Les entreprises avec de tels contrats ne doivent pas céder à l’exigence de la Russie, ce serait contrevenir aux sanctions » imposées par les Vingt-Sept, a-t-elle ajouté.
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« Environ 97 % des contrats (entre des groupes de l’UE et les fournisseurs de gaz russe) prévoient des paiements en euros ou dollars (…) Les entreprises avec de tels contrats ne doivent pas céder à l’exigence de la Russie, ce serait contrevenir aux sanctions » imposées par les Vingt-Sept, a-t-elle ajouté.
Les entreprises européennes acceptant de payer le gaz russe en roubles, comme l’exige Moscou, violent les sanctions de l’UE et s’exposent à un risque juridique « élevé », a averti mercredi la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.
« Environ 97 % des contrats (entre des groupes de l’UE et les fournisseurs de gaz russe) prévoient des paiements en euros ou dollars (…) Les entreprises avec de tels contrats ne doivent pas céder à l’exigence de la Russie, ce serait contrevenir aux sanctions » imposées par les Vingt-Sept, a-t-elle ajouté.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
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Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
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Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Le gouvernement allemand s’attend à une croissance plus faible et à une inflation presque deux fois plus forte que prévue pour 2022, en raison de la guerre en Ukraine qui plombe particulièrement son économie, selon de nouvelles prévisions dévoilées mercredi. Le produit intérieur brut (PIB) devrait connaître une hausse de 2,2 %, contre 3,6 % prévu en janvier, et l’inflation se hisser à 6,1 %, contre 3,3 % attendu précédemment, a indiqué le ministre de l’Economie Robert Habeck, lors d’une conférence de presse.
Igor Volobuev, vice-président de la banque publique russe Gazprombank, annonce avoir fui la Russie pour rejoindre les forces ukrainiennes. Il explique que sa famille est originaire d’Ukraine, et qu’il souhaite les protéger.
A Dnipro, une petite fille joue de la flûte dans la rue pour récolter des fonds, afin d'acheter des gilets pare-balles.
La Commission européenne a proposé mercredi une réforme de la législation de l’UE en matière d’immigration pour mieux attirer les compétences dont elle manque, en particulier en provenance d’Ukraine, et faciliter la mobilité de ces travailleurs entre les 27 pays membres. Bruxelles souhaite simplifier la procédure permettant aux ressortissants de pays tiers d’obtenir conjointement un permis de travail et de résidence dans l’UE, tout en réduisant les délais de traitement. Il s’agit notamment de permettre à des personnes de candidater depuis leur pays d’origine et d’améliorer leurs droits. Ce permis unique ne sera plus lié à un seul employeur et ses bénéficiaires pourront donc changer d’emploi en toute légalité.
La Commission veut également faciliter l’octroi du statut de résident de longue durée qui peut être accordé au bout de cinq ans de résidence légale dans un pays de l’UE. Elle propose de reconnaître dans ces cinq années les périodes de résidence dans différents Etats membres, facilitant la mobilité de ces personnes au sein des Vingt-Sept. La période d’accueil sous protection temporaire, d’une durée de trois ans maximum, dont bénéficient notamment des millions d’Ukrainiens fuyant la guerre, sera comptée dans ces cinq années.
La Commission européenne a proposé mercredi de suspendre pendant un an tous les droits de douane sur les produits ukrainiens importés dans l’UE afin de soutenir l’économie du pays attaqué par la Russie. Cette proposition, qui doit encore être approuvée par le Parlement européen et les 27 pays membres, est « un geste sans précédent de soutien à un pays en guerre », a déclaré l’exécutif européen dans un communiqué. Le Royaume-Uni avait déjà annoncé lundi la suppression de ses droits de douane sur les produits importés d’Ukraine.
Boosté par la guerre en Ukraine, le prix de l’or noir s’envole. De quoi revoir à la hausse les prévisions de croissance, selon le FMI, pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, à 5 % en 2022 contre 4,1 % estimé en octobre. Mais cette amélioration masque des disparités importantes parmi les 22 pays de la zone.
Les pays les plus pauvres de la région, importateurs de blé venant de Russie et de l’Ukraine, sont « sous pression en termes de sécurité alimentaire », explique Jihad Azour, le directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale au FMI. Ces économies dites à faibles revenus, incluant le Yémen, le Soudan, la Mauritanie, la Somalie et Djibouti, devraient connaître une inflation de 141 % en 2022, avec une croissance de seulement 1,1 %.
Les pays à revenus intermédiaires et les marchés émergents, comme l’Egypte, la Jordanie, ou encore le Maroc, connaîtront une croissance plus vigoureuse, à 4,4 %. Quant à l’envolée du pétrole, elle va profiter aux pays producteurs, notamment ceux du Golfe. Le PIB de l’Arabie saoudite devrait ainsi bondir de 7,6 %.
La suspension des livraisons de gaz russe à la Bulgarie et à la Pologne, pour n’avoir pas payé en roubles comme le demandait Moscou, est la conséquence d’actes hostiles inédits contre la Russie, a affirmé mercredi le Kremlin. « Les conditions qui ont été fixées font partie d’une nouvelle méthode de paiement élaborée après des actes inamicaux sans précédent » qui faisaient suite à l’offensive russe en Ukraine, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
A Odessa, des proches assistent aux funérailles de trois membres d’une famille tués dans un bombardement russe. La grand-mère, la mère et l’enfant de trois mois sont décédés le 23 avril dernier.
La Russie a interdit mercredi à 287 membres de la Chambre basse du Parlement britannique d’entrer dans le pays, en représailles à une mesure similaire de Londres contre des députés russes ayant soutenu l’offensive en Ukraine.
« Les personnalités visées, dont l’entrée en Russie a été interdite, ont participé le plus activement à l’instauration de sanctions anti-russes par Londres », a indiqué la diplomatie russe dans un communiqué accompagné de la liste des parlementaires concernés, 287 sur les 650 membres de la Chambre.
Après un fort rebond de 18 % en 2021, les embauches de cadres continueront à progresser de 5 % en 2022 malgré l’impact de la guerre en Ukraine qui freinera la dynamique, selon les prévisions de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) publiées lundi.
« Alors que l’année 2022 semblait prendre le même chemin (que 2021), les impacts de la guerre en Ukraine viennent infléchir légèrement nos prévisions de recrutements de cadres. Les entreprises continuent néanmoins d’envisager des embauches à un niveau très élevé », a commenté le directeur général de l’Apec, Gilles Gateau, dans un communiqué.
La Russie a décidé ce mercredi de se retirer de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), prenant les devants alors que son exclusion devait être soumise au vote des Etats membres, a annoncé sur Twitter cette agence de l’ONU basée à Madrid.
« La Russie a annoncé son intention de se retirer de l’OMT » lors de son assemblée générale à Madrid, a écrit l’agence onusienne. Sa suspension est « effective immédiatement », ajoute l’OMT qui avait annoncé début mars vouloir suspendre la Russie de ses instances en raison de l’invasion de l’Ukraine.
La Commission européenne a déclenché mercredi une procédure contre la Hongrie qui peut aboutir à une suspension ou une réduction de certains fonds de l’UE, en raison d’inquiétudes liées à la passation des marchés publics.
Le commissaire européen au Budget Johannes Hahn a été chargé d’envoyer une « notification écrite » à la Hongrie, dans le cadre d’une procédure inédite conditionnant le versement de fonds européens au respect des principes de l’Etat de droit, a déclaré le vice-président de la Commission, Margaritis Schinas.
Comment assurer l’entretien de ces équipements et acheminer notamment les pièces détachées en cas de panne ou de destruction partielle ? Pour Léo Péria-Peigné, de l’Institut français des relations internationales (Ifri), « cette question est complexe, mais peut-être moins que dans d’autres pays n’étant pas dotés du potentiel industriel de l’Ukraine qui dispose d’infrastructures et d’un savoir-faire non négligeable en matière de véhicules militaires et d’industrie lourde ».
« Si la coopération entre industriels européens et militaires ukrainiens se déroule sans heurt, la question de l’entretien devrait suivre sans obstacles particuliers », ajoute-t-il. Pour Carlo Masala, expert en défense et sécurité à l’Université de la Bundeswehr de Munich, la question de la maintenance ne doit pas entrer dans l’équation immédiate.
« Formez-les à utiliser le modèle, envoyez-les en Ukraine. S’ils peuvent utiliser le Marder pendant trois semaines, c’est mieux que rien. Si le Marder tombe en panne, alors OK, pas de chance », a-t-il déclaré sur la chaîne allemande Deutsche Welle.
La Grèce va aider la Bulgarie après que la Russie a coupé son approvisionnement en gaz, a annoncé le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis à son homologue bulgare. Reuters rapporte que les deux dirigeants ont discuté de la question par téléphone. « Le Premier ministre a déclaré que la Grèce aiderait la Bulgarie à faire face à la nouvelle situation causée par les décisions russes sur l’énergie », a déclaré le bureau de Mitsotakis dans un communiqué, sans fournir plus de détails.
Viatcheslav Volodine, le président de la Douma, la chambre basse du Parlement russe, a affirmé que Gazprom avait pris la « bonne décision » en suspendant les livraisons vers la Pologne et la Bulgarie.
« Il faut également agir de la sorte concernant les autres pays inamicaux » envers la Russie, a affirmé Viatcheslav Volodine, dans un message sur son compte Telegram.
Le Premier ministre bulgare a dénoncé mercredi un « chantage inacceptable » après la suspension par le groupe russe Gazprom de toutes ses livraisons de gaz vers ce pays des Balkans ainsi que vers la Pologne.
Cette interruption, décidée au motif du non-paiement en roubles comme exigé par la Russie en riposte aux sanctions occidentales, « constitue une grave violation du contrat », a déclaré Kiril Petkov devant la presse. « Nous ne céderons pas à un tel racket ».
Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a indiqué mercredi que son pays ne cédera pas « à ce chantage », grâce à ses réserves en gaz suffisantes. La Pologne « n’aura plus du tout besoin de gaz russe à partir de l’automne », a-t-il déclaré estimant que l’arrêt des livraisons constituait non seulement « une attaque directe » contre la Pologne, mais également une attaque contre « la sécurité énergétique de l’ensemble de l’Europe, la sécurité alimentaire de l’ensemble de l’Europe ».
Les petites annonces sont déchirantes sur le site Marioupol Life. « J’ai parlé pour la dernière fois à mon mari le 28 février. Peut-être y a-t-il des informations sur lui ? Aidez-moi à le retrouver s’il vous plaît ! »
1.125 annonces de recherches, avec photos, noms et quelques informations essentielles, ont été postées. Un succès fulgurant qui montre l’ampleur de la tragédie à Marioupol, presque entièrement tombée aux mains des Russes.
Un conseiller du président ukrainien a estimé ce mercredi que les explosions qui ont touché des provinces russes frontalières de l’Ukraine ne sont que le résultat du « karma ». Mykhailo Podolyak n’a toutefois pas reconnu l’implication de l’Ukraine dans ces incidents. « Les raisons peuvent être assez variées », a-t-il considéré, ajoutant que « tôt ou tard, les dettes doivent être remboursées » lorsqu’un pays décide d’en envahir un autre.
La Bourse de Paris évoluait proche de l’équilibre (+0,08 %) mercredi, perturbée par la situation géopolitique en Europe et assaillie de résultats d’entreprises. L’indice vedette CAC40 prenait 5,24 points à 6.419,87 points vers 10h45, après trois séances consécutives de baisse.
« Les marchés sont de plus en plus nerveux face aux risques croissants de stagflation », situation où se mélangent inflation élevée et croissance atone, rappelle Xavier Chapard, analyste de LBPAM. L’annonce du groupe russe Gazprom de suspendre toutes ses livraisons de gaz vers la Bulgarie et la Pologne accroît les incertitudes concernant la conjoncture.
Un ressortissant russe et un Biélorusse ont été interpellés en Pologne pour espionnage pour le compte de la Russie, ont annoncé ce mercredi les services spéciaux. Sur la base des documents rassemblés par les services de renseignement militaires polonais SKW, « les suspects ont été interpellés par la police militaire », a indiqué le porte-parole des services spéciaux polonais Stanislaw Zaryn, dans un communiqué. « Tous deux ont été inculpés » et « placés en détention provisoire pour trois mois », a-t-il précisé.
Les documents réunis indiquent que « le Russe et le Biélorusse, agissant au nom des services de renseignement russes et contre la Pologne, ont mené des activités de reconnaissance du fonctionnement des forces armées polonaises, y compris du déploiement de l’armée dans la zone frontalière polono-bélarusse », a-t-il encore indiqué. Les deux hommes ont été interpellés les 21 et 22 avril.
Un village frontalier de l’Ukraine hébergeant un important dépôt de munitions de l’armée russe avait été la cible de tirs. Il s’agit du village de Kolbasna, Cobasna en roumain, qui est situé à environ deux kilomètres de la frontière ukrainienne.
Un grand dépôt d’armes, datant de la période soviétique, s’y trouve sous le contrôle de soldats russes déployés sur ce territoire. 20 Minutes vous explique ce que ces troubles en Moldavie pourraient impliquer :
Le personnel de Tchernobyl a « poursuivi son travail, malgré toutes les difficultés (…) Ils ont stabilisé la situation, si l’on peut dire, dans le sens où le pire a été évité », a déclaré à la presse Rafael Grossi, le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), en arrivant sur le site.
« Nous n’avons pas encore la paix, donc il faut continuer. La situation n’est pas stable. Nous devons rester en alerte », a-t-il ajouté, parlant d’une invasion « très, très dangereuse ».
« Nous sommes convaincus que nous gagnerons », a déclaré mercredi l’ambassadeur d’Ukraine en France, Vadym Omelchenko, dans un entretien au quotidien Nice-Matin, estimant que les Ukrainiens ont « déjà gagné la première phase » de la guerre. « Les Russes avaient envahi l’Ukraine via huit axes, il n’en reste que deux. Ailleurs, ils ont été expulsés du territoire ukrainien », a souligné Vadym Omelchenko. « La deuxième phase, une invasion massive à l’Est et dans le Donbass, dure depuis huit jours. Sans succès », a ajouté le diplomate, selon qui les futures initiatives du président russe Vladimir Poutine « vont dépendre de la détermination de l’Ouest et de la communauté occidentale ».
Interrogé sur la menace nucléaire que fait peser Moscou, Vadym Omelchenko « ne pense pas qu’il s’agisse seulement de bluff » ajoutant que « comme les Russes se rendent compte qu’ils sont en train de perdre, ils ont recours à des menaces ».
Samedi 2 avril, une équipe de l’AFP a enfin pu se rendre à Boutcha, à proximité de Kiev. David Kemp, Ronaldo Schemidt et Nicolas Garcia ont découvert l’horreur : une rue jonchée de cadavres. David Kemp raconte.
« Nous en avons d’abord aperçu trois, gisant à terre comme des tas de chiffons. (…) En se rapprochant on distinguait les mains de l’un d’entre eux, attachées dans le dos. Il a fallu un bon moment avant qu’au sein de l’équipe que nous formions avec le photographe Ronaldo Schemidt, le vidéojournaliste Nicolas Garcia, l’interprète, le conducteur et un conseiller en sécurité dont nous tairons les identités pour les protéger – l’un de nous soit en mesure de lever les yeux vers le reste de la rue. »
« Quand nous l’avons fait, nous avons compris que ces trois corps n’étaient qu’un sombre présage. Où que nous portions notre regard, il y en avait d’autres. Cadavre après cadavre dans une rue jonchée de débris. Ce lieu solitaire était manifestement devenu l’enfer des habitants de Boutcha. »
Les autorités de la république séparatiste pro-russe de Transnistrie, en Moldavie, ont annoncé mercredi qu’un village frontalier de l’Ukraine hébergeant un important dépôt de munitions de l’armée russe avait été la cible de tirs après avoir été survolé par des drones.
« La nuit dernière, plusieurs drones ont été repérés au-dessus du village de Kolbasna », a indiqué le « ministère de l’Intérieur » de Transnistrie dans un communiqué, ajoutant que mercredi matin, « des coups de feu ont été tirés en direction de Kolbasna depuis l’Ukraine » sans faire de victimes.
Qui peuvent être les auteurs de violences sexuelles sur les réfugiées ukrainiennes ? « N’importe qui », répond Colleen Roberts du Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) en Moldavie.
« Même les personnes qui offrent leur aide peuvent en être les auteurs, un travailleur humanitaire, n’importe qui… C’est ce que nous devons comprendre : à partir du moment où vous avez des réfugiés vulnérables, en particulier des femmes et des filles, cela est susceptible d’accroître le risque d’exploitation, d’exploitation sexuelle ou d’abus sexuels, par tous types d’acteurs, même ceux qui semblent vouloir aider », explique-t-elle.
Pendant les combats ou dans leur fuite, du fait de belligérants, de la famille d’accueil, voire du travailleur humanitaire, les violences sexuelles sont une menace omniprésente pour les Ukrainiennes, s’alarme Colleen Roberts du Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) en Moldavie.
Selon l’ONU, plus de 5,2 millions de personnes ont fui l’Ukraine depuis les premières frappes russes le 24 février. Quelque 90 % sont des femmes et des enfants – les autorités de Kiev n’autorisant pas les hommes de 18 à 60 ans, en âge de porter les armes, à quitter le pays.
« Les violences sexuelles peuvent survenir n’importe où. Plus les réfugiées sont déplacées longtemps, plus les risques de violences sexuelles sont élevés pour celles qui vivent au sein d’une communauté d’accueil, surtout quand les ressources commencent à s’épuiser », rappelle Colleen Roberts. Pour en savoir plus sur ce sujet :
D’après le Premier ministre bulgare, Kiril Petkov, la décision de Gazprom constitue une grave violation d’un contrat en cours et équivaut à du chantage. Kiril Petkov a déclaré que la Bulgarie était en train de revoir tous ses contrats avec Gazprom, y compris pour le transit du gaz russe vers la Serbie et la Hongrie, car « le chantage unilatéral n’était pas acceptable ».
L’UE s’était « préparée » à une interruption du gaz russe et prépare « une réponse coordonnée », a déclaré mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, après la suspension par Gazprom des livraisons à la Bulgarie et la Pologne.
« L’annonce de Gazprom est une nouvelle tentative de la Russie de nous faire du chantage au gaz. Nous sommes préparés à ce scénario. Nous élaborons notre réponse européenne coordonnée. Les Européens peuvent être sûrs que nous sommes unis et solidaires avec les États membres touchés », a-t-elle réagi sur Twitter.
« Des hangars avec une grande quantité d’armes et de munitions étrangères, livrées aux forces ukrainiennes par les Etats-Unis et des pays européens, ont été détruits avec des missiles de haute précision Kalibr tirés depuis la mer sur l’usine d’aluminium de Zaporojjia », dans le sud-est de l’Ukraine, a indiqué le ministère russe de la Défense.
La société chinoise DJI Technology Co Ltd, spécialisée dans la production de drones, a annoncé la suspension temporaire de ses activités en Russie et en Ukraine, selon le journal Nexta.
« La situation n’affecte pas les approvisionnements courants des clients de PGNiG qui reçoivent le carburant conformément à leur demande », précise toutefois la société.
Le groupe russe a indiqué la « suspension des livraisons de gaz à partir du 27 avril et jusqu’à ce que le paiement soit effectué » en roubles.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré le mois dernier que la Russie n’accepterait le paiement des livraisons de gaz que dans sa monnaie nationale.
Les forces russes progressent depuis Izioum, déjà sous leur contrôle, en direction de Lyman et près de Severodonetsk, l’une des grandes villes d’importance de la région : elles ont pris les localités de Velyka Komychouvakha et Zavody, dans la région de Kharkiv, et celles de Zaritchné et Novotochkivské, dans la région de Donetsk, a indiqué le ministère de la Défense ukrainien dans son rapport matinal.
L’association Aide Médicale et Caritative France-Ukraine, en partenariat avec le spécialiste du tirage photo Initial Labo, réalise une vente de photographies dont les bénéfices seront versés aux Ukrainiens touchés par le conflit.
Les photographies d’une trentaine de photographes ayant immortalisé des moments de vie ou d’Histoire en Ukraine au cours des dernières années sont à vendre en tirage limité à 100 euros.
En violet : Les territoires occupés par les Russes avant l’invasion du 24 février dernier
En rouge : Les territoires occupés par les Russes depuis l’invasion du 24 février dernier
En rose : Les zones où les opérations militaires russes sont très avancées
La censure en Russie est-elle une clef pour sortir du conflit ? Vladimir Poutine dispose de « l’espace politique » nécessaire pour mettre fin à son invasion de l’Ukraine, a en effet estimé mardi Boris Johnson.
« Compte tenu du soutien massif de la Russie à ce qu’il fait, de l’apparente indifférence des médias russes à l’égard de ce qui se passe réellement en Ukraine, le paradoxe est que Poutine dispose de beaucoup d’espace politique pour faire marche arrière et se retirer », a déclaré le Premier ministre britannique sur TalkTV. En conséquence, Poutine pourrait dire au peuple russe que l’opération lancée en Ukraine a été « une réussite », et qu’elle est « techniquement un succès ».
Les Pays-Bas fourniront « un nombre limité » d’obusiers blindés de type Panzerhaubitze 2000 à Kiev, a annoncé mardi le gouvernement néerlandais. Ces obusiers représentent l’artillerie « la plus lourde de l’armée » néerlandaise, selon le ministère de la Défense, et permettent d’éliminer des cibles ennemies à 50 kilomètres dans toutes les conditions météorologiques.
L’Allemagne assurera pour sa part la formation de soldats ukrainiens au maniement de ces blindés, et fournira des munitions. La ministre de la Défense néerlandaise Kajsa Ollongren a précisé que la formation à leur utilisation pourrait prendre « des semaines voire des mois » tout en soulignant que même après la guerre, les armes seront d’une grande importance pour l’armée ukrainienne.
Lors de sa rencontre avec Antonio Guterres, Vladimir Poutine a redit que l’armée russe n’avait « aucun lien » avec la « provocation » de Boutcha. L’Ukraine accuse Moscou d’avoir tué de nombreux civils dans cette ville, ce que le Kremlin nie fermement.
Le secrétaire general des Nations unies a en outre réitéré son appel pour un travail commun entre l’ONU et Moscou afin de mettre en place des couloirs humanitaires et venir en aide aux civils en Ukraine. Dans un communiqué, l’ONU a affirmé que Vladimir Poutine avait accepté « en principe » l’implication des Nations Unies et du Comité international de la Croix-Rouge dans l’évacuation des civils coincés sur le site industriel d’Azovstal, dans le port assiégé de Marioupol.
Antonio Guterres a rencontré mardi au Kremlin Vladimir Poutine. A cette occasion le président russe a affirmé au chef des Nations unies croire toujours en une issue positive des négociations avec l’Ukraine. Malgré les combats, « les négociations se poursuivent (…) J’espère que nous arriverons à un résultat positif », a déclaré le maître du Kremlin.
Il a d’ailleurs affirmé que les négociations entre Moscou et Kiev à Istanbul, fin mars, avaient permis une « sérieuse avancée car nos collègues ukrainiens n’avaient pas lié les exigences de sécurité, de la sécurité internationale de l’Ukraine, à une certaine compréhension des frontières internationalement reconnues de l’Ukraine ».
Lors de ces négociations, Kiev avait proposé un accord international établissant des pays garants de sa sécurité. En échange, l’Ukraine accepterait un statut « non-nucléaire » et neutre, renoncerait à rejoindre l’Otan, à autoriser des bases militaires étrangères sur son territoire et exclurait un temps des négociations les questions liées à la Crimée annexée et aux territoires séparatistes du Donbass. Après ces négociations, Moscou avait retiré ses troupes dans le nord de l’Ukraine.
Bienvenue sur ce nouveau live consacré à la guerre en Ukraine. Même si sur le terrain les bombardements continuent, Vladimir Poutine a affirmé au secrétaire général de l’ONU, en visite à Moscou, croire toujours en une issue positive des négociations. Les Américains et leurs alliés augmentent tout de même leurs livraisons d’armes à l’Ukraine alors que les craintes de voir le conflit s’exporter en Moldavie sont de plus en plus vives.