Etats-Unis : La Cour suprême valide le statut de 700.000 jeunes migrants, contre l’avis de Trump
MIGRATIONS En 2017, Donald Trump avait décidé de mettre un terme à un programme de régularisation d’immigrés clandestins âgés de moins de 30 ans
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.
La Cour suprême des Etats-Unis a infligé un camouflet ce jeudi à Donald Trump en validant les protections accordées par son prédécesseur à 700.000 jeunes migrants qu’il voulait supprimer. La haute juridiction a jugé « arbitraire » et « capricieuse » la décision de l’administration républicaine dans une décision prise à une courte majorité, par cinq juges sur neuf.
Le président démocrate Barack Obama avait levé en 2012 la menace d’expulsion pesant sur ces « Dreamers » (rêveurs, en anglais), le surnom donné aux immigrés de moins de 30 ans, arrivés clandestinement dans leur enfance aux Etats-Unis, et leur avait donné un numéro de Sécurité sociale, sésame indispensable pour travailler, conduire ou étudier aux Etats-Unis.
Trump voulait abroger ce programme en 2017
En 2017, son successeur républicain, qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’un de ses chevaux de bataille, a décidé de mettre un terme à ce programme baptisé DACA, le décrétant « illégal ».
Saisis en urgence, des tribunaux avaient suspendu sa décision, offrant un répit aux « Dreamers ». Le gouvernement avait alors fait appel jusqu’à la plus haute juridiction, qui a finalement décidé de lui donner tort pour des raisons de procédure.
Des décisions « horribles » et « orientées politiquement » selon Trump
« Nous ne nous disons pas si DACA ou sa suppression étaient des politiques fondées. La "sagesse" de ces décisions "n’est pas de notre ressort" », écrit dans l’arrêt le chef de la Cour John Roberts, qui a joint sa voix à ses quatre collègues progressistes.
« Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les obligations de procédure et fourni une explication raisonnée à son action », a-t-il poursuivi. Et dans ce dossier « il a échoué », a-t-il conclu.
Le président des Etats-Unis a réagi sur Twitter, comme à son habitude. Il a dénoncé des décisions de la Cour suprême « horribles » et « orientées politiquement », après deux revers en l’espace de quelques jours, l’un sur les droits des salariés gays et transgenres et l’autre sur le statut de centaines de milliers de jeunes migrants. « Avez-vous l’impression que la Cour suprême ne m’aime pas ? », s’est-il également interrogé, dans sa première attaque frontale contre la Cour suprême, qu’il avait promis lors de sa campagne de 2016 de faire pencher du côté conservateur.