On se quitte avec Frank Sinatra. La page Obama se tourne. Celle des Trump commence. Reste à voir si elle dure 4 ou 8 ans. Bonne nuit/journée à tous!
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C'est le D-day. Deux mois après avoir été élu le 8 novembre dernier, Donald Trump va être investi président des Etats-Unis ce vendredi à Wahsington D. C. Il succède ainsi à Barack Obama qui quitte la Maison Blanche après deux mandats. 20 Minutes sera là pour vous faire vivre l’événement en direct avec notre envoyée spéciale à Washington et nos journalistes à Paris et en Californie.
L'ESSENTIEL
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Les premières estimations tombent, et il n'y aurait eu que 250.000 spectacteurs pour Donald Trump, contre 1,8 million pour Obama. A prendre avec un grain de sel car on ne sait pas si les photos qui ont été utilisées pour l'estimation étaient celles vers midi ou plus tôt le matin, quand la foule était très clairsemée.
Le bal d'investiture donne l'impression d'un show sorti des années 1930, big bang, danseuses, on est assez loin de Beyoncé et Stevie Wonder pour Obama. C'est «the ball of the people», dit la Maison Blanche, avec des billets qui ne coûtaient que 50 dollars.
Il est officiellement le chef des armées.
D'abord il a validé la confirmation de des secrétaires à la Défense et à la Sécurité Intérieure. Et puis il a signé un premier décret très flou pour "alléger le fardeau d'Obamacare". Il s'agit d'une mesure qui doit, à terme, déboucher sur un démantèlement. Quand les républicains auront une alternative.
Trump a relooké le bureau oval avec des rideaux très bling.
Spencer, c'est ce leader nationaliste qui s'était illustré en faisant un salut nazi et en criant "Heil Trump" après la victoire du républicain. Vendredi, il a reçu un coup de poing au visage d'un manifestant.
Là encore, un ancien général, John Kelly, facilement confirmé au Sénat (88 voix pour, 11 contre).
Au même endroit, deux foules différentes:
Le sénat a voté, il s'agit de la première confirmation pour le gouvernement Trump, il était temps. Un véritable plébiscite pour ce général très populaire, avec 98 voix sur 100 pour.
C'est ce que nous dit le politologue Chris Edelson. Interview à venir.
80 millions de followers quand même (pour ceux qui se demandent, il est en 4e position du classement, derrière le podium Katy Perry, Justin Bieber, Taylor Swift).
A pied, pour Donald Trump.
Elle a été remplacée par le plan énergétique "America First"
Les Etats-Unis vont abandonner leur politique de réduction des énergies polluantes et reprendre le forage du pétrole et gaz de schiste pour créer des emplois et payer la rénovation des infrastructures publiques, a annoncé vendredi la Maison Blanche.
Depuis le ciel, signé Pete Souza.
«J'ai beaucoup de respect pour ces deux personnes», a lancé Trump lors du déjeûner. Il a fait se lever Hillary Clinton, qui a été applaudie par les membres du Congrès présents.
Sans surprise, l'Amérique est plus divisée que jamais, et le discours, très sombre, de Trump, n'a rien fait pour arranger cela. A lire ici.
C’est le chiffre officiel donné par la police après les échauffourées avec des manifestants anti-Trump.
Il renvoie sur la vidéo de son discours sur Facebook.
C'est à lire ici. Finalement, Donald Trump a perdu tous les followers de @Potus et est parti de zéro.
Les autorités ont dû utiliser des gaz lacrymo et des flash bangs pour disperser la foule, estimée à environ 1.000 personnes.
Des vitrines ont été cassées à Bank of America et Starbuck.
Les camions remplis de sable permettent de bloquer tout véhicule fou.
Voici quelques mots prononcés par Trump dans son discours:
«Saigner, carnage, rouillé, triste, tombes». On est loin de l'optimisme de Reagan.
"We take Gotham from the corrupt ...and give it back to you, the people"
Sur la base d'Air Force One. «Vous avez prouvé le pouvoir de l'espoir», dit l'ancien président. Il va falloir s'y habituer, former president.
Il fait des bulles avec son Malabar
A priori il formalise toutes ses nominations.
Voici ce qu'il faut retenir:
«On l'a fait», s'enthousiasme David Duke. A noter que Trump a désavoué le soutien de Duke et du mouvement alt-right.
Enfin sans doute son équipe, mais intéressant de voir qu'il tweete depuis le compte perso et pas @Potus, pourtant transféré.
Jon Favreau juge que qu'on était proche de "la parodie".
Il part en vacances dans leur maison de "campagne" en Californie.
Le stratège démocrate Paul Begala tacle le speech de Trump.
What's next? La mairie de NYC? Elle dément mais la rumeur court.
Sur le compte @FLOTUS
Voilà, Trump est @POTUS (President of the United States) et Ivanka Trump, euh Melania Trump, est FLOTUS, First Lady of the USA.
Pas très rassembleur, il a continué d'attaquer le système et promis d'être le président du peuple. Avec un cabinet bourré d'insiders de Wall Street, cela reste à voir.
A voir si ca fait polémique, "brown" est assez péjoratif.
Ce 20 janvier «est le jour où nous transférons le pouvoir de Washington à vous, le peuple». Le nouveau président promet à «tous les oubliés» qu'ils «ne seront plus oubliés». Il s'en prend aux élites de Washington. Et répète presque les mêmes mots que tout au long de la campagne: «Chaque décision, sur le commerce, sur l'immigration sera prise avec un seul principe: America First»
«Moi, Donald J Trump, jure solennellement de remplir fidèlement les fonctions de président des États-Unis, et, dans toute la mesure de mes moyens, de sauvegarder, protéger et défendre la Constitution des États-Unis. So help me god »
Mike Pence a prêté serment, ça se termine par un "so help me God", qui, pour la précision historique, est optionnel: les candidats choisissent ou pas de le prononcer.
C'est le leader de la minorité démocrate au Sénat, qui succède à Harry Reid.
Elle est considérée comme l'une des meilleures du pays. Les chanteurs obtiennent en général une bourse d'études.
De l'archevêque de New York. On est aux Etats-Unis, hein, in God we trust!
Il réussit quand même l'expoit d'être plus impopulaire que Bush après Katrina.
Clairement, y a une petite influence.
Faut un peu sortir les jumelles quand même...
Dur dur quand même pour celle qui a touché son rêve des doigts. La nuit, elle se réveille parfois en hurlant "COMEEEEEEEEEYYYYYY" (le patron du FBI qui a sans doute fait pencher la balance en révélant que l'enquête était réouverte avant de dire quelques jours plus tard qu'il n'y avait rien de neuf, les sondages avant/après ont eu au moins 3% d'écart)
Hello Mr almost president.
Allez, ca ne sera pas les 1.8 million de personnes d'Obama mais Trump devrait faire bien mieux que les 300.000 de George W. Bush!