"Feu pour feu" de Carole Zalberg chez Actes Sud (Arles, France)
- Auteur : Carole Zalberg
- Genre : Romans et nouvelles - français
- Editeur : Actes Sud, Arles, France
- Prix : 11.50 €
- Date de sortie : 08/01/2014
- GENCOD : 9782330027308
Résumé
Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.
C. Z.
Née en 1965, Carole Zalberg vit à Paris. Romancière et poète, elle anime des ateliers d'écriture en milieu scolaire et des rencontres littéraires. Son roman, A défaut d'Amérique (Actes Sud, 2010) a reçu le prix du Roman métis des lycéens 2012.
Résumé
Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.
C. Z.
Née en 1965, Carole Zalberg vit à Paris. Romancière et poète, elle anime des ateliers d'écriture en milieu scolaire et des rencontres littéraires. Son roman, A défaut d'Amérique (Actes Sud, 2010) a reçu le prix du Roman métis des lycéens 2012.
Résumé
Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.
C. Z.
Née en 1965, Carole Zalberg vit à Paris. Romancière et poète, elle anime des ateliers d'écriture en milieu scolaire et des rencontres littéraires. Son roman, A défaut d'Amérique (Actes Sud, 2010) a reçu le prix du Roman métis des lycéens 2012.
Résumé
Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.
C. Z.
Née en 1965, Carole Zalberg vit à Paris. Romancière et poète, elle anime des ateliers d'écriture en milieu scolaire et des rencontres littéraires. Son roman, A défaut d'Amérique (Actes Sud, 2010) a reçu le prix du Roman métis des lycéens 2012.
Résumé
Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.
C. Z.
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Résumé
Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.
C. Z.
Née en 1965, Carole Zalberg vit à Paris. Romancière et poète, elle anime des ateliers d'écriture en milieu scolaire et des rencontres littéraires. Son roman, A défaut d'Amérique (Actes Sud, 2010) a reçu le prix du Roman métis des lycéens 2012.
Résumé
Je couvre, en te parlant, l'entre-deux - mort/vie, lieu noir/lieu blanc, hier/demain - où nous allons des jours durant, suspendus comme viande dans un temps qui n'est pas fait pour être vécu mais franchi, respiration réduite au plus mince filet, rêves bridés, métabolisme à l'économie, et je t'emporte, ma valeureuse, emmaillotée dans les mots du pays que nous tentons de fuir.
C. Z.
Née en 1965, Carole Zalberg vit à Paris. Romancière et poète, elle anime des ateliers d'écriture en milieu scolaire et des rencontres littéraires. Son roman, A défaut d'Amérique (Actes Sud, 2010) a reçu le prix du Roman métis des lycéens 2012.
La revue de presse : Alain Nicolas - L'Humanité du 27 février 2014
Feu pour feu, violence pour violence...
Carole Zalberg donne avec Feu pour feu un texte à l'écriture tenue et emportée, une tragédie où la rigueur de la construction ne se paie pas au prix d'une mise à distance de l'émotion.
La revue de presse : Frédérique Roussel - Libération du 27 février 2014
Carole Zalberg en a tiré un beau monologue lancinant, qui fait le trait d'union entre ces deux expressions du réel, l'innocence dans la main du danger et le délit final, comme une inévitable créance de l'exil.
La revue de presse : Emmanuelle Giuliani - La Croix du 15 janvier 2014
Concis, précis et aigu, le nouveau roman de Carole Zalberg confronte l'héroïsme d'un père au destin de sa fille...
En à peine 80 pages, Carole Zalberg se glisse dans la mémoire du père : ses souvenirs, exprimés dans une langue pure et classique qui semble appartenir à une histoire révolue, sont régulièrement écorchés par les phrases de sa fille, dont l'argot acide raconte autant le désarroi que la détermination. Si les premières pages pourraient faire redouter l'exercice de style, les préventions s'évanouissent devant la puissante émotion d'une écriture qui refuse tout sentimentalisme et même toute psychologie.
La revue de presse : Avril Ventura - Le Monde du 2 janvier 2014
Un père s'adresse à sa fille après que celle-ci a mis le feu à la cité dans laquelle ils se sont exilés, fuyant l'Afrique pour une Europe rêvée incapable de tenir ses promesses. Il revient sur le premier feu, celui que les rebelles ont mis à leur village et dont ils réchappèrent miraculeusement en simulant la mort au milieu des cadavres. Puis sur celui qu'Adama et ses amies allument au pied de l'immeuble d'une adolescente qu'elles accusent d'avoir tenté de séduire le petit ami de l'une d'entre elles...
Ici, la colère du feu symbolise celle des hommes, elle incarne la fureur d'une enfant déracinée qui a survécu à toutes les tragédies, mais qui se trouve soudainement embrasée par sa propre puissance.
La revue de presse : Alain Nicolas - L'Humanité du 27 février 2014
Feu pour feu, violence pour violence...
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En à peine 80 pages, Carole Zalberg se glisse dans la mémoire du père : ses souvenirs, exprimés dans une langue pure et classique qui semble appartenir à une histoire révolue, sont régulièrement écorchés par les phrases de sa fille, dont l'argot acide raconte autant le désarroi que la détermination. Si les premières pages pourraient faire redouter l'exercice de style, les préventions s'évanouissent devant la puissante émotion d'une écriture qui refuse tout sentimentalisme et même toute psychologie.
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Un père s'adresse à sa fille après que celle-ci a mis le feu à la cité dans laquelle ils se sont exilés, fuyant l'Afrique pour une Europe rêvée incapable de tenir ses promesses. Il revient sur le premier feu, celui que les rebelles ont mis à leur village et dont ils réchappèrent miraculeusement en simulant la mort au milieu des cadavres. Puis sur celui qu'Adama et ses amies allument au pied de l'immeuble d'une adolescente qu'elles accusent d'avoir tenté de séduire le petit ami de l'une d'entre elles...
Ici, la colère du feu symbolise celle des hommes, elle incarne la fureur d'une enfant déracinée qui a survécu à toutes les tragédies, mais qui se trouve soudainement embrasée par sa propre puissance.
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Carole Zalberg en a tiré un beau monologue lancinant, qui fait le trait d'union entre ces deux expressions du réel, l'innocence dans la main du danger et le délit final, comme une inévitable créance de l'exil.
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Un père s'adresse à sa fille après que celle-ci a mis le feu à la cité dans laquelle ils se sont exilés, fuyant l'Afrique pour une Europe rêvée incapable de tenir ses promesses. Il revient sur le premier feu, celui que les rebelles ont mis à leur village et dont ils réchappèrent miraculeusement en simulant la mort au milieu des cadavres. Puis sur celui qu'Adama et ses amies allument au pied de l'immeuble d'une adolescente qu'elles accusent d'avoir tenté de séduire le petit ami de l'une d'entre elles...
Ici, la colère du feu symbolise celle des hommes, elle incarne la fureur d'une enfant déracinée qui a survécu à toutes les tragédies, mais qui se trouve soudainement embrasée par sa propre puissance.
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Carole Zalberg en a tiré un beau monologue lancinant, qui fait le trait d'union entre ces deux expressions du réel, l'innocence dans la main du danger et le délit final, comme une inévitable créance de l'exil.
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Concis, précis et aigu, le nouveau roman de Carole Zalberg confronte l'héroïsme d'un père au destin de sa fille...
En à peine 80 pages, Carole Zalberg se glisse dans la mémoire du père : ses souvenirs, exprimés dans une langue pure et classique qui semble appartenir à une histoire révolue, sont régulièrement écorchés par les phrases de sa fille, dont l'argot acide raconte autant le désarroi que la détermination. Si les premières pages pourraient faire redouter l'exercice de style, les préventions s'évanouissent devant la puissante émotion d'une écriture qui refuse tout sentimentalisme et même toute psychologie.
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Un père s'adresse à sa fille après que celle-ci a mis le feu à la cité dans laquelle ils se sont exilés, fuyant l'Afrique pour une Europe rêvée incapable de tenir ses promesses. Il revient sur le premier feu, celui que les rebelles ont mis à leur village et dont ils réchappèrent miraculeusement en simulant la mort au milieu des cadavres. Puis sur celui qu'Adama et ses amies allument au pied de l'immeuble d'une adolescente qu'elles accusent d'avoir tenté de séduire le petit ami de l'une d'entre elles...
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Carole Zalberg donne avec Feu pour feu un texte à l'écriture tenue et emportée, une tragédie où la rigueur de la construction ne se paie pas au prix d'une mise à distance de l'émotion.
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Carole Zalberg en a tiré un beau monologue lancinant, qui fait le trait d'union entre ces deux expressions du réel, l'innocence dans la main du danger et le délit final, comme une inévitable créance de l'exil.
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Concis, précis et aigu, le nouveau roman de Carole Zalberg confronte l'héroïsme d'un père au destin de sa fille...
En à peine 80 pages, Carole Zalberg se glisse dans la mémoire du père : ses souvenirs, exprimés dans une langue pure et classique qui semble appartenir à une histoire révolue, sont régulièrement écorchés par les phrases de sa fille, dont l'argot acide raconte autant le désarroi que la détermination. Si les premières pages pourraient faire redouter l'exercice de style, les préventions s'évanouissent devant la puissante émotion d'une écriture qui refuse tout sentimentalisme et même toute psychologie.
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Un père s'adresse à sa fille après que celle-ci a mis le feu à la cité dans laquelle ils se sont exilés, fuyant l'Afrique pour une Europe rêvée incapable de tenir ses promesses. Il revient sur le premier feu, celui que les rebelles ont mis à leur village et dont ils réchappèrent miraculeusement en simulant la mort au milieu des cadavres. Puis sur celui qu'Adama et ses amies allument au pied de l'immeuble d'une adolescente qu'elles accusent d'avoir tenté de séduire le petit ami de l'une d'entre elles...
Ici, la colère du feu symbolise celle des hommes, elle incarne la fureur d'une enfant déracinée qui a survécu à toutes les tragédies, mais qui se trouve soudainement embrasée par sa propre puissance.
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Carole Zalberg donne avec Feu pour feu un texte à l'écriture tenue et emportée, une tragédie où la rigueur de la construction ne se paie pas au prix d'une mise à distance de l'émotion.
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Carole Zalberg en a tiré un beau monologue lancinant, qui fait le trait d'union entre ces deux expressions du réel, l'innocence dans la main du danger et le délit final, comme une inévitable créance de l'exil.
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Concis, précis et aigu, le nouveau roman de Carole Zalberg confronte l'héroïsme d'un père au destin de sa fille...
En à peine 80 pages, Carole Zalberg se glisse dans la mémoire du père : ses souvenirs, exprimés dans une langue pure et classique qui semble appartenir à une histoire révolue, sont régulièrement écorchés par les phrases de sa fille, dont l'argot acide raconte autant le désarroi que la détermination. Si les premières pages pourraient faire redouter l'exercice de style, les préventions s'évanouissent devant la puissante émotion d'une écriture qui refuse tout sentimentalisme et même toute psychologie.
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Un père s'adresse à sa fille après que celle-ci a mis le feu à la cité dans laquelle ils se sont exilés, fuyant l'Afrique pour une Europe rêvée incapable de tenir ses promesses. Il revient sur le premier feu, celui que les rebelles ont mis à leur village et dont ils réchappèrent miraculeusement en simulant la mort au milieu des cadavres. Puis sur celui qu'Adama et ses amies allument au pied de l'immeuble d'une adolescente qu'elles accusent d'avoir tenté de séduire le petit ami de l'une d'entre elles...
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Ici, la colère du feu symbolise celle des hommes, elle incarne la fureur d'une enfant déracinée qui a survécu à toutes les tragédies, mais qui se trouve soudainement embrasée par sa propre puissance.
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Feu pour feu, violence pour violence...
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