"Ferrare : joyau de la Renaissance italienne" de Julie Chaizemartin chez Berg international (Paris, France)
- Auteur : Julie Chaizemartin
- Illustrateur : photographies de Marie Lopez-Vivanco
- Genre : Arts
- Editeur : Berg international, Paris, France
- Prix : 32.00 €
- Date de sortie : 28/03/2012
- GENCOD : 9782917191514
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Résumé
Dans tous les voyages initiatiques de l'adolescence une place fondamentale est réservée à l'Italie : Rome, Florence, Naples, Sienne, Venise.
Mais, dans ce passage obligé de la culture occidentale, Ferrare, la ville de l'Arioste, du Tasse, où oeuvrèrent les plus grands architectes et peintres de la Renaissance, est souvent ignorée, évitée, presque méprisée.
Cette ville connut pourtant son heure de gloire. Elle fut au XVe et au XVIe siècle un foyer artistique et culturel important de l'humanisme, accueillit juifs expulsés d'Espagne et protestants pourchassés par l'Église. Mais, lorsque les armées du pape Clément vin s'y installèrent, en 1598 elle fut pillée et une chape de plomb s'abattit sur elle. Ferrare tomba dans l'oubli.
Inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1995, le centre historique de la ville a gardé sa partie médiévale avec ses longues ruelles étroites et voûtées, son extraordinaire quartier renaissant caractérisé par de larges avenues bordées de palais et une impressionnante ceinture de remparts.
En architecture, les historiens de l'art ont attribué à Ferrare le titre de «première ville moderne d'Europe». En peinture, ils ont découvert de modestes artistes au langage si particulier qu'il en est encore parfois obscur, mais en même temps si intrigant !
Il existe bien un style ferrarais à part entière et l'on peut parler d'une véritable école de peinture se distinguant des autres. A côté des artistes locaux, de grands peintres comme Pisanello, Rogier Van der Weyden, Bellini ou Titien répondirent aux commandes des ducs d'Este qui dirigeaient la ville et surent en faire une rivale de Venise et de Florence.
De nos jours, plusieurs expositions de mise en valeur de son patrimoine se sont succédé tant au palais des Diamants qu'à la Galleria Estense de Modène, mais l'histoire de Ferrare et ses apports dans la construction de la culture européenne contemporaine sont encore méconnus d'un large public. Pourtant Ferrare a inspiré Giorgio de Chirico pour ses peintures «métaphysiques» et de nombreux écrivains dont Giorgio Bassani, en particulier dans son livre mis à l'écran, Le Jardin des Finzi Contini.
Seuls quelques ouvrages, en quantité dérisoire, qui évoquent Ferrare sont disponibles en français. Aucun ne lui a été entièrement consacré. Celui-ci, qui comporte près de 150 reproductions d'oeuvres architecturales, de fresques et de peintures méconnues, invite à une découverte de la Renaissance ferraraise qui réserve bien des surprises.
L'auteur : Julie Chaizemartin est historienne de l'Art, diplômée de l'École du Louvre.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
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1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
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1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
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Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.
Courrier des auteurs le 04/12/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Julie Chaizemartin, journaliste et historienne de l'art.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Ce livre est un voyage dans la Ferrare de la Renaissance, qui fut un foyer culturel d'exception où se sont côtoyés artistes et femmes éclairées, écrivains et hommes de pouvoir... Titien et Lucrèce Borgia.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
"Clairvoyante et ambitieuse, à la jonction du Nord et du Sud de l'Europe, là précisément où l'échange des idées était encouragé, où les esprits les plus contestataires purent se réfugier, où même les hérétiques trouvèrent un havre de paix, la ville fut un des foyers qui initia notre culture moderne à travers la Renaissance".
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Concert des Dames de Ferrare bien sûr ! Il Concerto delle Donne di Ferrara, musique douce et raffinée du XVIe siècle.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La découverte d'une ville méconnue au destin pourtant extraordinaire. Le mystère et l'âme d'une ville.
Le fait aussi que ce livre a été désigné "Un Livre pour la Reconstruction" sous le Patronage de la Commission italienne auprès de l'Unesco suite aux tremblements de terre de la région de Ferrare qui endommagèrent de nombreux monuments historiques.