"Je vais mieux" de David Foenkinos chez Gallimard (Paris, France)
- Auteur : David Foenkinos
- Genre : Romans et nouvelles - français
- Editeur : Gallimard, Paris, France
- Prix : 19.50 €
- Date de sortie : 10/01/2013
- GENCOD : 9782070140107
Résumé
Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non. J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Résumé
Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non. J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non. J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non. J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non. J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
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J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
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J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
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Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non. J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non. J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non. J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
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J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
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Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.
Je pensais que cela passerait, mais non. J'ai tout essayé...
J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.
Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.
J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.
Je ne savais plus que faire pour aller mieux...
Et puis, j'ai fini par comprendre.
Né à Paris en 1974, le romancier français David Foenkinos est aujourd'hui traduit dans une vingtaine de pays. Grand admirateur de littérature russe et de "Belle du Seigneur" d'Albert Cohen, il place lui aussi l'amour au centre de ses romans, comme on peut le ressentir dans "Entre les oreilles" (2002), "Le potentiel érotique de ma femme" (2004), "En cas de bonheur" (2005), "Nos séparations" (2008), "La délicatesse" (2009) ou "Les souvenirs" (2011). Par ailleurs il n'hésite pas à se mettre en scène dans "Qui se souvient de David Foenkinos ?" (2007), roman dans lequel un écrivain peine à trouver l'inspiration. En 2011, il élargit son registre avec un livre pour enfants : "Le petit garçon qui disait toujours non" et l'adaptation pour le cinéma de son roman "La délicatesse" en collaboration avec son frère Stéphane.
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Le choix des libraires : choisi le 05/03/2013 par Magali Garnero de la librairie A LIVR'OUVERT à PARIS, France
Après La délicatesse et Le potentiel érotique de ma femme voici Je vais mieux aux éditions Gallimard.
Édouard est marié, père de deux enfants, et travaille dans son entreprise depuis plusieurs années. Tout pourrait être merveilleux dans le meilleur des mondes mais Édouard a mal au dos. Dans le bas du dos. Et c'est suite à cette contrariété que toutes les autres vont se déclencher.
Nous suivons Édouard dans chacune de ses péripéties médicales, médecin, radiologue, ostéopathe, manipulatrice. Et à chaque fois quelque chose déraille dans sa vie : son poste menacé par un collègue ambitieux, son couple remis en question suite à la mort de son beau-père, et sans arrêt cette douleur qui s'intensifie ou diminue mais qui est constamment là.
Ce n'est pas un livre de plaintes ! Au contraire, nous sommes les témoins privilégiés de la vie d'un homme qui voit sa vie changer malgré lui. Enfin presque malgré lui, car ne dit-on pas «En avoir plein le dos» ; peut-être que sa douleur est un signe...
Le choix des libraires : choisi le 05/03/2013 par Magali Garnero de la librairie A LIVR'OUVERT à PARIS, France
Après La délicatesse et Le potentiel érotique de ma femme voici Je vais mieux aux éditions Gallimard.
Édouard est marié, père de deux enfants, et travaille dans son entreprise depuis plusieurs années. Tout pourrait être merveilleux dans le meilleur des mondes mais Édouard a mal au dos. Dans le bas du dos. Et c'est suite à cette contrariété que toutes les autres vont se déclencher.
Nous suivons Édouard dans chacune de ses péripéties médicales, médecin, radiologue, ostéopathe, manipulatrice. Et à chaque fois quelque chose déraille dans sa vie : son poste menacé par un collègue ambitieux, son couple remis en question suite à la mort de son beau-père, et sans arrêt cette douleur qui s'intensifie ou diminue mais qui est constamment là.
Ce n'est pas un livre de plaintes ! Au contraire, nous sommes les témoins privilégiés de la vie d'un homme qui voit sa vie changer malgré lui. Enfin presque malgré lui, car ne dit-on pas «En avoir plein le dos» ; peut-être que sa douleur est un signe...
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Édouard est marié, père de deux enfants, et travaille dans son entreprise depuis plusieurs années. Tout pourrait être merveilleux dans le meilleur des mondes mais Édouard a mal au dos. Dans le bas du dos. Et c'est suite à cette contrariété que toutes les autres vont se déclencher.
Nous suivons Édouard dans chacune de ses péripéties médicales, médecin, radiologue, ostéopathe, manipulatrice. Et à chaque fois quelque chose déraille dans sa vie : son poste menacé par un collègue ambitieux, son couple remis en question suite à la mort de son beau-père, et sans arrêt cette douleur qui s'intensifie ou diminue mais qui est constamment là.
Ce n'est pas un livre de plaintes ! Au contraire, nous sommes les témoins privilégiés de la vie d'un homme qui voit sa vie changer malgré lui. Enfin presque malgré lui, car ne dit-on pas «En avoir plein le dos» ; peut-être que sa douleur est un signe...
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Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
Courier des auteurs le 05/03/2013
1) Qui êtes-vous ? !
Rien n'est plus difficile que de se définir, non ? Et plus j'écris des livres, moins je sais qui je suis. Alors soyons simple : un écrivain de 38 ans.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
On parle beaucoup du mal de dos dans ce livre. La vie d'un homme va être bouleversée à cause de cette douleur. Il va comprendre au bout d'un moment que ce mal a forcément une raison. Alors il va mener une enquête dans sa propre vie. Il détient sûrement la clé de son mal être. Raconté comme cela on dirait presque un polar du dos, mais c'est davantage une épopée risible.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Notre couple baignait dans cette affection polie où l'on est capable de survoler les plaies de l'autre».
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Comme dans La délicatesse, sûrement une chanson d'Alain Souchon dont j'admire la nonchalance, la douceur, la maladresse touchante. Le héros du roman est souvent plié en deux, souffre terriblement, mais quand sa femme lui demande comment va t-il il répond toujours : «je vais mieux». Il y a une forme de politesse dans sa douleur. Une élégance finalement. Alors ça me fait penser à Souchon.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
En priorité, sûrement le plaisir, ou le rire. Mais je trouve cela toujours troublant quand des lecteurs me disent se reconnaître dans mes livres, ou certaines pensées. Le livre est comme un étrange lieu de rencontre finalement.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Le seul rituel c'est l'obsession ! Quand j'écris un roman, je l'écris tout le temps. Dans ma tête, dans tous les lieux, sans cesse. J'ai même l'impression d'écrire quand je n'écris pas. Le livre continue d'une manière souterraine.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Aussi impossible de le savoir que la formation étrange des rêves. Le point de départ est toujours un mystère. Après je dilue cette inspiration dans une forme de réalité. L'inspiration doit être une sorte de mélange de l'observation et la rêverie.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescent «un jour j'écrirai des livres» ?
Ah non pas du tout. C'est venu tardivement, vers 16 ans, après une grave maladie. Je me suis mis à aimer les mots, à lire, puis écrire. Mais je n'ai jamais pensé que ce serait ma vie d'écrire des livres. Après 10 ans de nouvelles, de romans, j'ai tenté ma chance en envoyant un manuscrit par la poste chez Gallimard. Et c'est en publiant que je me suis dit : «tiens j'écris des livres !»
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lecteur) ?
Oui, ils sont inoubliables ! Dostoïevski tout d'abord. Puis Albert Cohen, Milan Kundera, Philip Roth, et Bernard Frank aussi. Et tant d'autres, j'adore aussi Toussaint et Houellebecq.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
En ce qui me concerne, ils servent à tout. A me faire voyager, à comprendre le monde, la beauté, la sensualité. Ils mettent parfois des mots sur ce que je vois sans avoir été capable de le saisir.
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Une immense place. Je leur dois beaucoup. Le succès de La délicatesse a été vraiment un choix de libraires, puis de lecteurs. Et comme je vais souvent en librairie pour dédicacer mes livres, j'écoute leurs conseils. Il m'est arrivé de repartir en ayant acheté plus de livres que j'en avais signés !
La revue de presse : Jérôme Béglé - Le Point du 9 janvier 2013
Après Les souvenirs qui, en 2011, explorait la vieillesse et l'univers des maisons de retraite, le romancier et cinéaste continue d'explorer la vie comme elle vient et comme elle va. Avec Délicatesse et sans jamais renier Le potentiel érotique de (s)a femme... Je vais mieux est son livre le plus abouti et le mieux construit.
La revue de presse : Jérôme Béglé - Le Point du 9 janvier 2013
Après Les souvenirs qui, en 2011, explorait la vieillesse et l'univers des maisons de retraite, le romancier et cinéaste continue d'explorer la vie comme elle vient et comme elle va. Avec Délicatesse et sans jamais renier Le potentiel érotique de (s)a femme... Je vais mieux est son livre le plus abouti et le mieux construit.
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