Vichy : Nu, il cambriolait sa voisine pour lui voler ses culottes
INSOLITE Pendant cinq ans, elle voyait disparaître ses sous-vêtements de manière inexplicable…
Le mystère des culottes qui disparaissent est enfin résolu. Un individu a été interpellé à Vichy, dans l’Allier, accusé d’avoir dérobé à maintes reprises des sous-vêtements chez sa voisine. Selon La Montage, son manège durait depuis cinq ans.
C’est à partir de l’année 2012 que les petites culottes d’une habitante de Vichy ont commencé à disparaître régulièrement et de manière totalement inexplicable. Les sous-vêtements n’étaient pas en train de sécher accrochés à un fil dans le jardin, ni suspendus sur un étendeur à linge posé sur une fenêtre. Non. Les délicats dessous étaient bel et bien rangés dans la garde-robe de leur propriétaire.
Les serrures changées en vain
Sauf qu’aucune trace d’effraction n’a jamais été constatée au domicile de la dame. Craignant qu’une clé de leur maison traîne dans la nature, la victime et son mari ont décidé de changer les serrures des portes. Deux fois même. En vain. Des culottes disparaissaient toujours au rythme d’une à deux fois par an.
A situation exceptionnelle, solution radicale. Les époux ont installé un système de vidéosurveillance pour tâcher de résoudre le mystère. Initiative payante. Quelque temps plus tard, la bande de la caméra a apporté la réponse tant attendue.
Le voisin, nu, avec une lampe frontale
L’enregistrement montrait un homme passant par un soupirail duquel il avait préalablement descellé le barreau. Il pouvait ensuite, à loisir, voler les dessous convoités et s’en aller après avoir replacé le barreau. Ni vu, ni connu. A noter que pour réaliser son forfait, l’homme était entièrement nu si l’on estime qu’une lampe frontale n’est pas un vêtement.
En possession de la bande-vidéo, les policiers ont finalement identifié un individu de 48 ans qui n’est autre que le voisin de sa victime. Les dessous ont d’ailleurs été retrouvés, planqués dans un box. Le fétichiste présumé devra répondre de ses actes devant la justice en décembre.