Japon: Le projet de promotion des femmes ne séduit aucune entreprise

SOCIETE Les sociétés ayant répondu présentes auraient pu obtenir jusqu'à 2.200 euros de soutien...

20 Minutes avec agences
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Alors que le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, s’est engagé, dimanche à New York et devant les Nations unies, à renforcer ses mesures de promotion de la gent féminine, pas une seule entreprise japonaise n’a souhaité participer à un programme de subventions destiné à permettre à plus de femmes d’accéder à des postes de responsabilité.

à renforcer ses mesures de promotion de la gent féminine

Alors que le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, s’est engagé, dimanche à New York et devant les Nations unies, à renforcer ses mesures de promotion de la gent féminine, pas une seule entreprise japonaise n’a souhaité participer à un programme de subventions destiné à permettre à plus de femmes d’accéder à des postes de responsabilité.

Le gouvernement s’attendait à recevoir la candidature d’au moins 500 entreprises, mais le budget de 120 millions de yens alloué à l’opération restera inutilisé. Dans le cadre de ce projet lancé l’an dernier, les sociétés choisies auraient obtenu jusqu’à 300 000 yens (environ 2 200 euros), en échange de la promotion de femmes à des postes plus élevés ou de leur formation pour y parvenir.

Ce programme n’était « pas bon »

Une responsable du ministère de la Santé a, ce lundi, mis en cause les conditions très strictes exigées pour être choisi, affirmant que ce programme n’était « pas bon ». Une proposition plus indulgente et accompagnée « d’une subvention doublée dans certains cas sera lancée en octobre », a-t-elle ajouté.

Japon : Un prix des toilettes… pour faire progresser la condition féminine

Pour rappel, le Japon a l’un des taux d’occupation des femmes les plus bas des pays développés et nombre d’économistes s’accordent à dire qu’il lui faut augmenter cette proportion en raison du vieillissement de la population. Le manque de crèches, le peu de soutien accordé aux femmes dans leur carrière et un sexisme profondément ancré sont généralement accusés de pousser les jeunes mères à rester à la maison.


Le gouvernement s’attendait à recevoir la candidature d’au moins 500 entreprises, mais le budget de 120 millions de yens alloué à l’opération restera inutilisé. Dans le cadre de ce projet lancé l’an dernier, les sociétés choisies auraient obtenu jusqu’à 300 000 yens (environ 2 200 euros), en échange de la promotion de femmes à des postes plus élevés ou de leur formation pour y parvenir.

Ce programme n’était « pas bon »

Une responsable du ministère de la Santé a, ce lundi, mis en cause les conditions très strictes exigées pour être choisi, affirmant que ce programme n’était « pas bon ». Une proposition plus indulgente et accompagnée « d’une subvention doublée dans certains cas sera lancée en octobre », a-t-elle ajouté.

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Pour rappel, le Japon a l’un des taux d’occupation des femmes les plus bas des pays développés et nombre d’économistes s’accordent à dire qu’il lui faut augmenter cette proportion en raison du vieillissement de la population. Le manque de crèches, le peu de soutien accordé aux femmes dans leur carrière et un sexisme profondément ancré sont généralement accusés de pousser les jeunes mères à rester à la maison.


Le gouvernement s’attendait à recevoir la candidature d’au moins 500 entreprises, mais le budget de 120 millions de yens alloué à l’opération restera inutilisé. Dans le cadre de ce projet lancé l’an dernier, les sociétés choisies auraient obtenu jusqu’à 300 000 yens (environ 2 200 euros), en échange de la promotion de femmes à des postes plus élevés ou de leur formation pour y parvenir.

Ce programme n’était « pas bon »

Une responsable du ministère de la Santé a, ce lundi, mis en cause les conditions très strictes exigées pour être choisi, affirmant que ce programme n’était « pas bon ». Une proposition plus indulgente et accompagnée « d’une subvention doublée dans certains cas sera lancée en octobre », a-t-elle ajouté.

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Le gouvernement s’attendait à recevoir la candidature d’au moins 500 entreprises, mais le budget de 120 millions de yens alloué à l’opération restera inutilisé. Dans le cadre de ce projet lancé l’an dernier, les sociétés choisies auraient obtenu jusqu’à 300 000 yens (environ 2 200 euros), en échange de la promotion de femmes à des postes plus élevés ou de leur formation pour y parvenir.

Ce programme n’était « pas bon »

Une responsable du ministère de la Santé a, ce lundi, mis en cause les conditions très strictes exigées pour être choisi, affirmant que ce programme n’était « pas bon ». Une proposition plus indulgente et accompagnée « d’une subvention doublée dans certains cas sera lancée en octobre », a-t-elle ajouté.

Japon : Un prix des toilettes… pour faire progresser la condition féminine

Pour rappel, le Japon a l’un des taux d’occupation des femmes les plus bas des pays développés et nombre d’économistes s’accordent à dire qu’il lui faut augmenter cette proportion en raison du vieillissement de la population. Le manque de crèches, le peu de soutien accordé aux femmes dans leur carrière et un sexisme profondément ancré sont généralement accusés de pousser les jeunes mères à rester à la maison.

un sexisme profondément ancré

Le gouvernement s’attendait à recevoir la candidature d’au moins 500 entreprises, mais le budget de 120 millions de yens alloué à l’opération restera inutilisé. Dans le cadre de ce projet lancé l’an dernier, les sociétés choisies auraient obtenu jusqu’à 300 000 yens (environ 2 200 euros), en échange de la promotion de femmes à des postes plus élevés ou de leur formation pour y parvenir.

Ce programme n’était « pas bon »

Une responsable du ministère de la Santé a, ce lundi, mis en cause les conditions très strictes exigées pour être choisi, affirmant que ce programme n’était « pas bon ». Une proposition plus indulgente et accompagnée « d’une subvention doublée dans certains cas sera lancée en octobre », a-t-elle ajouté.

Japon : Un prix des toilettes… pour faire progresser la condition féminine

Pour rappel, le Japon a l’un des taux d’occupation des femmes les plus bas des pays développés et nombre d’économistes s’accordent à dire qu’il lui faut augmenter cette proportion en raison du vieillissement de la population. Le manque de crèches, le peu de soutien accordé aux femmes dans leur carrière et un sexisme profondément ancré sont généralement accusés de pousser les jeunes mères à rester à la maison.