Japon: Un prix des toilettes... pour faire progresser la condition féminine

Certains pourraient ici utiliser fort à propos l’expression « goût de chiottes ». Pourquoi ? Parce que le Japon vient de créer un drôle de prix, celui des toilettes, présenté de façon hasardeuse mais convaincue par le gouvernement comme la récompense de l’importante contribution au progrès de la condition féminine qu’apportent des commodités irréprochables.

D’emblée, l’initiative du Premier ministre conservateur Shinzo Abe a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux, beaucoup de Japonais se montrant sceptiques quant à la portée d’une telle récompense. D’autres ont moqué le lien établi par le gouvernement entre l’accès des femmes aux responsabilités et la qualité des toilettes publiques qu’elles utilisent au quotidien. « Les toilettes sont-elles la raison pour laquelle les femmes japonaises ne peuvent pas briller ? », s’est interrogé un internaute sur Twitter. Un autre d’ajouter : « le gouvernement se trompe de sujet. Il devrait plutôt travailler sur des questions comme le nombre insuffisant de crèches. »

Près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel

Qu’importe, les fonctionnaires ont épluché près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel avant d’élire une vingtaine de municipalités et entreprises qui ont su se distinguer des autres par la propreté, la sécurité et le confort de leurs lieux d’aisance.

Parmi les gagnants, figurent des sociétés ayant créé des toilettes de fortune sûres pour femmes et enfants après le désastre provoqué par le violent tremblement de terre de mars 2011 et le tsunami qui a suivi, mais aussi les toilettes impeccables de l’aéroport Haneda de Tokyo ainsi que les organisateurs d’un festival dont le thème était les toilettes. D’autres ont été primés pour avoir rendu les WC plus attrayants pour la gent féminine en y aménageant des espaces d’allaitement et en réduisant le temps d’attente.

« Des toilettes agréables encourageront la promotion des femmes »

Certains pourraient ici utiliser fort à propos l’expression « goût de chiottes ». Pourquoi ? Parce que le Japon vient de créer un drôle de prix, celui des toilettes, présenté de façon hasardeuse mais convaincue par le gouvernement comme la récompense de l’importante contribution au progrès de la condition féminine qu’apportent des commodités irréprochables.

D’emblée, l’initiative du Premier ministre conservateur Shinzo Abe a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux, beaucoup de Japonais se montrant sceptiques quant à la portée d’une telle récompense. D’autres ont moqué le lien établi par le gouvernement entre l’accès des femmes aux responsabilités et la qualité des toilettes publiques qu’elles utilisent au quotidien. « Les toilettes sont-elles la raison pour laquelle les femmes japonaises ne peuvent pas briller ? », s’est interrogé un internaute sur Twitter. Un autre d’ajouter : « le gouvernement se trompe de sujet. Il devrait plutôt travailler sur des questions comme le nombre insuffisant de crèches. »

Près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel

Qu’importe, les fonctionnaires ont épluché près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel avant d’élire une vingtaine de municipalités et entreprises qui ont su se distinguer des autres par la propreté, la sécurité et le confort de leurs lieux d’aisance.

Parmi les gagnants, figurent des sociétés ayant créé des toilettes de fortune sûres pour femmes et enfants après le désastre provoqué par le violent tremblement de terre de mars 2011 et le tsunami qui a suivi, mais aussi les toilettes impeccables de l’aéroport Haneda de Tokyo ainsi que les organisateurs d’un festival dont le thème était les toilettes. D’autres ont été primés pour avoir rendu les WC plus attrayants pour la gent féminine en y aménageant des espaces d’allaitement et en réduisant le temps d’attente.

« Des toilettes agréables encourageront la promotion des femmes »

Certains pourraient ici utiliser fort à propos l’expression « goût de chiottes ». Pourquoi ? Parce que le Japon vient de créer un drôle de prix, celui des toilettes, présenté de façon hasardeuse mais convaincue par le gouvernement comme la récompense de l’importante contribution au progrès de la condition féminine qu’apportent des commodités irréprochables.

D’emblée, l’initiative du Premier ministre conservateur Shinzo Abe a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux, beaucoup de Japonais se montrant sceptiques quant à la portée d’une telle récompense. D’autres ont moqué le lien établi par le gouvernement entre l’accès des femmes aux responsabilités et la qualité des toilettes publiques qu’elles utilisent au quotidien. « Les toilettes sont-elles la raison pour laquelle les femmes japonaises ne peuvent pas briller ? », s’est interrogé un internaute sur Twitter. Un autre d’ajouter : « le gouvernement se trompe de sujet. Il devrait plutôt travailler sur des questions comme le nombre insuffisant de crèches. »

Près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel

Qu’importe, les fonctionnaires ont épluché près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel avant d’élire une vingtaine de municipalités et entreprises qui ont su se distinguer des autres par la propreté, la sécurité et le confort de leurs lieux d’aisance.

Parmi les gagnants, figurent des sociétés ayant créé des toilettes de fortune sûres pour femmes et enfants après le désastre provoqué par le violent tremblement de terre de mars 2011 et le tsunami qui a suivi, mais aussi les toilettes impeccables de l’aéroport Haneda de Tokyo ainsi que les organisateurs d’un festival dont le thème était les toilettes. D’autres ont été primés pour avoir rendu les WC plus attrayants pour la gent féminine en y aménageant des espaces d’allaitement et en réduisant le temps d’attente.

« Des toilettes agréables encourageront la promotion des femmes »

Certains pourraient ici utiliser fort à propos l’expression « goût de chiottes ». Pourquoi ? Parce que le Japon vient de créer un drôle de prix, celui des toilettes, présenté de façon hasardeuse mais convaincue par le gouvernement comme la récompense de l’importante contribution au progrès de la condition féminine qu’apportent des commodités irréprochables.

D’emblée, l’initiative du Premier ministre conservateur Shinzo Abe a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux, beaucoup de Japonais se montrant sceptiques quant à la portée d’une telle récompense. D’autres ont moqué le lien établi par le gouvernement entre l’accès des femmes aux responsabilités et la qualité des toilettes publiques qu’elles utilisent au quotidien. « Les toilettes sont-elles la raison pour laquelle les femmes japonaises ne peuvent pas briller ? », s’est interrogé un internaute sur Twitter. Un autre d’ajouter : « le gouvernement se trompe de sujet. Il devrait plutôt travailler sur des questions comme le nombre insuffisant de crèches. »

Près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel

Qu’importe, les fonctionnaires ont épluché près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel avant d’élire une vingtaine de municipalités et entreprises qui ont su se distinguer des autres par la propreté, la sécurité et le confort de leurs lieux d’aisance.

Parmi les gagnants, figurent des sociétés ayant créé des toilettes de fortune sûres pour femmes et enfants après le désastre provoqué par le violent tremblement de terre de mars 2011 et le tsunami qui a suivi, mais aussi les toilettes impeccables de l’aéroport Haneda de Tokyo ainsi que les organisateurs d’un festival dont le thème était les toilettes. D’autres ont été primés pour avoir rendu les WC plus attrayants pour la gent féminine en y aménageant des espaces d’allaitement et en réduisant le temps d’attente.

« Des toilettes agréables encourageront la promotion des femmes »

Certains pourraient ici utiliser fort à propos l’expression « goût de chiottes ». Pourquoi ? Parce que le Japon vient de créer un drôle de prix, celui des toilettes, présenté de façon hasardeuse mais convaincue par le gouvernement comme la récompense de l’importante contribution au progrès de la condition féminine qu’apportent des commodités irréprochables.

D’emblée, l’initiative du Premier ministre conservateur Shinzo Abe a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux, beaucoup de Japonais se montrant sceptiques quant à la portée d’une telle récompense. D’autres ont moqué le lien établi par le gouvernement entre l’accès des femmes aux responsabilités et la qualité des toilettes publiques qu’elles utilisent au quotidien. « Les toilettes sont-elles la raison pour laquelle les femmes japonaises ne peuvent pas briller ? », s’est interrogé un internaute sur Twitter. Un autre d’ajouter : « le gouvernement se trompe de sujet. Il devrait plutôt travailler sur des questions comme le nombre insuffisant de crèches. »

Près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel

Qu’importe, les fonctionnaires ont épluché près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel avant d’élire une vingtaine de municipalités et entreprises qui ont su se distinguer des autres par la propreté, la sécurité et le confort de leurs lieux d’aisance.

Parmi les gagnants, figurent des sociétés ayant créé des toilettes de fortune sûres pour femmes et enfants après le désastre provoqué par le violent tremblement de terre de mars 2011 et le tsunami qui a suivi, mais aussi les toilettes impeccables de l’aéroport Haneda de Tokyo ainsi que les organisateurs d’un festival dont le thème était les toilettes. D’autres ont été primés pour avoir rendu les WC plus attrayants pour la gent féminine en y aménageant des espaces d’allaitement et en réduisant le temps d’attente.

« Des toilettes agréables encourageront la promotion des femmes »

Certains pourraient ici utiliser fort à propos l’expression « goût de chiottes ». Pourquoi ? Parce que le Japon vient de créer un drôle de prix, celui des toilettes, présenté de façon hasardeuse mais convaincue par le gouvernement comme la récompense de l’importante contribution au progrès de la condition féminine qu’apportent des commodités irréprochables.

D’emblée, l’initiative du Premier ministre conservateur Shinzo Abe a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux, beaucoup de Japonais se montrant sceptiques quant à la portée d’une telle récompense. D’autres ont moqué le lien établi par le gouvernement entre l’accès des femmes aux responsabilités et la qualité des toilettes publiques qu’elles utilisent au quotidien. « Les toilettes sont-elles la raison pour laquelle les femmes japonaises ne peuvent pas briller ? », s’est interrogé un internaute sur Twitter. Un autre d’ajouter : « le gouvernement se trompe de sujet. Il devrait plutôt travailler sur des questions comme le nombre insuffisant de crèches. »

Près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel

Qu’importe, les fonctionnaires ont épluché près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel avant d’élire une vingtaine de municipalités et entreprises qui ont su se distinguer des autres par la propreté, la sécurité et le confort de leurs lieux d’aisance.

Parmi les gagnants, figurent des sociétés ayant créé des toilettes de fortune sûres pour femmes et enfants après le désastre provoqué par le violent tremblement de terre de mars 2011 et le tsunami qui a suivi, mais aussi les toilettes impeccables de l’aéroport Haneda de Tokyo ainsi que les organisateurs d’un festival dont le thème était les toilettes. D’autres ont été primés pour avoir rendu les WC plus attrayants pour la gent féminine en y aménageant des espaces d’allaitement et en réduisant le temps d’attente.

« Des toilettes agréables encourageront la promotion des femmes »

Certains pourraient ici utiliser fort à propos l’expression « goût de chiottes ». Pourquoi ? Parce que le Japon vient de créer un drôle de prix, celui des toilettes, présenté de façon hasardeuse mais convaincue par le gouvernement comme la récompense de l’importante contribution au progrès de la condition féminine qu’apportent des commodités irréprochables.

D’emblée, l’initiative du Premier ministre conservateur Shinzo Abe a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux, beaucoup de Japonais se montrant sceptiques quant à la portée d’une telle récompense. D’autres ont moqué le lien établi par le gouvernement entre l’accès des femmes aux responsabilités et la qualité des toilettes publiques qu’elles utilisent au quotidien. « Les toilettes sont-elles la raison pour laquelle les femmes japonaises ne peuvent pas briller ? », s’est interrogé un internaute sur Twitter. Un autre d’ajouter : « le gouvernement se trompe de sujet. Il devrait plutôt travailler sur des questions comme le nombre insuffisant de crèches. »

Près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel

Qu’importe, les fonctionnaires ont épluché près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel avant d’élire une vingtaine de municipalités et entreprises qui ont su se distinguer des autres par la propreté, la sécurité et le confort de leurs lieux d’aisance.

Parmi les gagnants, figurent des sociétés ayant créé des toilettes de fortune sûres pour femmes et enfants après le désastre provoqué par le violent tremblement de terre de mars 2011 et le tsunami qui a suivi, mais aussi les toilettes impeccables de l’aéroport Haneda de Tokyo ainsi que les organisateurs d’un festival dont le thème était les toilettes. D’autres ont été primés pour avoir rendu les WC plus attrayants pour la gent féminine en y aménageant des espaces d’allaitement et en réduisant le temps d’attente.

« Des toilettes agréables encourageront la promotion des femmes »

Certains pourraient ici utiliser fort à propos l’expression « goût de chiottes ». Pourquoi ? Parce que le Japon vient de créer un drôle de prix, celui des toilettes, présenté de façon hasardeuse mais convaincue par le gouvernement comme la récompense de l’importante contribution au progrès de la condition féminine qu’apportent des commodités irréprochables.

D’emblée, l’initiative du Premier ministre conservateur Shinzo Abe a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux, beaucoup de Japonais se montrant sceptiques quant à la portée d’une telle récompense. D’autres ont moqué le lien établi par le gouvernement entre l’accès des femmes aux responsabilités et la qualité des toilettes publiques qu’elles utilisent au quotidien. « Les toilettes sont-elles la raison pour laquelle les femmes japonaises ne peuvent pas briller ? », s’est interrogé un internaute sur Twitter. Un autre d’ajouter : « le gouvernement se trompe de sujet. Il devrait plutôt travailler sur des questions comme le nombre insuffisant de crèches. »

Près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel

Qu’importe, les fonctionnaires ont épluché près de 400 candidatures provenant de tout l’archipel avant d’élire une vingtaine de municipalités et entreprises qui ont su se distinguer des autres par la propreté, la sécurité et le confort de leurs lieux d’aisance.

Parmi les gagnants, figurent des sociétés ayant créé des toilettes de fortune sûres pour femmes et enfants après le désastre provoqué par le violent tremblement de terre de mars 2011 et le tsunami qui a suivi, mais aussi les toilettes impeccables de l’aéroport Haneda de Tokyo ainsi que les organisateurs d’un festival dont le thème était les toilettes. D’autres ont été primés pour avoir rendu les WC plus attrayants pour la gent féminine en y aménageant des espaces d’allaitement et en réduisant le temps d’attente.

« Des toilettes agréables encourageront la promotion des femmes »

« La qualité des toilettes publiques et une hygiène sans faille sont un élément clé du progrès social », a expliqué la ministre de la Condition féminine Haruko Arimura. « Des toilettes agréables amélioreront la qualité de la vie quotidienne et encourageront la promotion des femmes », a également assuré la ministre à l’occasion de la cérémonie de remise des trophées à la fin de la semaine dernière.

Alors que le Japon a un des taux d’emploi des femmes les plus bas du monde développé, Shinzo Abe a fait de la promotion des femmes un pilier de sa stratégie de relance baptisée « abenomics ». Selon lui, l’emploi féminin pourrait enrayer le déclin de la main-d’œuvre et encourager la croissance dans ce pays vieillissant.

« La qualité des toilettes publiques et une hygiène sans faille sont un élément clé du progrès social », a expliqué la ministre de la Condition féminine Haruko Arimura. « Des toilettes agréables amélioreront la qualité de la vie quotidienne et encourageront la promotion des femmes », a également assuré la ministre à l’occasion de la cérémonie de remise des trophées à la fin de la semaine dernière.

Alors que le Japon a un des taux d’emploi des femmes les plus bas du monde développé, Shinzo Abe a fait de la promotion des femmes un pilier de sa stratégie de relance baptisée « abenomics ». Selon lui, l’emploi féminin pourrait enrayer le déclin de la main-d’œuvre et encourager la croissance dans ce pays vieillissant.