Présidentielle 2022 : Revivez le grand oral des huit principaux candidats avec nous...
URNES Revivez avec nous cette journée du lundi 14 mars dans la campagne électorale présidentielle
- D’après un sondage Ipsos pour Le Parisien et France Info ce dimanche, Emmanuel Macron est à 30,5 %, suivi par la candidate RN Marine Le Pen avec 16 %. Suivent Eric Zemmour (13,5 %), Jean-Luc Mélenchon (12 %) puis Valérie Pécresse (11 %).
- Marine Le Pen et Valérie Pécresse vont détailler leur programme respectif ce lundi.
- Ce lundi soir, TF1 organise une soirée électorale. 8 candidats viendront répondre tour à tour à des questions, essentiellement centrées sur l’Ukraine. Il s’agit de la première apparition télé du candidat Macron.
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« Je veux m’adresser aux jeunes, dit l’écologiste. Emparez-vous de cette campagne, le ne vous laissez pas déposséder de votre avenir, de votre destin. »
« Le monde est en attente d’un pays qui lance ce signal : ne laissez pas tout se transformer en marchandise. Dans notre pays comme ailleurs, le marché c’est le chaos ! »
Petit tacle à Emmanuel Macron de la part d’Anne Hidalgo pour conclure. « Moi je vous propose un chemin avec la gauche républicaine laïque. (…) Cette gauche qui est capable de tirer les leçons de ses erreurs. »
Eric Zemmour patine un peu sur sa conclusion mais affirme sa différence, lui qui n’est pas un « politicien professionnel ».
« Je porte un projet de franche rupture avec ses 5 années d’immobilisme », dit Valérie Pécresse. « Mon projet est puissament réformateur. »
« Pour les cinq années qui viennent il nous faut avoir beaucoup d’ambition pour notre pays » : la soirée du grand filet d’eau tiède pour le président candidat.
Là aussi, une conclusion classique.
J’ai bien peur que les autres aussi évitent la confrontation, même à distance, et se servent de ces deux dernières minutes comme une simple conclusion.
Place aux « droits de réponse » des candidats et candidates. Deux minutes chacun et chacune.
« Les travailleurs ont le droit aux jours heureux », dit le candidat communiste. Et 55 ans pour les métiers pénibles.
Il veut mettre en débat une autre construction de la sécurité collective de l’Europe. La sortie de l’Otan est quand même une demande historique du Parti communiste français…
« Je pense aux autres peuples d’Europe qui sont complètement dépendants », dit Fabien Roussel qui veut faire attention que « la guerre ne soit pas aussi dans le porte-monnaie des Français ».
« Evidemment en tenant compte des personnes qui ont des travaux pénibles ou qui ont commencé très jeunes. » Par ailleurs, le candidat veut « que les entreprises perdent la mauvaise habitude de renvoyer les plus de 50 ans », via un système de bonus-malus mais sur lequel il est passé vraiment très rapidement.
Je crois que ça fait trois ou quatre fois qu’ERic Zemmour commence ses réponses sur la guerre en Ukraine par cette phrase, ce n’est pas hyper bon signe sur le message qu’il a réussi, ou pas, à faire passer jusque-là.
Eric Zemmour veut augmenter le budget militaire français. « Nous devons avoir une autonomie de défense », et donc Eric Zemmour veut sortir du commandement intégré de l’Otan. « Mais nous ne serons jamais seuls », rassure-t-il.
Eric Zemmour un brin agacé par une question sur la responsabilité de l’Otan dans la crise actuelle.
C’est ainsi qu’Eric Zemmour défend son désir d’une « Poutine français », Poutine est donc un « patriote russe ». C'est clair ? (Non)
Et c’est l’ancien journaliste qui rentre donc sur le ring.
« Si vous votez pour moi vous vous épargnez des grèves et des manifestations. »
« Maintenant tout le monde a compris que les réacteurs nucléaires en Ukraine c’est dangereux !, affirme Mélenchon. Le nucléaire civil est dangereux sur le plan militaire. (…) On parle de choses extrêmement graves, extrêmement sérieuses. »
Il mise sur un rapprochement avec l’Inde et la Chine pour cela. Et une nouvelle fois il dit ouvertement se placer quasiment dans le sillage d’Emmanuel Macron, étonnante stratégie de Jean-Luc Mélenchon.
Etonnamment, Jean-Luc Mélenchon se range sur la position d’Emmanuel Macron sur son avis sur Vladimir Poutine. Il veut déployer des casques bleus de l’ONU autour des centrales nucléaire ukrainiennes.
Le candidat insousmis ne veut pas de l’entrée de l’Ukraine et de la Géorgie dans l’Otan, il estime que c’est une ligne rouge pour la Russie « que ça nous plaise ou pas ».
Drôle d’entretien pour Emmanuel Macron, si vous voulez mon avis.
Visiblement il se réserve pour la présentation de son programme de jeudi, mais enfin TF1 en prime time c’était une belle tribune pour lancer quelque chose non ?
Notamment le triplement du plafond de la « prime Macron » née après la crise des « gilets jaunes ». Mais ça ne concerne les entreprises qui veulent ou peuvent jouer le jeu.
Emmanuel Macron défend et rappelle tout ce que le gouvernement a fait sur le pouvoir d’achat depuis plusieurs mois. Mais pour l’instant ça ressemble beaucoup plus à une interview présidentielle de bilan qu’à une interview de candidat.
Non, Emmanuel Macron n’a pas changé d’avis sur le nucléaire en annonçant la construction de 14 réacteurs après avoir annoncé la fermeture de 14 en 2017. « Dès 2018 on a annoncé qu’on reposait l’engagement de réduire à 50 % la part du nucléaire », explique Macron, qui ne répond pas vraiment à la question.
Le président candidat défend l’accueil des réfugiés ukrainiens, "au moins 100.000".
Bon en fait il défend son « bilan » sur le plan de la guerre en Ukraine. Est-ce qu’il va devenir candidat d’ici la fin de l’entretien ?
Emmanuel Macron passe quand même beaucoup de temps à « défendre » ou accommoder Vladimir Poutine sur ce ring de TF1, mais « sans naïveté ».
Le président a été visiblement surpris par la question « dans ma position je n’ai pas à le qualifier ». Bon Joe Biden l’a fait y’a déjà des mois.
Emmanuel Macron défend sa position de continuer à discuter avec Vladimir Poutine.
« Je veux remettre les critères de pénibilité qui ont été supprimés par Emmanuel Macron », annonce Jadot. Par ailleurs, à partir de 2 millions d’euros de patrimoines c’est le retour de l’ISF sous une mandature écolo.
(Le grand parce qu’il est très en grand en taille, hein)
« L’obsession est du côté de ceux qui veulent maintenir le nucléaire », dit Jadot, qui pense être du côté de la responsabilité face aux centrales qui vieillissent. Il veut mettre 20 ans ou 25 ans s’il faut pour sortir du nucléaire. « C’est la vraie indépendance » les énergies renouvelables.
Le candidat écolo fait le parallèle avec les Anglais et Américains qui ont armé la résistance française, et le Front populaire qui aurait dû armer les républicains espagnols en 1936.
« Oui, il faudra dire aux Français la vérité, il faudra travailler jusqu’à 65 ans, sauf quand on a commencé tôt », annonce Valérie Pécresse. Et elle baissera les impots des Français.
Sur Twitter, on se moque du fait que Valérie Pécresse bouge beaucoup.
« Sans le nucléaire on n’y arrivera pas. Je veux un plan de relance gaullien du nucléaire. »
Mais pas des étrangers de passage en Ukraine. Sans doute parce que les bombes n’ont pas d’effet sur eux…
Elle veut que les demandes d’adhésions à l’UE suivent le processus habituel.
La candidate LR dit qu’elle n’aurait pas vraiment évité la guerre en tant que présidente mais bon y’a quand même « des gens qui l’avaient prévu ». Moi j’ai pas compris.
Le choix de Valérie, c’est d’être debout.
« 200 à 300 euros en moyenne », dit la députée d’Hénin-Beaumont. Elle répète sa promesse d’exonération de l’impôt sur le revenu pour les moins de 30 ans.
La candidate RN pense que cette perspective fera baisser les prix, les journalistes sont dubitatifs.
Marine Le Pen veut largement relancer le programme nucléaire français, et même pourquoi pas relancer Fessenheim, qui a récemment été fermée. L’avantage c’est que c’est une énergie a bas coût, dit-elle. Elle veut aussi geler tous les projets d’éoliennes.
La France a rejoint le commandement intégré en 2008, après quarante ans passés hors de cette instance, tout en étant dans l’Otan.
Des émeutes qui mèneraient d’après elle peut-être à des flux migratoires ! L’immigration n’est jamais loin bien sûr.
Marine Le Pen conteste le bien-fondé des sanctions européennes contre la Russie.
« Je suis cohérente, j’avais déjà condamné l’invasion de l’Irak par les Etats-Unis. »
Anne Hidalgo ne veut pas d’un âge légal de départ à la retraite retardé à 65 ans. Par ailleurs la socialiste ne veut pas augmenter les impôts des Français.
Anne Hidalgo favorable à un impôt européen de guerre sur les profits des entreprises.
Curieuse de voir si un ou une candidate va choisir de s’asseoir.
« Bien sur je suis pour la paix mais la paix ne peut pas se faire au profit des oppresseurs. » La maire de Paris était interrogée sur les fortes attaques qu’elle a lancées contre Jean-Luc Mélenchon sur le thème de son soutien à la Russie avant la guerre.
La candidate socialiste propose de passer la TVA sur les carburants à 5,5 % et un prix maximum du litre, pour faire face à la flambée du prix des énergies lié à la guerre en Ukraine.
Un mot du plateau qui fait très ring de boxe. Surtout quand les candidats et candidates restent debout.
« Oui, ça peut changer. Vous avez ce pouvoir de reprendre le pouvoir, notamment à la finance. »
« Pendant cinq ans les plus riches se sont scandaleusement enrichis et les plus fragiles font face à l’explosion des prix. Alors oui il est temps de faire face, de changer et d’agir. »
Le candidat insoumis égrène déjà ses propositions… Très largement au-delà de la guerre. « Je me présente devant vous avec un programme complet et chiffré. »
« Je ne suis pas un politicien professionnel, je ne vous trahirais jamais. » Rappelons quand même que le « grand remplacement » est une théorie conspirationniste.
« Pour mener ce projet et faire ces réformes si longtemps différées il faudra du courage ce courage je l’ai. »
« Nous devons faire bloc pour que les dictatures ne gagnent jamais contre les démocraties »
« Devant tous ces risques, la guerre qui vient en Europe, la crise climatique et tant d’autres, nous pouvons les surmonter si nous restons unis et si nous menons les réformes qui rendront la France plus indépendante. »
Marine Le Pen axe sa première prise de parole sur le pouvoir d’achat et les augmentations de prix à cause de la guerre.
Chaque candidat et candidate va en fait passer trois fois : une fois pour son intro, une autre pour sa conclusion, et au milieu bien sûr l’interview, avec Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray.
On l’a dit donc ce soir y’a un vrai-faux débat : pas d’interaction, des entretiens qui se succèdent… Mais pourquoi ? Eh bien parce qu’Emmanuel Macron ne le veut pas. Je revenais sur cette décision la semaine dernière.
Marine Le Pen découvre le plateau de l’émission de ce soir.
Nicolas Dupont-Aignan ne sera pas du débat de ce soir, mais sa journée fut riche. Il a annoncé le ralliement de Florian Philippot, mon collègue Thibaut Le Gal y était.
Sachez qu’il n’y aura pas de photo de groupe des candidats et candidates ce soir lors du « débat » de TF1-LCI.
Ce soir les huit candidates et candidats invités seront interrogés à tour de rôle sur un seul thème : « la France face à la guerre ». Alors certes, c’est un thème assez large pour qu’on puisse aborder des questions économiques mais voilà, c’est limité. D’autant plus que les challengers n’auront droit au mieux qu’à un quart d’heure. Un peu moins pour Jadot, Roussel et Hidalgo. Un peu plus pour Emmanuel Macron. Pourquoi ? Parce que nous ne sommes pas encore dans la période d’égalité stricte des temps de parole, ça comment dans deux semaines.
Avez-vous vu la dernière livraison des photos d’Emmanuel-Macron-chef-de-guerre ? Les voici ! Après la version président soucieux, peu après le début de la guerre, voici la version hoodie et barbe de trois jours. Est-ce qu’il se la joue Zelensky ? C’est évidemment signé Soazig de la Moissonnière, la photographie officielle d’Emmanuel Macron depuis 2016.
Pour rappel, ce soir à 20h20 a lieu sur TF1 et LCI le premier grand débat de la campagne présidentielle. Alors oui, il n’y aura pas de confrontation entre les candidats et candidates, qui passeront toutes chacune leur tour. Mais on sera là pour vous liver la soirée ! Hut des douze candidats et candidates seront de la partie : Philippe Poutou, Jean Lassale, Nathalie Arthaud et Nicolas Dupont-Aignan n’ont pas été invités.
Le président sortant est à 31 % des intentions de vote au premier tour de la présidentielle, loin devant Marine Le Pen (18 %) et un trio Zemmour (13 %), Mélenchon (11,5 %) et Pécresse (11 %), selon un sondage « rolling » Ifop-Fiducial pour Paris Match, LCI et Sud Radio.
L’exemplarité des responsables politiques arrive en tête des priorités des Français, très loin devant la sécurité et l’immigration, selon les résultats, publiés lundi, d’une vaste consultation menée par France Bleu et la plateforme Make.org, en partenariat avec France 3.
Le candidat sera à 19h30 sur C8 dans l'émission TPMP
Emmanuel Macron figure en tête des recherches pour les candidats à l’élection présidentielle, devant Eric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon, sur le moteur de recherche Google, YouTube et Google Actualités, en France, ce lundi.
A la peine dans le sondages, Valérie Pécresse (LR) a officiellement présenté lundi son projet présidentiel « de rupture » et de « reconstruction », le présentant comme le seul « crédible » face à Emmanuel Macron. A quatre semaines du premier tour de la présidentielle, la candidate LR a défendu un « projet de droite républicaine », sans grande mesure nouvelle, mais promettant « une reconstruction plus juste avec quatre engagements » sur la puissance du pays, l'autorité, la prospérité durable et le pacte social.
A 14 heures, le candidat LFI participera à une marche « pour la 6e République et le partage des richesses ». Le départ se fera place de la Bastille pour une arrivée à la place de la république ou le candidat prendra la parole.
La candidate RN a annoncé en conférence de presse « une révolution hydrogène afin de se libérer totalement du gaz et de nombreux usages du pétrole ».
Concernant le nucléaire, Marine Le Pen prévoit de rouvrir la centrale de Fessenheim, le lancement de cinq paires d’EPR pour « une livraison d’ici 2031 », ainsi que l’installation de SMR. (Retrouvez juste ici notre article explicatif sur les fameux EPR2)
« Parallèlement, nous renforcerons la production hydroélectrique et encouragerons la géothermie, a affirmé la candidate RN, précisant que » tous les projets éoliens en cours et les subventions seront stoppés. Les machines seront progressivement démantelées à la charge des installateurs."
Le porte-parole du candidat PCF à la présidentielle Fabien Roussel, a assuré qu’il voterait pour le candidat de gauche, y compris Jean-Luc Mélenchon (LFI), si le second tour opposait ce dernier à Emmanuel Macron.
Pour l’ONG écologiste Greenpeace, le candidat NPA « fait partie des rares candidats qui ont compris que la crise climatique est le résultat d’un problème systémique et économique ».
La candidate RN tiendra une conférence de presse aujourd’hui à 11h30 durant laquelle elle parlera de « l’énergie, enjeu de souveraineté et de pouvoir d’achat ».
Le porte-parole du parti d’extrême droite Reconquête, Guillaume Peltier, a estimé que Valérie Pécresse « rêve d’être ministre d’Emmanuel Macron ». Alors que la candidate de la droite est au coude à coude dans les sondages avec son candidat Eric Zemmour, il a assuré qu’il s’agissait d’une « candidate centriste ». « Elle a quitté Les Républicains en 2019 parce qu’elle estimait que Laurent Wauquiez et moi nous étions trop à droite (…) elle fait une campagne 'plus à droite que moi tu meurs' mais personne ne la croit », a-t-il tancé.
Le président du conseil régional des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a taclé Emmanuel Macron ce lundi matin sur France 2. « Qu’est-ce qui l’empêche de faire des débats ? Il sait faire des visios et des réunions avec ses parlementaires et il ne trouve l’occasion de faire en quatre semaines, quatre fois un débat démocratique d’une heure ? », s’est interrogé le membre des Républicains pour qui le président veut « éviter cette confrontation ». « Il faut qu’il y ait un débat », assène-t-il.
Interrogée sur France Info, la candidate socialiste Anne Hidalgo a assuré qu’elle se « battait » pour être au second tour. D’après un sondage Ipsos, elle n’est créditée que de 2,5 % des voix. Toutefois, « beaucoup de Françaises et de Français n’ont pas encore fait leur choix, beaucoup de Françaises et de Français attendent de savoir ce que proposent les uns et les autres, en dehors du bruit et de la fureur », a-t-elle assuré, ajoutant être « la représentante de la gauche de gouvernement, républicaine ».
Ian Brossat, porte-parole du candidat PCF à la présidentielle Fabien Roussel, a assuré lundi qu’il voterait pour le candidat de gauche, y compris Jean-Luc Mélenchon (LFI), dans un deuxième tour opposant ce dernier à Emmanuel Macron.
Interrogé sur France Info pour savoir pour qui il voterait en cas de second tour Mélenchon/Macron, il a répondu qu’il « voterait pour n’importe quel candidat de gauche face à Emmanuel Macron ». « C’est extrêmement clair, et je souhaite évidemment que Jean-Luc Mélenchon s’engage à l’inverse, à savoir qu’il voterait pour Fabien Roussel face à Emmanuel Macron », a souligné Ian Brossat.
Interrogée sur France Info, la candidate socialiste à l’élection présidentielle Anne Hidalgo, a estimé qu’il fallait « aller jusqu’à l’embargo » du gaz russe. « Les sanctions économiques devraient aller encore plus loin », a-t-elle estimé. « Continuer à payer du gaz russe, c’est finalement payer les armes de Poutine », a fustigé Anne Hidalgo.
D’après le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger, interrogé par Europe 1 ce lundi matin, la baisse de 15 centimes des prix à la pompe n’est pas suffisamment « ciblée », à destination des ménages « les plus modestes ». « On ne vit pas tous la même pression de la hausse du prix de l’énergie selon nos revenus et selon qu’on ait besoin de se déplacer pour son travail », a-t-il expliqué.
D’après Louis Aliot, maire Rassemblement National de Perpignan, quand Emmanuel Macron s’exprime sur l’Ukraine, « c’est la voix des Américains qui s’exprime ». « Je ne pense pas que l’Union Européenne pèse », a-t-il estimé sur CNews ce lundi matin.
Cinq candidates et candidats à la présidentielle ont exposé dimanche leurs solutions, très différentes, pour que la France respecte ses engagements sur le climat, lors d’un grand oral organisé par des ONG sur la plateforme Twitch. On vous raconte leurs propositions dans notre papier Faux débat et vraies propositions des candidats sur l'écologie
La candidate Les Républicains à la présidentielle, Valérie Pécresse, doit donner une conférence de presse sur son programme ce lundi.
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin se rendra en Corse mercredi et jeudi pour « ouvrir » un « cycle de discussions » avec « l’ensemble des élus et des forces vives de l’île », a-t-il annoncé lundi dans un communiqué transmis à l’AFP.
Le gouvernement a « entendu les demandes des élus de Corse sur l’avenir institutionnel, économique, social ou culturel » de la Corse, ajoute le ministre, en condamnant les violences de ces derniers jours et en appelant à un « retour au calme sans délai ».
Restez avec nous toute cette journée du jeudi 10 mars et retrouvez ce qu'on fait les candidats, ce qu'ils ont dit et tout ce qui a un rapport de près ou de loin avec la campagne présidentielle.