De la crise économique à la crise de la zone euro

ÉCONOMIE u comment les événements se sont enchaînés depuis la faillite de Lehman Brothers au plan de sauvetage de l’UE.

Elsa Meyer
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Le cortège d'une manifestation à Athènes en Grèce lors de la grève générale du 5 mai 2010 pour protester contre le plan de rigueur en raison de la crise financière.
Le cortège d'une manifestation à Athènes en Grèce lors de la grève générale du 5 mai 2010 pour protester contre le plan de rigueur en raison de la crise financière. — AFP

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

la faillite de la banque Lehman Brothers

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

Dettes et déficits publics explosent

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

révèle la situation catastrophiques

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

les agences de notation dégradent la note

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

savoir s'il faut ou non aider la Grèce

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

l'Allemagne, notamment, refuse

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

l'UE se met enfin d'accord

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Athènes active finalement le mécanisme

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

des plans de rigueur

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

la monnaie unique sont toujours sous pression

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

une reprise économique déjà très fragile

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.


Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

des propositions dans ce sens

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.

pas du tout l'unanimité

Automne 2008 – Fin 2009

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers affole les marchés. La crise financière américaine s'aggrave et se propage à toute la planète. Les pays européens entrent en récession.

Pour en atténuer les effets, tous se lancent dans de gigantesques plans de relance. Dettes et déficits publics explosent en Europe.

Novembre - décembre 2009

La Grèce révèle la situation catastrophiques de ses finances publiques: au lieu des 3,7% annoncés jusque là, le déficit est prévu à 12,7% du PIB en 2009 et la dette à 113,4%.

Face à ces chiffres jusqu'ici dissimulés, les agences de notation dégradent la note de la dette grecque. Inquiets sur la capacité du pays à rembourser ce qu'il doit, les marchés augmentent les taux auxquels la Grèce peut emprunter de l'argent.

Janvier – 26 Avril 2010

L'UE tergiverse pour savoir s'il faut ou non aider la Grèce. Si une majorité de pays est pour, l'Allemagne, notamment, refuse. Elle souhaite une intervention du Fonds monétaire international (FMI) et un plan d'austérité du gouvernement grec.

Face au risque de contagion de la crise à toute la zone euro, l'UE se met enfin d'accord fin mars sur un plan d'aide, avec le FMI, si la Grèce en fait la demande. Mais les 27 restent flous sur le montant du dispositif.

Athènes active finalement le mécanisme fin avril. L'UE et le FMI s'engagent à lui prêter jusqu'à 110 milliards d'euros en trois ans, en échange d'un plan de rigueur radical.

Avril – 10 Mai 2010

Mais rien n'y fait, les Bourses mondiales s'affolent et l'euro dégringole. Les marchés craignent que la Grèce soit incapable de mener sa cure d'austérité face à la grogne sociale.

Et les investisseurs s'inquiètent surtout de la situation des finances publiques d'autres pays fragiles, les fameux PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne).

Le 10 mai, l'UE annonce un plan de sauvetage de 750 milliards d'euros, en partenariat avec le FMI, pour aider les pays de la zone euro qui en feraient la demande. L'ensemble des Etats européens promettent des plans de rigueur pour assainir leurs comptes.

Le lendemain, les marchés financiers saluent cette décision historique.

Depuis le 10 mai 2010

L'euphorie est cependant de courte durée. Les Bourses mondiales et la monnaie unique sont toujours sous pression.

Les marchés craignent à présent que les cures d'austérité mettent à mal une reprise économique déjà très fragile en Europe. Et les dissensions entre les pays posent la question, à plus long terme, de l'avenir de la zone euro.

Bruxelles et les gouvernements européens ont multiplié ces derniers jours les prises de positions communes. Tous assurent vouloir durcir les règles budgétaires pour empêcher une nouvelle envolée des comptes.

La Commission européenne a fait des propositions dans ce sens la semaine dernière. L'Allemagne veut aller plus loin mais ses initiatives ne font pas du tout l'unanimité.