Enquête: Bordeaux en tête des villes où les Français aimeraient vivre dans l'idéal

SONDAGE La capitale de l'Aquitaine devance Montpellier, Nantes et Toulouse...

Mickaël Bosredon
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Bordeaux, 27 juin 2011. - Le Miroir d'eau a Bordeaux. - Photo : Sebastien Ortola
Bordeaux, 27 juin 2011. - Le Miroir d'eau a Bordeaux. - Photo : Sebastien Ortola — S. ORTOLA / 20 MINUTES

L'Observatoire du bonheur publie ce lundi sa septième étude sur le thème « bonheur et urbanisme. » Dévoilés dans Le Parisien, les résultats de l'enquête CSA a questionné des Français sur la ville dans laquelle ils aimeraient vivre « dans l'idéal. »

Bordeaux arrive assez largement en tête, avec 19% des voix. Elle devance Montpellier (15%), Nantes et Toulouse (ex-aequo avec 12%).

Le bonheur est à #Bordeaux selon dernière enquête devant #Montpellier, #Nantes et #Toulouse. http://t.co/gplx0CdB7f pic.twitter.com/uWs3yP9EGy
— Bordeaux Tourisme (@BordeauxTourism) June 29, 2015

« Ce sont des villes proches du littoral, où le climat est agréable, la vie réputée douce et dynamique », analyse Jean-Pierre Ternaux, neurobiologiste et coordinateur de l’Observatoire du bonheur, très sérieux organisme financé par Coca-Cola, précise Le Parisien, pour étudier ce qui rend heureux les Français.

Les Français veulent la campagne à la ville

A la cinquième place on trouve Nice, Paris se classe sixième, avec à peine 10 % des voix, puis viennent Lyon (9%), Rennes (7%), Strasbourg (6%), Grenoble, Lille et Marseille (4%). L'étude montre par ailleurs que 80 % des Français qui vivent dans un centre urbain en sont heureux, mais 57 % préfèreraient vivre à la campagne. Ou plutôt que la campagne vienne à la ville, car ils ne souhaitent pas déménager dans une cité plus petite. « Les citoyens de 2015 veulent des commerces, des transports, des activités culturelles… et un potager sur leur toit. Ils ne sont pas prêts à partir faire du télétravail en Ardèche ! » commente encore Jean-Pierre Ternaux.

Parmi les critères mis en avant par les sondés, la proximité et la variété des commerces arrive en tête (47 %), devant les moyens de transport (32 %) puis la diversité des activités culturelles.