CRISEKim Kardashian et Jay-Z sont recalés du classement « Forbes »

Kim Kardashian et Jay-Z sont trop pauvres pour entrer dans le club des super riches de « Forbes »

CRISELe magazine distingue chaque année les 400 plus grandes fortunes américaines
Kim Kardashian et Jay-Z sont trop pauvres pour apparaître au classement Forbes 400
20 Minutes avec agences

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La crise n’épargne personne ! Preuve en est, rien ne va plus pour Kim Kardashian, Jay-Z ou encore le PDG d’Apple, Tim Cook, qui ne sont pas assez riches pour entrer dans le classement Forbes des 400 plus grandes fortunes américaines. Pourtant, vous dites-vous sans doute, tous les trois sont milliardaires.

Oui, ils le sont. La fortune de Jay-Z est estimée à 2,5 milliards, celle de Kim Kardashian à 1,5 milliard de dollars. Quant à Tim Cook, il pèse à lui tout seul 1,8 milliard de dollars. Et ils ne sont pas les seuls milliardaires dans le désarroi. Donald Trump disparaît du classement car sa fortune ne vaut plus que 2,6 milliards de dollars. La papesse des médias américains, Oprah Winfrey, a également été évincée avec ses 2,8 milliards de dollars. Ces chiffres vous donnent le tournis ? Eh bien sachez que ce n’est tout simplement pas assez pour être parmi les 400 plus riches Américains…

Tout augmente

Comme l’explique Forbes, en cette année 2023 où l’inflation appauvrit un peu plus les précaires et les classes moyennes, chez les ultra-riches, il faut avoir au moins 2,9 milliards de dollars pour entrer dans le club des 400. Il est à noter que l’année dernière, on obtenait son sésame avec 2,7 milliards de dollars.

Comme quoi tout augmente. Et du côté des plus pauvres, c’est le nombre de personnes accueillies par les banques alimentaires. Les Restos du cœur ont fait savoir cette semaine, par l’intermédiaire de leur délégué général, Jean-Yves Troy, lors de son audition à l’Assemblée, qu’ils vont « devoir refuser du monde à partir de novembre », car ils n’ont pas la structure suffisante pour accueillir la demande en constante hausse malgré leurs efforts. Au début de l’année, le journal Les Echos notait que le nombre de personnes accueillies par les banques alimentaires avait été multiplié par trois en dix ans.

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