«Laura, y a tant d’hommes que je ne suis pas »… On a tous en tête le tube de Johnny Hallyday « à l’attention de sa fille. Sept ans après le décès du Taulier, Laura Smet livre de nouvelles confessions sur son géniteur et sur elle, au moment de son décès, dans un entretien accordé à nos confrères de Paris Match, en kiosque ce jeudi. 20 Minutes vous a sélectionné ses témoignages les plus touchants.

« Jusqu’à la fin de sa vie, il l’appelait »

Pour les plus jeunes lecteurs de ce papier, Laura Smet, née en 1983, est la fille de la comédienne Nathalie Baye et du rockeur Johnny Hallyday. Une histoire qui a fait les choux gras des médias de l’époque. « Il avait confiance en elle, confie Laura Smet à Paris Match. Et je pense qu’il l’aimait encore… ». Cette dernière assure notamment que Nathalie et Johnny étaient restés très proches après leur séparation, survenue en 1986.

« Jusqu’à la fin de sa vie, quand il n’était vraiment pas bien, il l’appelait, assure la fille du couple star des années 1980. Parce qu’elle lui disait la vérité, même s’il n’avait pas envie de l’entendre. Il était entouré de gens qui n’allaient que dans son sens. Parfois il avait besoin qu’on lui ouvre les yeux… ». Une phrase que Laeticia Hallyday, la dernière compagne du chanteur, appréciera.

« Je n’étais pas au courant pour Saint Barth »

Laura Smet s’est également confiée sur l’inhumation « surprise » de son père sur l’île de Saint-Barthélemy. « Je n’étais pas au courant pour l’inhumation à Saint Barth, je l’ai appris sur le moment […]. David {son frère, fils de Johnny Hallyday et de Sylvie Vartan] et moi étions estomaqués », témoigne-t-elle. Pour rappel, Laeticia Hallyday avait assuré que l’enterrement sur l’île était le seul désir de Johnny. « On a suivi le mouvement pour être avec lui jusqu’au bout. »

« J’étais à la masse »

Le 9 décembre 2017, la cérémonie de La Madeleine à Paris, a sonné comme un ultime hommage des Françaises et des Français pour sa star de la chanson. « Je n’ai rien compris à cette journée, reconnaît Laura Smet. J’étais complètement absente […]. Je me souviens d’avoir appelé un ami en lui disant : ''Je pense qu’il y aura quelques photographes. Peux-tu m’aider, parce que je n’arrive à rien ?'', c’est dire si j’étais à la masse ». Aujourd’hui, la jeune femme pense tous les jours à son père défunt. « Je vois plein de signes de sa part », conclut-elle. « Y a tant de phrases qu’on dit que je ne te dirai pas », chantait Johnny dans Laura. Sa fille, elle, n’hésite pas à dire ce qu’elle a sur le cœur.