« Madres paralelas » : Pedro Almodovar mise tout sur les femmes et tout sur les mères
MAMAN (S) Le réalisateur joue avec le temps et l’espace pour un drame complexe dans « Madres paralelas » en salle ce mercredi
- Deux femmes se rencontrent dans l’hôpital où elles accouchent.
- « Madres parelas » entremêle leurs histoires avec sensibilité.
- Pedro Almodovar brosse de beaux portraits de femmes en évoquant l’Histoire de l’Espagne.
Tout sur les mères : tel pourrait être le sous-titre de Madres Paralelas de Pedro Almodovar, découvert en ouverture de la Mostra de Venise. Le réalisateur espagnol retrouve Penélope Cruz et Rossy de Palma et révèle Milena Smit dans ce film qui jongle avec ses thèmes favoris. Les femmes sont, comme toujours, au centre d’un récit riche en péripéties dramatiques.
Histoire et émotions
Des secrets, il y en a beaucoup dans Madres paralelas et leur explosion est aussi douloureuse que salvatrice. Entre grossesse précoce et grossesse tardive, Pedro Almodovar brosse des portraits sensibles en plongeant dans la psychologie féminine mais aussi dans l’Histoire espagnole où la Guerre civile a provoqué des blessures profondes peinant à cicatriser. L’intelligence du récit emporte le public dans un film sobre et complexe, sans doute pas le plus flamboyant de son auteur, mais suffisamment solide pour être attachant. A 72 ans, le roi de la Movida n’a pas fini d’émouvoir.
Histoire et émotions
Des secrets, il y en a beaucoup dans Madres paralelas et leur explosion est aussi douloureuse que salvatrice. Entre grossesse précoce et grossesse tardive, Pedro Almodovar brosse des portraits sensibles en plongeant dans la psychologie féminine mais aussi dans l’Histoire espagnole où la Guerre civile a provoqué des blessures profondes peinant à cicatriser. L’intelligence du récit emporte le public dans un film sobre et complexe, sans doute pas le plus flamboyant de son auteur, mais suffisamment solide pour être attachant. A 72 ans, le roi de la Movida n’a pas fini d’émouvoir.
Histoire et émotions
Des secrets, il y en a beaucoup dans Madres paralelas et leur explosion est aussi douloureuse que salvatrice. Entre grossesse précoce et grossesse tardive, Pedro Almodovar brosse des portraits sensibles en plongeant dans la psychologie féminine mais aussi dans l’Histoire espagnole où la Guerre civile a provoqué des blessures profondes peinant à cicatriser. L’intelligence du récit emporte le public dans un film sobre et complexe, sans doute pas le plus flamboyant de son auteur, mais suffisamment solide pour être attachant. A 72 ans, le roi de la Movida n’a pas fini d’émouvoir.