Charlotte Gainsbourg est ravie de présenter son documentaire sur sa mère Jane Birkin au Festival de Cannes
JOIE Le projet est tourné depuis plusieurs années
Charlotte Gainsbourg est très heureuse que son documentaire soit présenté au Festival de Cannes. Sur Instagram, l’actrice et chanteuse a accueilli avec enthousiasme la nouvelle de sa sélection de Jane dans le cadre de la section Cannes Première. « Yahoo », a posté la star dans une story en légende d’une capture d’écran de l’annonce de la sélection.
Comme son titre l’indique, Jane est consacré à la mère de la comédienne, Jane Birkin. Un projet qu’elle a démarré il y a plusieurs années, comme elle l’expliquait récemment dans les pages de Libération.
« Le documentaire a pris forme de manière tellement hasardeuse et chaotique. Cela fait quatre ans que j’ai commencé à la filmer, puis j’ai arrêté parce que ça ne lui plaisait pas et je suis revenue à la charge. Mais après c’est moi qui allais mal, ça n’avait rien à voir avec elle, mais là, c’est elle qui m’a beaucoup aidée, et a été plus volontaire », a-t-elle confié.
Se retrouver
Dans Paris Match, Jane Birkin s’était elle aussi livrée sur ce projet qui l’a surprise. « Je n’avais jamais imaginé qu’elle soit si curieuse de moi. Je savais la grande place que Serge avait dans sa vie, ainsi que le deuil et la douleur qu’elle a vécus. Mais je ne pensais pas qu’elle voulait savoir tant de choses sur moi. (…) C’était aussi une excuse pour être ensemble, parce que nous avions été séparées pendant six ans. Elle avait eu besoin de partir à New York après la mort de Kate et je l’ai très bien compris. Mais je suis tombée malade, je n’ai pas pu aller la voir… », a-t-elle expliqué, faisant référence à la mort de Kate Barry en 2012.
Jane sera en compétition face à Evolution de Kornel Mundruczo, Tromperie d'Arnaud Desplechin, Cow d’Andrea Arnold, Cette musique ne joue pour personne de Samuel Benchetrit, Mothering Sunday d’Eva Husson, Serre-moi fort de Mathieu Amalric, Introduction de Hong Sang-Soo, Val de Leo Scott et Ting Poo, et JFK Revisited : Through the looking glass d’Oliver Stone.